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1 (1966) Le grain magique
que s’exilent les sept frères. La famille s'était augmentée non d'un fils mais d’une fille. La mère veilla sur elle. Devenu
re pas. Un nègre s’il est Jaune est perdu. Chant d'exil Petit oiseau, fils d’étourneau, Prends ton essor dis la prière de l’
re les ânes. Ils te mèneront chez nous. Et là, dis à mon père : ‹ Ton fils , un aigle l'a emporté ». ‘Loundja vit la négresse
rent à la maison du jeune homme. Elle dit au père en arrivant : — Ton fils , un aigle l’a pris sous son aile et l’a enlevé en
e. Le Vieux Sage le rassura et lui dit : — L'aigle n’aura pas tué ton fils . Il est certain que s’il l’a mis sous son aile, i
que s’il l’a mis sous son aile, il ne l’a pas tué. Pour délivrer ton fils voici ce que tu feras : tu monteras sur le plus h
ouvée. Les aigles descendront pour s’en repaître. Celui qui tient ton fils prisonnier sous son aile sera plus lourd que les
ment. Toi, donne-lui un coup de roseau sur l’aile. Et il laissera ton fils tomber. Le père s’éleva donc sur le plus haut som
. Des débris tombent sur mon repas I — C’est ton seigneur le Gypaète, fils de gypaètes et blanc comme le lait. — Ah, vraimen
é de ses enfants. La voix de Dieu lui répondit : — Ne pleure plus ton fils Tîfas. Tifas est au paradis, Uni à Dieu dans sa s
ièvre ne le quitta ni jour ni nuit. Le roi finit par demander : — Mon fils , qu’est-ce qui te guérirait ? — Laisse-moi épouse
se rendit chez le serpent et lui dit : — Donne-moi ta fille pour mon fils . Le serpent répondit : — Roi, il y a sept ans qu'
ante jours, il disparut aussi. Le roi et la reine dirent alors à leur fils : — Remarie-toi I Quel bien peut-il nous venir de
pée au vol et conduite dans une grotte pour qu’elle y mît au monde le fils du sultan. La fée soigna tendrement la mère et l'
uel profit peut-on en tirer ? CHANT satirique Laisse-moi la paix, mon fils , Je crains mon mari, mon fils. — S'il te bat, je
CHANT satirique Laisse-moi la paix, mon fils, Je crains mon mari, mon fils . — S'il te bat, je te défendrai. Sur mon honneur,
ça. La foule stupéfaite le regarda et s’ouvrit pour laisser passer le fils du roi qu’elle avait reconnu. Settoute, la vieill
chemin. Comme Mehend la bousculait, elle s’écria : — Dis-moi, Mehend fils de roi, aurais-tu pour femme Soumi- cha fille de
sur un lit en frissonnant. La reine inquiète lui prit la main : — Mon fils , lui dit-elle, on t'a jeté un sort. Des regards m
r sortir du filet. Le pêcheur levait déjà son couteau lorsque Mehend, fils de roi, s’interposa et dit : — Prends mon cheval
oumicha, le visage tourné vers l’Orient. C’est lui ton époux : il est fils de roi. Et le jeune homme aux yeux de faucon disp
Et laisse-nous aller ta fille et moi vers mon père et ma mère. — Mon fils , répondit gravement le sultan, tout ce que tu vie
auvre reine avait versé des torrents de larmes après le départ de son fils pour le pays de Soumicha et refusé toute lumière
le : — Tant que cet arbre que tu vois sera luxuriant, la santé de ton fils sera florissante. Quand il aura des fleurs, ton f
la santé de ton fils sera florissante. Quand il aura des fleurs, ton fils sera dans la joie. Quand il aura deux fruits, ton
es fleurs, ton fils sera dans la joie. Quand il aura deux fruits, ton fils se mariera. Quand il en aura trois, ton fils aura
il aura deux fruits, ton fils se mariera. Quand il en aura trois, ton fils aura un enfant. Et chaque fois que s'augmentera l
sept ans, il ne donna que des fleurs. La mère confiante se dit : «Mon fils est florissant.) Et elle vécut heureuse et paisib
se formèrent. La mère courut annoncer la nouvelle au sultan : — Notre fils a rencontré la femme qu’il aime et l’a épousée !
