que s’exilent les sept frères. La famille s'était augmentée non d'un
fils
mais d’une fille. La mère veilla sur elle. Devenu
re pas. Un nègre s’il est Jaune est perdu. Chant d'exil Petit oiseau,
fils
d’étourneau, Prends ton essor dis la prière de l’
re les ânes. Ils te mèneront chez nous. Et là, dis à mon père : ‹ Ton
fils
, un aigle l'a emporté ». ‘Loundja vit la négresse
rent à la maison du jeune homme. Elle dit au père en arrivant : — Ton
fils
, un aigle l’a pris sous son aile et l’a enlevé en
e. Le Vieux Sage le rassura et lui dit : — L'aigle n’aura pas tué ton
fils
. Il est certain que s’il l’a mis sous son aile, i
que s’il l’a mis sous son aile, il ne l’a pas tué. Pour délivrer ton
fils
voici ce que tu feras : tu monteras sur le plus h
ouvée. Les aigles descendront pour s’en repaître. Celui qui tient ton
fils
prisonnier sous son aile sera plus lourd que les
ment. Toi, donne-lui un coup de roseau sur l’aile. Et il laissera ton
fils
tomber. Le père s’éleva donc sur le plus haut som
. Des débris tombent sur mon repas I — C’est ton seigneur le Gypaète,
fils
de gypaètes et blanc comme le lait. — Ah, vraimen
é de ses enfants. La voix de Dieu lui répondit : — Ne pleure plus ton
fils
Tîfas. Tifas est au paradis, Uni à Dieu dans sa s
ièvre ne le quitta ni jour ni nuit. Le roi finit par demander : — Mon
fils
, qu’est-ce qui te guérirait ? — Laisse-moi épouse
se rendit chez le serpent et lui dit : — Donne-moi ta fille pour mon
fils
. Le serpent répondit : — Roi, il y a sept ans qu'
ante jours, il disparut aussi. Le roi et la reine dirent alors à leur
fils
: — Remarie-toi I Quel bien peut-il nous venir de
pée au vol et conduite dans une grotte pour qu’elle y mît au monde le
fils
du sultan. La fée soigna tendrement la mère et l'
uel profit peut-on en tirer ? CHANT satirique Laisse-moi la paix, mon
fils
, Je crains mon mari, mon fils. — S'il te bat, je
CHANT satirique Laisse-moi la paix, mon fils, Je crains mon mari, mon
fils
. — S'il te bat, je te défendrai. Sur mon honneur,
ça. La foule stupéfaite le regarda et s’ouvrit pour laisser passer le
fils
du roi qu’elle avait reconnu. Settoute, la vieill
chemin. Comme Mehend la bousculait, elle s’écria : — Dis-moi, Mehend
fils
de roi, aurais-tu pour femme Soumi- cha fille de
sur un lit en frissonnant. La reine inquiète lui prit la main : — Mon
fils
, lui dit-elle, on t'a jeté un sort. Des regards m
r sortir du filet. Le pêcheur levait déjà son couteau lorsque Mehend,
fils
de roi, s’interposa et dit : — Prends mon cheval
oumicha, le visage tourné vers l’Orient. C’est lui ton époux : il est
fils
de roi. Et le jeune homme aux yeux de faucon disp
Et laisse-nous aller ta fille et moi vers mon père et ma mère. — Mon
fils
, répondit gravement le sultan, tout ce que tu vie
auvre reine avait versé des torrents de larmes après le départ de son
fils
pour le pays de Soumicha et refusé toute lumière
le : — Tant que cet arbre que tu vois sera luxuriant, la santé de ton
fils
sera florissante. Quand il aura des fleurs, ton f
la santé de ton fils sera florissante. Quand il aura des fleurs, ton
fils
sera dans la joie. Quand il aura deux fruits, ton
es fleurs, ton fils sera dans la joie. Quand il aura deux fruits, ton
fils
se mariera. Quand il en aura trois, ton fils aura
il aura deux fruits, ton fils se mariera. Quand il en aura trois, ton
fils
aura un enfant. Et chaque fois que s'augmentera l
sept ans, il ne donna que des fleurs. La mère confiante se dit : «Mon
fils
est florissant.) Et elle vécut heureuse et paisib
se formèrent. La mère courut annoncer la nouvelle au sultan : — Notre
fils
a rencontré la femme qu’il aime et l’a épousée !
