marcha, marcha tout un jour et toute une nuit avant d’entrer dans une
forêt
et d’apercevoir une fumée monter au- dessus des a
é. La Grenouille, elle, courut à la fontaine chercher de l’eau ; à la
forêt
rapporter un fagot et rentra pour mettre sa maiso
tites jambes. Elle marcha longtemps, elle marcha jusqu’à l’orée de la
forêt
. C'est alors qu’elle découvrit, à demi-masquée pa
a maison et tous ses biens. Il déserta le monde et se réfugia dans la
forêt
. Il se rapprocha des bêtes, se mit à vivre à leur
aventure à qui voulait l’entendre : — J’allais couper du bois dans la
forêt
lorsque je vis sortir de terre une créature, une
qui en émanait m’éblouit. Sans doute était-ce la fée gardienne de la
forêt
? Je voulus m’approcher pour voir son visage, mais
répondit le bûcheron, une créature m’est bien apparue à l’orée de la
forêt
. Elle était debout, contre un arbre. Etait- ce un
x. Ils marchèrent, ils marchèrent. Ils atteignirent au crépuscule une
forêt
. Ils passèrent la nuit dans un palmier-dattier. A
nts dans les champs, des oiseaux en plein ciel et des fauves dans les
forêts
. A tous les passants il demandait inlassablement
ôte, ils allèrent à travers les sables, les plaines, les bois, et les
forêts
. Ils longèrent des rivières, parcoururent des con
s’éloignèrent. Ils marchèrent longtemps avant d’atteindre un matin la
forêt
. Elle était immense, cette forêt ; ils ne purent
gtemps avant d’atteindre un matin la forêt. Elle était immense, cette
forêt
; ils ne purent la traverser en un jour. La nuit
e dormiraient ses aînés. La pleine lune éclairait merveilleusement la
forêt
. Soudain, les yeux du veilleur rencontrèrent, à l
courir mon royaume, aller partout où il te plaira, sauf du côté de la
forêt
, car tous ceux qui ont suivi cette direction ne s
ns son cœur : ‹ Pourquoi le sultan m’a-t-il interdit l’approche de la
forêt
, pourquoi?... Sans doute quelque merveille s’y ca
a dans la direction qu’il n’aurait jamais dû prendre. Il atteignit la
forêt
comme le soleil se montrait ; il s'y enfonça. Il
rends maintenant pourquoi le sultan craignait qui je m’approche de la
forêt
1... Il avançait avec lenteur, sur son cheval d’é
à l'est, à l’ouest, au sud, au nord, aller partout sauf du côté de la
forêt
, car tous ceux qui ont suivi cette voie ne sont p
e son pays?... Maintenant, je crains qu’il ne soit allé du côté de la
forêt
et qu’il ne lui soit arrivé malheur ! › Ahmed éco
l : — Pourquoi le sultan a-t-il interdit à mon frère l’approche de la
forêt
? — Parce que c’est là que se trouve le jardin de
cheval d’éclairs et de vent, appela son lévrier et se dirigea vers la
forêt
. A l’heure chaude il y pénétra. Il la traversa ma
jardin de l’ogresse, franchirent la rivière, et s’engagèrent dans la
forêt
. Ils la parcoururent sans hâte, en promeneurs ; i
de richesses. Il se promena dans le jardin mi-verger, mi-potager : la
forêt
était là, tout près, et le gibier y abondait. Le
rir pour elle, dit-il, choisis une belle chèvre et conduis-la dans la
forêt
. Attache-la à un arbre : tu l’entendras bientôt b
ire et leur voler deux lionceaux. La chèvre que Mehend emmena dans la
forêt
se mit à bêler, à bêler. Les fauves l'entendirent
t et le cadavre de l’Ogre, Mehend reprit avec son ami le chemin de la
forêt
. Mon conte est comme un ruisseau, je l'ai conté à
it bien lasse et la petite fille aussi. La nuit les surprit en pleins
forêt
: Où pourraient-elles s’abriter ?... Elles avisèr