contrarier. L’année suivante, une troisième grenade apparut : — Notre fils a un enfant, dit la mère d’un air triomphant au s
re fils a un enfant, dit la mère d’un air triomphant au sultan, notre fils va nous revenir. Peut-être même est-il déjà en ro
rappe ta tête au mur ! Chant de méditation Une mendiante pleurait Son fils la consolait. Il lui disait : ‹ Ne pleure plus, m
, sous l’œil malveillant de son frère. Non que la mère n’aimât pas le fils aîné qu’elle soignait tout autant. Mais elle le g
dire : — Ton front est aussi dur et noueux qu’une racine d’arbre, mon fils . Tu as pourtant ton père et ta mère, et tu ne man
es notables, muets d’admiration, conduisirent Mehend au sultan. — Mon fils , que me demanderas-tu ? lui dit le sultan. Ce que
montra et lui dit : — Bienvenu sois-tu, sois le bienvenu, Mehend mon fils ! Il y a si longtemps que l’on me parle de toi et
mon frère. Le sultan le regarda longuement et finit par dire : — Mon fils , ton frère vivait heureux parmi nous. Sa renommée
n merveilleux jardin : — Bienvenu sois-tu, sois le bienvenu Ahmed mon fils , lui cria-t-elle joyeuse. Depuis si longtemps j’e
. La rivière emporte son cadavre vers la mer 1 — Dieu te bénisse, mon fils et te couvre de ses bienfaits ! Tu es aussi valeu
elle à sa fille. La princesse pleura de joie en montrant à Mehend son fils . Et la cour et tout le royaume fêtèrent le retour
répondit Mehend. Je veux revoir ma mère et lui amener ma femme et mon fils . Le sultan essaya vainement de les retenir. A l’h
rre comme sur les eaux. Quant à moi, je pars avec toi O jeune oiseau, fils de ramier. Parmi les chemins qui t'agréent Choisi
ra : — C’est elle que je veux ou je mourrai. Le père répondit : — Mon fils , je t’ai tout donné, tout accordé jusqu’ici. Tu m
ne savons rien, je ne puis le tolérer : l'honneur nous le défend, mon fils , et notre nom est grand ! Mehend prit la jeune fi
un roi — bien qu’il n'y ait d’autre roi que Dieu — et ce roi avait un fils tendrement aimé qui lui dit : — Roi, mon père, la
Le marché se dissout. Une semaine tourna. Le jour de marché ramena le fils du roi. Il demanda : — Avez-vous trouvé des répon
s les mains vides. Pourquoi ? — Ma fille, répondit le surveillant, le fils du roi est venu et nous a déclaré : «Vous n'achèt
urs. Une semaine passa. En ramenant le jour de marché, elle ramena le fils du roi. Il demanda : — Et aujourd'hui, avez-vous
s, et chaque mois porte trente jours. — Ouvrez le marché ! ordonna le fils du roi. Quand vint le soir, le prince s’approcha
. Le surveillant garda le silence. Ils rencontrèrent une rivière : Le fils du roi dit : — Fais-moi traverser la rivière ou j
pent l’eau avec l’eau. Ma sœur se trouve entre un mur et un autre. Le fils du roi entra. Tl dit en voyant la plus belle fill
se réserva les pattes. Tous mangèrent et se disposèrent à veiller. Le fils du roi se tourna alors vers la jeune fille pleine
surveillant du marché. Te roi s’indigna : — Comment pourrais-tu, toi fils de roi, épouser la fille d'un surveillant ? Ce se
t le prince, je ne me marierai jamais. Le roi qui n’avait pas d’autre fils , finit par céder : — Epouse-la, mon fils, puisque
roi qui n’avait pas d’autre fils, finit par céder : — Epouse-la, mon fils , puisque tu l’aimes I Le prince offrit à sa fianc