contrarier. L’année suivante, une troisième grenade apparut : — Notre
fils
a un enfant, dit la mère d’un air triomphant au s
re fils a un enfant, dit la mère d’un air triomphant au sultan, notre
fils
va nous revenir. Peut-être même est-il déjà en ro
rappe ta tête au mur ! Chant de méditation Une mendiante pleurait Son
fils
la consolait. Il lui disait : ‹ Ne pleure plus, m
, sous l’œil malveillant de son frère. Non que la mère n’aimât pas le
fils
aîné qu’elle soignait tout autant. Mais elle le g
dire : — Ton front est aussi dur et noueux qu’une racine d’arbre, mon
fils
. Tu as pourtant ton père et ta mère, et tu ne man
es notables, muets d’admiration, conduisirent Mehend au sultan. — Mon
fils
, que me demanderas-tu ? lui dit le sultan. Ce que
montra et lui dit : — Bienvenu sois-tu, sois le bienvenu, Mehend mon
fils
! Il y a si longtemps que l’on me parle de toi et
mon frère. Le sultan le regarda longuement et finit par dire : — Mon
fils
, ton frère vivait heureux parmi nous. Sa renommée
n merveilleux jardin : — Bienvenu sois-tu, sois le bienvenu Ahmed mon
fils
, lui cria-t-elle joyeuse. Depuis si longtemps j’e
. La rivière emporte son cadavre vers la mer 1 — Dieu te bénisse, mon
fils
et te couvre de ses bienfaits ! Tu es aussi valeu
elle à sa fille. La princesse pleura de joie en montrant à Mehend son
fils
. Et la cour et tout le royaume fêtèrent le retour
répondit Mehend. Je veux revoir ma mère et lui amener ma femme et mon
fils
. Le sultan essaya vainement de les retenir. A l’h
rre comme sur les eaux. Quant à moi, je pars avec toi O jeune oiseau,
fils
de ramier. Parmi les chemins qui t'agréent Choisi
ra : — C’est elle que je veux ou je mourrai. Le père répondit : — Mon
fils
, je t’ai tout donné, tout accordé jusqu’ici. Tu m
ne savons rien, je ne puis le tolérer : l'honneur nous le défend, mon
fils
, et notre nom est grand ! Mehend prit la jeune fi
un roi — bien qu’il n'y ait d’autre roi que Dieu — et ce roi avait un
fils
tendrement aimé qui lui dit : — Roi, mon père, la
Le marché se dissout. Une semaine tourna. Le jour de marché ramena le
fils
du roi. Il demanda : — Avez-vous trouvé des répon
s les mains vides. Pourquoi ? — Ma fille, répondit le surveillant, le
fils
du roi est venu et nous a déclaré : «Vous n'achèt
urs. Une semaine passa. En ramenant le jour de marché, elle ramena le
fils
du roi. Il demanda : — Et aujourd'hui, avez-vous
s, et chaque mois porte trente jours. — Ouvrez le marché ! ordonna le
fils
du roi. Quand vint le soir, le prince s’approcha
. Le surveillant garda le silence. Ils rencontrèrent une rivière : Le
fils
du roi dit : — Fais-moi traverser la rivière ou j
pent l’eau avec l’eau. Ma sœur se trouve entre un mur et un autre. Le
fils
du roi entra. Tl dit en voyant la plus belle fill
se réserva les pattes. Tous mangèrent et se disposèrent à veiller. Le
fils
du roi se tourna alors vers la jeune fille pleine
surveillant du marché. Te roi s’indigna : — Comment pourrais-tu, toi
fils
de roi, épouser la fille d'un surveillant ? Ce se
t le prince, je ne me marierai jamais. Le roi qui n’avait pas d’autre
fils
, finit par céder : — Epouse-la, mon fils, puisque
roi qui n’avait pas d’autre fils, finit par céder : — Epouse-la, mon
fils
, puisque tu l’aimes I Le prince offrit à sa fianc
ncesse vécurent heureux à la cour. Et quand le roi vint à mourir, son
fils
lui succéda. Un jour que le jeune roi rendait la
t avec un enfant qu’elles se disputaient. L’une disait : — Il est mon
fils
