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1 (1966) Le grain magique
marcha, marcha tout un jour et toute une nuit avant d’entrer dans une forêt et d’apercevoir une fumée monter au- dessus des a
é. La Grenouille, elle, courut à la fontaine chercher de l’eau ; à la forêt rapporter un fagot et rentra pour mettre sa maiso
tites jambes. Elle marcha longtemps, elle marcha jusqu’à l’orée de la forêt . C'est alors qu’elle découvrit, à demi-masquée pa
a maison et tous ses biens. Il déserta le monde et se réfugia dans la forêt . Il se rapprocha des bêtes, se mit à vivre à leur
aventure à qui voulait l’entendre : — J’allais couper du bois dans la forêt lorsque je vis sortir de terre une créature, une
qui en émanait m’éblouit. Sans doute était-ce la fée gardienne de la forêt ? Je voulus m’approcher pour voir son visage, mais
répondit le bûcheron, une créature m’est bien apparue à l’orée de la forêt . Elle était debout, contre un arbre. Etait- ce un
x. Ils marchèrent, ils marchèrent. Ils atteignirent au crépuscule une forêt . Ils passèrent la nuit dans un palmier-dattier. A
nts dans les champs, des oiseaux en plein ciel et des fauves dans les forêts . A tous les passants il demandait inlassablement
ôte, ils allèrent à travers les sables, les plaines, les bois, et les forêts . Ils longèrent des rivières, parcoururent des con
s’éloignèrent. Ils marchèrent longtemps avant d’atteindre un matin la forêt . Elle était immense, cette forêt ; ils ne purent
gtemps avant d’atteindre un matin la forêt. Elle était immense, cette forêt ; ils ne purent la traverser en un jour. La nuit
e dormiraient ses aînés. La pleine lune éclairait merveilleusement la forêt . Soudain, les yeux du veilleur rencontrèrent, à l
courir mon royaume, aller partout où il te plaira, sauf du côté de la forêt , car tous ceux qui ont suivi cette direction ne s
ns son cœur : ‹ Pourquoi le sultan m’a-t-il interdit l’approche de la forêt , pourquoi?... Sans doute quelque merveille s’y ca
a dans la direction qu’il n’aurait jamais dû prendre. Il atteignit la forêt comme le soleil se montrait ; il s'y enfonça. Il
rends maintenant pourquoi le sultan craignait qui je m’approche de la forêt 1... Il avançait avec lenteur, sur son cheval d’é
à l'est, à l’ouest, au sud, au nord, aller partout sauf du côté de la forêt , car tous ceux qui ont suivi cette voie ne sont p
e son pays?... Maintenant, je crains qu’il ne soit allé du côté de la forêt et qu’il ne lui soit arrivé malheur ! › Ahmed éco
l : — Pourquoi le sultan a-t-il interdit à mon frère l’approche de la forêt ? — Parce que c’est là que se trouve le jardin de
cheval d’éclairs et de vent, appela son lévrier et se dirigea vers la forêt . A l’heure chaude il y pénétra. Il la traversa ma
jardin de l’ogresse, franchirent la rivière, et s’engagèrent dans la forêt . Ils la parcoururent sans hâte, en promeneurs ; i
de richesses. Il se promena dans le jardin mi-verger, mi-potager : la forêt était là, tout près, et le gibier y abondait. Le
rir pour elle, dit-il, choisis une belle chèvre et conduis-la dans la forêt . Attache-la à un arbre : tu l’entendras bientôt b
ire et leur voler deux lionceaux. La chèvre que Mehend emmena dans la forêt se mit à bêler, à bêler. Les fauves l'entendirent
t et le cadavre de l’Ogre, Mehend reprit avec son ami le chemin de la forêt . Mon conte est comme un ruisseau, je l'ai conté à
it bien lasse et la petite fille aussi. La nuit les surprit en pleins forêt : Où pourraient-elles s’abriter ?... Elles avisèr