ncesse vécurent heureux à la cour. Et quand le roi vint à mourir, son fils lui succéda. Un jour que le jeune roi rendait la
t avec un enfant qu’elles se disputaient. L’une disait : — Il est mon fils I Et l'autre disait : — Il est mon fils ! Elles e
. L’une disait : — Il est mon fils I Et l'autre disait : — Il est mon fils ! Elles en vinrent à crier. A se prendre aux chev
mis de Dieu intercèdent pour lui. ta mort a touché la langue Toi, son fils , penche-toi vers lui Pour qu’il te recommande sa
u mille coups Et tu viens me retirer une épine I 0 VOUÏEDHMIM, MON FILS I Que mon conte soit beau et se déroule comme
ux qu’on me mène chez mon oncle Ali. › Le père en rentrant trouva son fils en larmes. Or il l’aimait d’une tendresse infinie
infinie. Cet enfant était sa vie. Il lui demanda : — Vouïedhmim, mon fils , qu’as-tu? Tu n’es pas malade au moins ? — Je veu
abilla pauvrement, jeta sur son épaule l'outre aux serpents, prit son fils d’une main, un panier de provisions de l’autre et
sile pour cette nuit, au nom de Dieu ! Il les fit entrer, elle et son fils . Comme ils se disposaient tous à veiller, Vouïedh
précipitamment de l’outre les serpents séchés et, les montrant à son fils , fit entendre cette plainte : O Vouîedhmim, mon f
s montrant à son fils, fit entendre cette plainte : O Vouîedhmim, mon fils , Que m’a fait ton oncle Ali ! Il m’a mené dans le
conté à des Seigneurs. Proverbes — Mon père, on nous a battus. — Mon fils , ils savaient ce que nous sommes ! Il a commencé
— La paix soit sur toi, sultan I Nous venons pour donner un nom à ton fils , notre prince, qui n’en a point. — Appelez-le com
, mon père, j’aimerais sortir et aller à la chasse. — C’est bien, mon fils , répondit le sultan. Et il ordonna à deux servite
. Il ne mangea ni ne parta. Affolé, le sultan appela au chevet de son fils tous les docteurs et sorciers du pays. Comme ils
belle que lune et que rose. Le sultan leur dit : — Cheikh Smain, mon fils , a résolu d’épouser votre sœur ou de mourir. ■Les
able, Settoute se délecta d’apprendre au sultan que la fiancée de son fils avait quitté le royaume, que les sept frères avai
même discrètement savoir à ses sujets : ‹ Celui qui osera dire à mon fils que sa fiancée l’a déhissé pour un autre, aura la
depuis peu ? — Il y a quelques jours, des étrangers sont arrivés, mon fils , amenant avec eux une jeune fille plus belle que
Ne voudrais-tu pas la voir de notre part? supplia Cheikh Smaïn. — Mon fils , Dieu m’est témoin que je ne demanderais qu’à vou
aïn ! s’exclama Settoute, tu as bien dit Cheikh Smaïn ? Mais c’est le fils de ma sœur chérie que tu viens de nommer I Mène-m
ara de lui et courut comme le feu chez le sultan. — Cheikh Smaïn, ton fils , est revenu ! lui annonça-t-elle, haletante. Il a
instant, résolut-il en son vilain cœur de supprimer Cheikh Smaïn son fils , et de lui ravir et ses femmes et ses biens. Il s
ais-je pas ordonné qu’on empoisonnât tout ce qu’on présenterait à mon fils ? tonna-t-il devant ses serviteurs rassemblés. — S
trouver le prince pour lui dire, au moment le plus favorable : — Mon fils , est-ce l'effet de la vieillesse?-... les soirées
aissait si sûre. Mais plus le sultan se sentait impuissant contre son fils et les forces qui le protégeaient, plus son désir