I Et l'autre disait : — Il est mon fils ! Elles e
. L’une disait : — Il est mon fils I Et l'autre disait : — Il est mon
fils
! Elles en vinrent à crier. A se prendre aux chev
mis de Dieu intercèdent pour lui. ta mort a touché la langue Toi, son
fils
, penche-toi vers lui Pour qu’il te recommande sa
u mille coups Et tu viens me retirer une épine I 0 VOUÏEDHMIM, MON
FILS
I Que mon conte soit beau et se déroule comme
ux qu’on me mène chez mon oncle Ali. › Le père en rentrant trouva son
fils
en larmes. Or il l’aimait d’une tendresse infinie
infinie. Cet enfant était sa vie. Il lui demanda : — Vouïedhmim, mon
fils
, qu’as-tu? Tu n’es pas malade au moins ? — Je veu
abilla pauvrement, jeta sur son épaule l'outre aux serpents, prit son
fils
d’une main, un panier de provisions de l’autre et
sile pour cette nuit, au nom de Dieu ! Il les fit entrer, elle et son
fils
. Comme ils se disposaient tous à veiller, Vouïedh
précipitamment de l’outre les serpents séchés et, les montrant à son
fils
, fit entendre cette plainte : O Vouîedhmim, mon f
s montrant à son fils, fit entendre cette plainte : O Vouîedhmim, mon
fils
, Que m’a fait ton oncle Ali ! Il m’a mené dans le
conté à des Seigneurs. Proverbes — Mon père, on nous a battus. — Mon
fils
, ils savaient ce que nous sommes ! Il a commencé
— La paix soit sur toi, sultan I Nous venons pour donner un nom à ton
fils
, notre prince, qui n’en a point. — Appelez-le com
, mon père, j’aimerais sortir et aller à la chasse. — C’est bien, mon
fils
, répondit le sultan. Et il ordonna à deux servite
. Il ne mangea ni ne parta. Affolé, le sultan appela au chevet de son
fils
tous les docteurs et sorciers du pays. Comme ils
belle que lune et que rose. Le sultan leur dit : — Cheikh Smain, mon
fils
, a résolu d’épouser votre sœur ou de mourir. ■Les
able, Settoute se délecta d’apprendre au sultan que la fiancée de son
fils
avait quitté le royaume, que les sept frères avai
même discrètement savoir à ses sujets : ‹ Celui qui osera dire à mon
fils
que sa fiancée l’a déhissé pour un autre, aura la
depuis peu ? — Il y a quelques jours, des étrangers sont arrivés, mon
fils
, amenant avec eux une jeune fille plus belle que
Ne voudrais-tu pas la voir de notre part? supplia Cheikh Smaïn. — Mon
fils
, Dieu m’est témoin que je ne demanderais qu’à vou
aïn ! s’exclama Settoute, tu as bien dit Cheikh Smaïn ? Mais c’est le
fils
de ma sœur chérie que tu viens de nommer I Mène-m
ara de lui et courut comme le feu chez le sultan. — Cheikh Smaïn, ton
fils
, est revenu ! lui annonça-t-elle, haletante. Il a
instant, résolut-il en son vilain cœur de supprimer Cheikh Smaïn son
fils
, et de lui ravir et ses femmes et ses biens. Il s
ais-je pas ordonné qu’on empoisonnât tout ce qu’on présenterait à mon
fils
? tonna-t-il devant ses serviteurs rassemblés. — S
trouver le prince pour lui dire, au moment le plus favorable : — Mon
fils
, est-ce l'effet de la vieillesse?-... les soirées
aissait si sûre. Mais plus le sultan se sentait impuissant contre son
fils
et les forces qui le protégeaient, plus son désir
. Le sultan prit la chaînette en tremblant et lia les poignets de son
fils
qui tenta vainement de se dégager. Alors seulemen
e s'accomplissent ! Une joie diabolique possédait le sultan devant ce
fils
invulnérable désormais sans défense. Fallait-il ê
da avec bonté. — Mon père, lui dit le prince, veux-tu que je sois ton
fils
? Tu es vieux et je te vois travailler. ' — Mon fi
u que je sois ton fils? Tu es vieux et je te vois travailler. ' — Mon