. Alors elle cessa de pleurer et se remit en marche. Elle traversa la forêt , toute la forêt. Elle en sortait, lorsqu'elle pos
sa de pleurer et se remit en marche. Elle traversa la forêt, toute la forêt . Elle en sortait, lorsqu'elle posa l’enfant sur l
e sentait plus courageuse parce qu’elle avait laissé derrière elle la forêt et qu’elle ne craignait plus les fauves. Elle ne
dait : sa maison, ses champs d’oliviers et de figuiers, sa portion de forêt et ses bêtes. Un soir, Reskia se tourna résolumen
ns couper du bois, nous n'en avons plus. Us partirent et gagnèrent la forêt . Un trou profond s’y trouvait : le jeune homme y
lle. Et voici que mon frère bien-aimé me jette dans ce trou en pleine forêt et m’y abandonne I Le cavalier la regarda, la reg
Elles marchèrent, marchèrent longtemps. La nuit les surprit en pleine forêt . La pauvre femme était sur le point de mettre un
rce lointaine les outres en peau de chèvre et rapportaient même de la forêt des charges de bois mort. Les plus jeunes trottin
emain, dis à tes filles de se lever matin et de t’accompagner dans la forêt chercher du bois. Et ne crains pas de t’enfoncer
du chemin. Le père et ses filles atteignirent vers midi le cœur de la forêt . Ils s’arrêtèrent pour déjeuner près d’une source
à qui mieux mieux du bois mort. Elles se trouvaient à l’endroit de la forêt le plus inextricable quand, tout à coup, elles ne
clara : — Je n’ai plus d’eau. Je cours à la fontaine. Toi, va dans la forêt chercher du bois. Celui qui reviendra le premier
erdant. Puis il prit son fusil, son cheval, et partit en hâte vers la forêt . Mais où était la tente qui abritait la jeune fil
an ordonna qu’on le chargeât sur un mulet et qu’on le menât en pleine forêt pour que les fauves le dévorent. Dès qu’il fut ar
t pour que les fauves le dévorent. Dès qu’il fut arrivé au cœur de la forêt , Cheikh Smain dit au serviteur qui l’accompagnait
qui a arraché les yeux du meilleur des princes et l’a conduit dans la forêt pour servir de pâture aux fauves I — Cheikh Smaïn
et se remit en marche. Il alla, il alla droit devant lui à travers la forêt . Il marcha, il marcha longtemps. Lorsqu’il se vit
mmes de son fils. Car d’avoir donné en pâtura aux grands fauves de la forêt notre beau prince, après lui avoir fait arracher
rères, mes tantes, toute notre famille enfin. Nous reviendrons par la forêt et nous rapporterons du bois. Toi, pendant ce tem
n’est pas d’autre Dieu qu’Allah.) Quand il s’est retiré au cœur de la forêt , Ses fidèles se sont dit : ‹ Les fauves l'ont man
. H nous faut donc la tuer. Demain, demande-lui de t’accompagner à la forêt : vous ramasserez du bois mort. Lorsque tu la ver
ube, le fils dit à sa meic . — J’ai laissé beaucoup de bois mort à la forêt et l’hiver approche. Prends une corde et viens av
ompagner. La mère sans méfiance prit une corde et suivit son fils. La forêt était proche du village ; il l’atteignirent de gr
est celui même de ma mère que je viens de tuer et d’ensevelir dans la forêt . Je l’avais détaché tout chaud pour le porter à m
aient à la fontaine les gourdes et les outres, qui rapportaient de la forêt de petites charges de bois mort, qui lavaient les
s un vent méchant qui la glaçait jusqu’au cœur. Yamina était dans une forêt , offerte à l’orage et au froid. Alors, elle enten
ne peut l'atteindre Lui qui d'un jet a poussé Comme un chêne dans la forêt ! › Mais une tempête est survenue Qui d'un coup l
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