. Le sultan prit la chaînette en tremblant et lia les poignets de son fils qui tenta vainement de se dégager. Alors seulemen
e s'accomplissent ! Une joie diabolique possédait le sultan devant ce fils invulnérable désormais sans défense. Fallait-il ê
da avec bonté. — Mon père, lui dit le prince, veux-tu que je sois ton fils ? Tu es vieux et je te vois travailler. ' — Mon fi
u que je sois ton fils? Tu es vieux et je te vois travailler. ' — Mon fils , répondit le vieillard, c’est Dieu qui t’envoie,
uier l’ombrageait et la rendait accueillante. — Dieu nous a envoyé un fils I annonça dès le seuil le vieillard à sa compagne
brunes. Nous avions si peur de mourir seuls. Pouvions-nous rêver d’un fils plus accompli ? Elle servit, dans la pièce la plu
t les deux vieux et le prince rendirent grâce à Dieu d’avoir donné un fils à deux vieillards solitaires et des parents à un
rendre de-le fourbir. — Mon père, dit-il, pourquoi cette arme ? — Mon fils , notre maître le sultan veut que nous allions nou
nous battre contre le nègre qui défend le palais et les femmes de son fils . Car d’avoir donné en pâtura aux grands fauves de
aïn, ta place n’est pas au combat. Je me battrai pour toi. — Non, mon fils . Ma vie, à moi, est finie mais la tienne commence
y mit fin : — Partez tous les deux, dit-elle. Le père veillera sur le fils et moi je prierai pour que vous me soyez bien vit
n vite rendus. Ils partirent donc, le vieillard armé d’un bâton et le fils d’un fusil. Un nègre géant gardait bien l’entrée
able. Alerté, le sultan donna au guerrier le cheval et le sabre de ce fils qu’il croyait mort depuis longtemps. Cheikh Smaïn
n'en approche ! Impatient de s’emparer du palais et des femmes de son fils , le sultan convoqua dès le lendemain les Notables
ujets qu’il n’y a aucun sacrilège à ce que j’épouse les veuves de mon fils , j’ordonne que vous clamiez bien fort qu’il est p
miez bien fort qu’il est permis au sultan d’épouser les veuves de son fils . — Bien. Seigneur, répondirent humblement les Not
permis, il est digne et juste que le sultan épouse les veuves de son fils I Une seule voix, inexorable et froide comme une
onvoiter .ses brus. Malheur au père qui ose épouser les veuves de son fils , car il commet un sacrilège I Et cette voix était
s fait arracher les yeux. Tu m'as livré en pâture aux fauves, moi ton fils aveugle et désarmé. Mais cela encore ne te suffis
nzaine de jours, elle s'approcha du guichet et dit : — Velâjoudh, mon fils , donne-moi ta main pour que je voie si elle est p
après, elle dit à nouveau : — Donne-moi ta petite main, Velâjoudh mon fils I Il lui offrit le manche d’une cognée. Mais l’og
oir dans sa main, Il mirait d» près son visage, Arrachant un à un les fils blancs De ses cheveux et de sa barbe. Aussi je fa
l’enduisions de henné. Dénoue ta longue ceinture De soie rehaussée de fils d’or. De son pas de sultan, Ali va monter Vers la
m'étonnant de ce que notre voisine adorât et protégeât son dadais de fils , de qui elle ne recevait que rebuffades, Gida Nan
e me l’apporter comme preuve de sa mort. Le lendemain, dès l’aube, le fils dit à sa meic . — J’ai laissé beaucoup de bois mo
de m'accompagner. La mère sans méfiance prit une corde et suivit son fils . La forêt était proche du village ; il l’atteigni