fils
, répondit le vieillard, c’est Dieu qui t’envoie,
uier l’ombrageait et la rendait accueillante. — Dieu nous a envoyé un
fils
I annonça dès le seuil le vieillard à sa compagne
brunes. Nous avions si peur de mourir seuls. Pouvions-nous rêver d’un
fils
plus accompli ? Elle servit, dans la pièce la plu
t les deux vieux et le prince rendirent grâce à Dieu d’avoir donné un
fils
à deux vieillards solitaires et des parents à un
rendre de-le fourbir. — Mon père, dit-il, pourquoi cette arme ? — Mon
fils
, notre maître le sultan veut que nous allions nou
nous battre contre le nègre qui défend le palais et les femmes de son
fils
. Car d’avoir donné en pâtura aux grands fauves de
aïn, ta place n’est pas au combat. Je me battrai pour toi. — Non, mon
fils
. Ma vie, à moi, est finie mais la tienne commence
y mit fin : — Partez tous les deux, dit-elle. Le père veillera sur le
fils
et moi je prierai pour que vous me soyez bien vit
n vite rendus. Ils partirent donc, le vieillard armé d’un bâton et le
fils
d’un fusil. Un nègre géant gardait bien l’entrée
able. Alerté, le sultan donna au guerrier le cheval et le sabre de ce
fils
qu’il croyait mort depuis longtemps. Cheikh Smaïn
n'en approche ! Impatient de s’emparer du palais et des femmes de son
fils
, le sultan convoqua dès le lendemain les Notables
ujets qu’il n’y a aucun sacrilège à ce que j’épouse les veuves de mon
fils
, j’ordonne que vous clamiez bien fort qu’il est p
miez bien fort qu’il est permis au sultan d’épouser les veuves de son
fils
. — Bien. Seigneur, répondirent humblement les Not
permis, il est digne et juste que le sultan épouse les veuves de son
fils
I Une seule voix, inexorable et froide comme une
onvoiter .ses brus. Malheur au père qui ose épouser les veuves de son
fils
, car il commet un sacrilège I Et cette voix était
s fait arracher les yeux. Tu m'as livré en pâture aux fauves, moi ton
fils
aveugle et désarmé. Mais cela encore ne te suffis
nzaine de jours, elle s'approcha du guichet et dit : — Velâjoudh, mon
fils
, donne-moi ta main pour que je voie si elle est p
après, elle dit à nouveau : — Donne-moi ta petite main, Velâjoudh mon
fils
I Il lui offrit le manche d’une cognée. Mais l’og
oir dans sa main, Il mirait d» près son visage, Arrachant un à un les
fils
blancs De ses cheveux et de sa barbe. Aussi je fa
l’enduisions de henné. Dénoue ta longue ceinture De soie rehaussée de
fils
d’or. De son pas de sultan, Ali va monter Vers la
m'étonnant de ce que notre voisine adorât et protégeât son dadais de
fils
, de qui elle ne recevait que rebuffades, Gida Nan
e me l’apporter comme preuve de sa mort. Le lendemain, dès l’aube, le
fils
dit à sa meic . — J’ai laissé beaucoup de bois mo
de m'accompagner. La mère sans méfiance prit une corde et suivit son
fils
. La forêt était proche du village ; il l’atteigni
fagots. Comme la mère se baissait pour en charger un sur son dos, le
fils
l’assomma d'un coup de cognée. Il traîna le cadav
ir sa mère, ce qu’il fit en grande hâte. Mais voici qu’en chemin deux
fils
du mal l’assaillirent. Intrigués par l’aspect du
à l'autre en implorant : — Je l’ai enfanté, il ne m'a pas enfanté, ô
fils
du mal ne le tuez pas l De saisissement, les malf
nt obscurcie Que je ne puis même distinguer une épine. La mort de mes
fils
bien-aimés A laissé mon cœur meurtri. Me voici de
s ? La vieille pousse sa clameur Comme un bouc par les ruelles. ‹ Mon
fils
, ta femme m'a battue Sous les yeux de toutes les