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1 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
sexe avec tant d’ardeur Aspire à la foy conjugale Que je n’ay pas la force ny le cœur De luy prescher cette morale.        
ous verrons qui plûtost y sera. » Le Loup se mit à courir de toute sa force par le chemin qui estoit le plus court, et la pet
a Barbe-Bleuë, tenant un grand coutelas à sa main, crioit de toute sa force à sa femme : « Descens viste, ou je monteray là-h
uvre femme estoit presque aussi morte que son mari, et n’avoit pas la force de se lever pour embrasser ses freres. Il se trou
baignoit, le roy vint à passer, et le Chat se mit à crier de toute sa force : « Au secours ! au secours ! voilà monsieur le m
voient emporté ses habits, quoy qu’il eust crié au voleur de toute sa force : le drosle les avoit cachez sous une grosse pier
coup sur les esprits ; Cependant les douces paroles Ont encor plus de force , et sont d’un plus grand prix. AUTRE MORALITÉ
lante et soutenuë avec Riquet à la Houppe, où elle brilla d’une telle force que Riquet à la Houppe crut luy avoir donné plus
fans se virent seuls, il se mirent à crier et à pleurer de toute leur force . Le petit Poucet les laissoit crier, sçachant bie
las ! Madame, luy répondit le petit Poucet, qui trembloit de toute sa force aussi bien que ses freres, que ferons-nous ? Il e
2 (1966) Le grain magique
eferma derrière eux. Ils se mirent à courir, à courir de toutes leurs forces . Mais une rivière tumulteuse leur apparut. Loundj
r. Et puis elle s'approcha du sac de laine. Elle secoua la laine avec force pour en faire tomber la poussière et la paille. E
es née gazelle, reste gazelle Si tu es née homme, redeviens-le Par la force de Dieu et des amis de Dieu ! » C’est ainsi qu’Al
y mettre le feu. L’Ogre essaya vainement de fuir. Il pesa de toute sa force sur la porte qui résista. C’est ainsi qu'il brûla
e faire pour l'en délivrer? demanda le cavalier. — Donne-lui à manger force grillades que tu saleras exagérément et ne lui do
tentèrent de s’enfuir. Pris de panique, ils tirèrent de toutes leurs forces et finirent par s’échapper en laissant leur queue
claterait et l’éclabousserait de sarcasmes et d’injures. Aurait-il la force de passer le seuil de sa maison? Dans la caverne
ûre. Mais plus le sultan se sentait impuissant contre son fils et les forces qui le protégeaient, plus son désir de l’abattre
vec tristesse, le maître est bien mort. Aussi, dès que tu sentiras ta force faiblir, ne manque pas de nous prévenir, afin que
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