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1 (1966) Le grain magique
er les chameaux au pâturage. La négresse lui donnait chaque matin une galette grossière de farine d’orge. A peine arrivée sur l
Pleurez, chameaux, comme je pleure ! › Elle posait sur une pierre la galette d’orge et se laissait mourir de faim. Six chameau
lors la jeune fille monter au sommet de l’éminence. H la vit poser sa galette au-dessus de toutes celles qu’elle n’avait pas ma
ine au tamis. La semoule la plus fine, la plus jolie, elle en fit une galette qu’elle mit de côté pour la montrer à son époux.
t à égoutter dans un couffin. Elle remplit la sacoche de provisions : galette et viande. Et, comme elle devait se lever dès le
t découvert une place à l’ombre et posé par terre, sur un foulard, la galette et la viande. Elle fit les parts et ils déjeunère
es pieds. Il la fit asseoir et lui servit à manger. Elle mangea de la galette de blé et but du lait. Dans un endroit bien abrit
nt mangé dans les champs. Elle remit à l'enfant deux œufs durs et une galette de blé. Elle donna aux orphelins une galette de s
nt deux œufs durs et une galette de blé. Elle donna aux orphelins une galette de son et leur fit cette recommandation : — Djohr
les champs. A l’heure du déjeuner, Djohra tira d’un petit couffin sa galette de blé et ses œufs durs. Les orphelins mangèrent
ffin sa galette de blé et ses œufs durs. Les orphelins mangèrent leur galette de son. Puis ils allèrent à la vache pour boire d
ous reste plus que l’exil. Elle glissa dans son corsage un morceau de galette , prit son frère par la main et ils partirent droi
lle femme toute voûtée : c’était Settoute qui avait apporté un plat à galette et de la farine dans un torchon. Elle creusa au p
s que les flammes jaillirent, elle posa — mais à l’envers — le plat à galette sur le feu et se mit à pétrir la pâte. Aïcha, du
lui parla : — Ce n’est pas ainsi, bonne mère, que l’on pose le plat à galette I Settoute répondit : — Je ne sais comment m’y pr
à des Seigneurs. Proverbes On trouve toujours trop gros Le morceau de galette aux mains de l’orphelin. Craignais-tu que je te d
porte et demandèrent au nom de Dieu une cruche d’eau et un morceau de galette . Une vieille servante leur apporta de l’eau, une
n morceau de galette. Une vieille servante leur apporta de l’eau, une galette de 'blé, des figues, des dattes et une gourde de
les troupeaux sur les crêtes. Ils partaient dès l’aube, emportant une galette d’orge, des figues toutes blondes, un œuf dur et
la maison de Tseriel. Elle les trouva mangeant des œufs frais, de la galette de blé, du beurre et du miel. Mangeant des fruits
erez des petits pois et des fèves. Un matin, leur mère leur donna une galette de blé, des œufs durs, des olives, des figues et
eur resta plus une seule fève ni un seul petit pois, ils mangèrent la galette , les œufs, les olives et les figues. Ils ramassèr
uvaient eux-mêmes prendre soin du vieillard. La fillette, portant une galette et un plat de couscous, chantonnait à peine arriv
ut pas dans cette voix celle de son grand-père, posa sur le chemin la galette et le plat de couscous qu’elle tenait, et courut
soleil, et ne rentrèrent qu’à l’heure du goûter pour se partager une galette de blé si blonde qu'elle répandait de la lumière
trouva sous les oliviers : Reskia mangea des figues et un morceau de galette . Puis elle mit un peu de moelle sur les lèvres d’
nt du proverbe qui dit : ‹ On trouve toujours trop gros le morceau de galette aux mains de l'orphelin. › Aîcha seule demeurait
urs. Mais tandis que la marâtre distribuait les provisions de route — galette et figues — Aïcha se faufila près de Pâtre, rempl