. Alors elle cessa de pleurer et se remit en marche. Elle traversa la
forêt
, toute la forêt. Elle en sortait, lorsqu'elle pos
sa de pleurer et se remit en marche. Elle traversa la forêt, toute la
forêt
. Elle en sortait, lorsqu'elle posa l’enfant sur l
e sentait plus courageuse parce qu’elle avait laissé derrière elle la
forêt
et qu’elle ne craignait plus les fauves. Elle ne
dait : sa maison, ses champs d’oliviers et de figuiers, sa portion de
forêt
et ses bêtes. Un soir, Reskia se tourna résolumen
ns couper du bois, nous n'en avons plus. Us partirent et gagnèrent la
forêt
. Un trou profond s’y trouvait : le jeune homme y
lle. Et voici que mon frère bien-aimé me jette dans ce trou en pleine
forêt
et m’y abandonne I Le cavalier la regarda, la reg
Elles marchèrent, marchèrent longtemps. La nuit les surprit en pleine
forêt
. La pauvre femme était sur le point de mettre un
rce lointaine les outres en peau de chèvre et rapportaient même de la
forêt
des charges de bois mort. Les plus jeunes trottin
emain, dis à tes filles de se lever matin et de t’accompagner dans la
forêt
chercher du bois. Et ne crains pas de t’enfoncer
du chemin. Le père et ses filles atteignirent vers midi le cœur de la
forêt
. Ils s’arrêtèrent pour déjeuner près d’une source
à qui mieux mieux du bois mort. Elles se trouvaient à l’endroit de la
forêt
le plus inextricable quand, tout à coup, elles ne
clara : — Je n’ai plus d’eau. Je cours à la fontaine. Toi, va dans la
forêt
chercher du bois. Celui qui reviendra le premier
erdant. Puis il prit son fusil, son cheval, et partit en hâte vers la
forêt
. Mais où était la tente qui abritait la jeune fil
an ordonna qu’on le chargeât sur un mulet et qu’on le menât en pleine
forêt
pour que les fauves le dévorent. Dès qu’il fut ar
t pour que les fauves le dévorent. Dès qu’il fut arrivé au cœur de la
forêt
, Cheikh Smain dit au serviteur qui l’accompagnait
qui a arraché les yeux du meilleur des princes et l’a conduit dans la
forêt
pour servir de pâture aux fauves I — Cheikh Smaïn
et se remit en marche. Il alla, il alla droit devant lui à travers la
forêt
. Il marcha, il marcha longtemps. Lorsqu’il se vit
mmes de son fils. Car d’avoir donné en pâtura aux grands fauves de la
forêt
notre beau prince, après lui avoir fait arracher
rères, mes tantes, toute notre famille enfin. Nous reviendrons par la
forêt
et nous rapporterons du bois. Toi, pendant ce tem
n’est pas d’autre Dieu qu’Allah.) Quand il s’est retiré au cœur de la
forêt
, Ses fidèles se sont dit : ‹ Les fauves l'ont man
. H nous faut donc la tuer. Demain, demande-lui de t’accompagner à la
forêt
: vous ramasserez du bois mort. Lorsque tu la ver
ube, le fils dit à sa meic . — J’ai laissé beaucoup de bois mort à la
forêt
et l’hiver approche. Prends une corde et viens av
ompagner. La mère sans méfiance prit une corde et suivit son fils. La
forêt
était proche du village ; il l’atteignirent de gr
est celui même de ma mère que je viens de tuer et d’ensevelir dans la
forêt
. Je l’avais détaché tout chaud pour le porter à m
aient à la fontaine les gourdes et les outres, qui rapportaient de la
forêt
de petites charges de bois mort, qui lavaient les
s un vent méchant qui la glaçait jusqu’au cœur. Yamina était dans une
forêt
, offerte à l’orage et au froid. Alors, elle enten
ne peut l'atteindre Lui qui d'un jet a poussé Comme un chêne dans la
forêt
! › Mais une tempête est survenue Qui d'un coup l