er les chameaux au pâturage. La négresse lui donnait chaque matin une
galette
grossière de farine d’orge. A peine arrivée sur l
Pleurez, chameaux, comme je pleure ! › Elle posait sur une pierre la
galette
d’orge et se laissait mourir de faim. Six chameau
lors la jeune fille monter au sommet de l’éminence. H la vit poser sa
galette
au-dessus de toutes celles qu’elle n’avait pas ma
ine au tamis. La semoule la plus fine, la plus jolie, elle en fit une
galette
qu’elle mit de côté pour la montrer à son époux.
t à égoutter dans un couffin. Elle remplit la sacoche de provisions :
galette
et viande. Et, comme elle devait se lever dès le
t découvert une place à l’ombre et posé par terre, sur un foulard, la
galette
et la viande. Elle fit les parts et ils déjeunère
es pieds. Il la fit asseoir et lui servit à manger. Elle mangea de la
galette
de blé et but du lait. Dans un endroit bien abrit
nt mangé dans les champs. Elle remit à l'enfant deux œufs durs et une
galette
de blé. Elle donna aux orphelins une galette de s
nt deux œufs durs et une galette de blé. Elle donna aux orphelins une
galette
de son et leur fit cette recommandation : — Djohr
les champs. A l’heure du déjeuner, Djohra tira d’un petit couffin sa
galette
de blé et ses œufs durs. Les orphelins mangèrent
ffin sa galette de blé et ses œufs durs. Les orphelins mangèrent leur
galette
de son. Puis ils allèrent à la vache pour boire d
ous reste plus que l’exil. Elle glissa dans son corsage un morceau de
galette
, prit son frère par la main et ils partirent droi
lle femme toute voûtée : c’était Settoute qui avait apporté un plat à
galette
et de la farine dans un torchon. Elle creusa au p
s que les flammes jaillirent, elle posa — mais à l’envers — le plat à
galette
sur le feu et se mit à pétrir la pâte. Aïcha, du
lui parla : — Ce n’est pas ainsi, bonne mère, que l’on pose le plat à
galette
I Settoute répondit : — Je ne sais comment m’y pr
à des Seigneurs. Proverbes On trouve toujours trop gros Le morceau de
galette
aux mains de l’orphelin. Craignais-tu que je te d
porte et demandèrent au nom de Dieu une cruche d’eau et un morceau de
galette
. Une vieille servante leur apporta de l’eau, une
n morceau de galette. Une vieille servante leur apporta de l’eau, une
galette
de 'blé, des figues, des dattes et une gourde de
les troupeaux sur les crêtes. Ils partaient dès l’aube, emportant une
galette
d’orge, des figues toutes blondes, un œuf dur et
la maison de Tseriel. Elle les trouva mangeant des œufs frais, de la
galette
de blé, du beurre et du miel. Mangeant des fruits
erez des petits pois et des fèves. Un matin, leur mère leur donna une
galette
de blé, des œufs durs, des olives, des figues et
eur resta plus une seule fève ni un seul petit pois, ils mangèrent la
galette
, les œufs, les olives et les figues. Ils ramassèr
uvaient eux-mêmes prendre soin du vieillard. La fillette, portant une
galette
et un plat de couscous, chantonnait à peine arriv
ut pas dans cette voix celle de son grand-père, posa sur le chemin la
galette
et le plat de couscous qu’elle tenait, et courut
soleil, et ne rentrèrent qu’à l’heure du goûter pour se partager une
galette
de blé si blonde qu'elle répandait de la lumière
trouva sous les oliviers : Reskia mangea des figues et un morceau de
galette
. Puis elle mit un peu de moelle sur les lèvres d’
nt du proverbe qui dit : ‹ On trouve toujours trop gros le morceau de
galette
aux mains de l'orphelin. › Aîcha seule demeurait
urs. Mais tandis que la marâtre distribuait les provisions de route —
galette
et figues — Aïcha se faufila près de Pâtre, rempl
son repaire pour s’y glisser. Elle faisait cuire en un clin d'œil une
galette
de blé lumineuse comme un louis d’or ou bien des
eignit avec peine le repaire du chat. Elle fit cuire en un éclair une
galette
de blé ronde et dorée comme une lune et se hâta v
s bâts et abandonne ses ânes. Une voisine qui s’apprêtait à cuire des
galettes
, sort de sa maison, une galette crue dans chaque
voisine qui s’apprêtait à cuire des galettes, sort de sa maison, une
galette
crue dans chaque main. Elle demande à son tour :
est tombé dans la marmite et il a disparu ! La voisine se plaque une
galette
sur chaque joue. La maison de la voisine se dépla
ce ? — Hou ! hou ! Que n'est-il arrivé ! Ce que j’ai ? La voisine aux
galettes
, le Porteur aux deux bâts, le Chevrier sans houle
Hou I hou I Que n'est-il arrivé I La maison écroulée, la voisine aux
galettes
, le Porteur aux deux bâts, le Chevrier sans houle
n'est-il arrivé ! La source tarie, la maison écroulée, la voisine aux
galettes
, le Porteur aux deux bâts, le Chevrier sans houle
rebis dépouillée, la source tarie, la maison écroulée, la voisine aux
galettes
, le Porteur aux deux bâts, le Chevrier sans houle
rebis dépouillée, la source tarie ,1a maison écroulée, la voisine aux
galettes
, le Porteur aux deux bâts, le Chevrier sans houle
rebis dépouillée, la source tarie, la maison écroulée, la voisine aux
galettes
, le Porteur aux deux bâts, le Chevrier sans houle
rebis dépouillée, la source tarie, la maison écroulée, la voisine aux
galettes
, le Porteur aux deux bâts, le Chevrier sans houle
rebis dépouillée, la source tarie, la maison écroulée, la voisine aux
galettes
, le Porteur aux deux bâts, le Chevrier sans houle
la maison écroulée. Elle emporte la brebis dépouillée, la voisine aux
galettes
, le Porteur aux deux bâts, le Chevrier sans houle
e au doux visage les accueillit parmi ses frères et leur offrit de la
galette
de blé, des fruits et du lait. — Cette jeune fill
it entrer dans sa maison et se désola de n’avoir à leur offrir qu’une
galette
d’orge et une cruche d’eau. Cheikh Smaïn lui tend
beau feu de sarments entre trois grosses pierres. Puis elle pétrit sa
galette
et la mit à cuire dans le plat qu’à dessein elle
ent de leur fenêtre. — Retourne ton plat, lui cria l’une d’elles : Ta
galette
ne cuira jamais I — Je suis aveugle, ma pauvre en
éloigna. Tseriel pria. Ensuite elle tira de son corsage un morceau de
galette
et des figues qu’elle mangea. Elle but au ruissea
volonté ›, qu’un enfant courait porter à l’envoyé de Dieu sa part de
galette
, de couscous ou de lait. C’est pourquoi la joie r
es feuilles de bananiers et de figuiers. Devant le fromage blanc, les
galettes
, les beignets, le miel, les amandes, les dattes,
mère, les jeux avec ses frères et sœurs sur la place du pressoir, la
galette
d’orge, le couscous de blé, l’huile forte et le b