son repaire pour s’y glisser. Elle faisait cuire en un clin d'œil une galette de blé lumineuse comme un louis d’or ou bien des
eignit avec peine le repaire du chat. Elle fit cuire en un éclair une galette de blé ronde et dorée comme une lune et se hâta v
s bâts et abandonne ses ânes. Une voisine qui s’apprêtait à cuire des galettes , sort de sa maison, une galette crue dans chaque
voisine qui s’apprêtait à cuire des galettes, sort de sa maison, une galette crue dans chaque main. Elle demande à son tour :
est tombé dans la marmite et il a disparu ! La voisine se plaque une galette sur chaque joue. La maison de la voisine se dépla
ce ? — Hou ! hou ! Que n'est-il arrivé ! Ce que j’ai ? La voisine aux galettes , le Porteur aux deux bâts, le Chevrier sans houle
Hou I hou I Que n'est-il arrivé I La maison écroulée, la voisine aux galettes , le Porteur aux deux bâts, le Chevrier sans houle
n'est-il arrivé ! La source tarie, la maison écroulée, la voisine aux galettes , le Porteur aux deux bâts, le Chevrier sans houle
rebis dépouillée, la source tarie, la maison écroulée, la voisine aux galettes , le Porteur aux deux bâts, le Chevrier sans houle
rebis dépouillée, la source tarie ,1a maison écroulée, la voisine aux galettes , le Porteur aux deux bâts, le Chevrier sans houle
rebis dépouillée, la source tarie, la maison écroulée, la voisine aux galettes , le Porteur aux deux bâts, le Chevrier sans houle
rebis dépouillée, la source tarie, la maison écroulée, la voisine aux galettes , le Porteur aux deux bâts, le Chevrier sans houle
rebis dépouillée, la source tarie, la maison écroulée, la voisine aux galettes , le Porteur aux deux bâts, le Chevrier sans houle
la maison écroulée. Elle emporte la brebis dépouillée, la voisine aux galettes , le Porteur aux deux bâts, le Chevrier sans houle
e au doux visage les accueillit parmi ses frères et leur offrit de la galette de blé, des fruits et du lait. — Cette jeune fill
it entrer dans sa maison et se désola de n’avoir à leur offrir qu’une galette d’orge et une cruche d’eau. Cheikh Smaïn lui tend
beau feu de sarments entre trois grosses pierres. Puis elle pétrit sa galette et la mit à cuire dans le plat qu’à dessein elle
ent de leur fenêtre. — Retourne ton plat, lui cria l’une d’elles : Ta galette ne cuira jamais I — Je suis aveugle, ma pauvre en
éloigna. Tseriel pria. Ensuite elle tira de son corsage un morceau de galette et des figues qu’elle mangea. Elle but au ruissea
volonté ›, qu’un enfant courait porter à l’envoyé de Dieu sa part de galette , de couscous ou de lait. C’est pourquoi la joie r
es feuilles de bananiers et de figuiers. Devant le fromage blanc, les galettes , les beignets, le miel, les amandes, les dattes,
mère, les jeux avec ses frères et sœurs sur la place du pressoir, la galette d’orge, le couscous de blé, l’huile forte et le b
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
loit le petit Chaperon rouge. Un jour, sa mere, ayant cui et fait des galettes , luy dit : « Va voir comme se porte ta mere-grand
te ta mere-grand, car on m’a dit qu’elle estoit malade. Porte-luy une galette et ce petit pot de beurre. » Le petit Chaperon ro
er un loup, luy dit : « Je vais voir ma mere-grand, et luy porter une galette avec un petit pot de beurre, que ma mere luy envo
on rouge (dit le Loup en contrefaisant sa voix), qui vous apporte une galette et un petit pot de beurre, que ma mere vous envoy
; « C’est vostre fille, le petit Chaperon rouge, qui vous apporte une galette et un petit pot de beurre, que ma mere vous envoy
er, luy dit en se cachant dans le lit, sous la couverture : « Mets la galette et le petit pot de beurre sur la huche, et viens
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