fagots. Comme la mère se baissait pour en charger un sur son dos, le fils l’assomma d'un coup de cognée. Il traîna le cadav
ir sa mère, ce qu’il fit en grande hâte. Mais voici qu’en chemin deux fils du mal l’assaillirent. Intrigués par l’aspect du
à l'autre en implorant : — Je l’ai enfanté, il ne m'a pas enfanté, ô fils du mal ne le tuez pas l De saisissement, les malf
nt obscurcie Que je ne puis même distinguer une épine. La mort de mes fils bien-aimés A laissé mon cœur meurtri. Me voici de
s ? La vieille pousse sa clameur Comme un bouc par les ruelles. ‹ Mon fils , ta femme m'a battue Sous les yeux de toutes les
sept ogres      117 Histoire du coffre      129 O Vouïedhmim mon fils I      139 Histoire     du     vieux lion et du
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
ent dans un profond sommeil. qui durera cent ans, au bout desquels le fils d’un roi viendra la réveiller. » Le roi, pour tâc
ormiroit, n’eust rien à craindre des curieux. Au bout de cent ans, le fils du roi qui regnoit alors, et qui estoit d’une aut
qu’elle y devoit dormir cent ans, et qu’elle serait réveillée par le fils d’un roy, à qui elle estoit reservée. » Le jeune
le premier, qui fut une fille, fut nommée l’Aurore, et le second, un fils , qu’on nomma le Jour, parce qu’il paroissoit enco
ssoit encore plus beau que sa sœur. La reine dit plusieurs fois à son fils , pour le faire expliquer, qu’il falloit se conten
soit l’avantage De joüir d’un riche héritage Venant à nous de pere en fils , Aux jeunes gens, pour l’ordinaire, L’industrie e
r faire Vallent mieux que des biens acquis. AUTRE MORALITÉ Si le fils d’un meûnier avec tant de vitesse Gagne le cœur d
pauvre enfant s’enfuit et alla se sauver dans la forest prochaine. Le fils du roi, qui revenoit de la chasse, la rencontra,
rer. « Helas ! Monsieur, c’est ma mere qui m’a chassée du logis. » Le fils du roi, qui vit sortir de sa bouche cinq ou six p
luy dire d’où cela luy venoit. Elle luy conta toute son avanture. Le fils du roi en devint amoureux, et, considerant qu’un
ue ſes ſœurs, quoy que veſtuës tres-magnifiquement. Il arriva que le fils du Roi donna un bal & qu’il en pria toutes le
ſortir du bal avant minuit : Elle part, ne ſe ſentant pas de joye. Le Fils du Roi, qu’on alla avertir qu’il venoit d’arriver
rouvaſt des étoffes aſſez belles & des ouvriers aſſez habiles. Le Fils du Roi la mit à la place la plus honorable, &
elle ſouhaiteroit bien aller encore le lendemain au Bal, parce que le Fils du Roi l’en avoit priée. Comme elle eſtoit occupé
eſſe ; mais elles luy répondirent qu’on ne la connoiſſoit pas, que le Fils du Roi en eſtoit fort en peine, & qu’il donne
mp; Cendrillon auſſi, mais encore plus parée que la premiere fois. Le Fils du Roi fut toûjours auprés d’elle, & ne ceſſa
e de ſes petites pantoufles de verre, la plus jolie du monde ; que le fils du Roy l’avoit ramaſſée, & qu’il n’avoit fait
it la petite pentoufle. Elles dirent vray, car peu de jours aprés, le fils du Roy fit publier à ſon de trompe, qu’il épouſer
  RIQUET A LA HOUPPE   Il estoit une fois une reine qui accoucha d’un fils si laid et si mal fait qu’on douta longtemps s’il
te voylà crotté, vien que je te débarboüille. Ce Pierrot estoit son fils aîné, qu’elle aimoit plus que tous les autres, pa
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