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1 (1966) Le grain magique
vers le ciel, à ton intention, comme une graine de bonheur : ‹ Va, ma fille , Dieu fasse que ton soleil perce les nuages.» E
es sept frères. La famille s'était augmentée non d'un fils mais d’une fille . La mère veilla sur elle. Devenue grande, cette f
fils mais d’une fille. La mère veilla sur elle. Devenue grande, cette fille , allait remplir son outre à la fontaine. Mais un
a d’elle. Sa mère en larmes s’approcha pour demander : — Qu’as-tu, ma fille ? Tu viens à peine de sortir bien portante et heur
exigea de sa mère qu’elle lui expliquât les paroles de Settoute. — Ma fille , avoua la mère, tes sept frères se sont dit : ‹Si
égresse. De colline en colline, d’étape en étape, la mère appelait sa fille . La jeune fille qui l’entendait grâce au Grain Ma
a nostalgie : La jeune fille a des yeux de soie noire / LOU ND JA, FILLE DE TSERIEL Que mon conte soit beau et se dérou
et vermeil comme sang ! L’autre répondit : — Il n’y a que Loundja, la fille de Tseriel, qui soit ainsi : blanche comme neige
omme neige et vermeille comme sang. ’ — Et où se trouve cette Loundja fille de Tseriel? demanda le premier. L’autre montra un
e pour cette nuit, au nom de Dieu ? Elle répondit : — Moi, je suis la fille de Tseriel. La fille de l’ogresse. Ma mère est al
nom de Dieu ? Elle répondit : — Moi, je suis la fille de Tseriel. La fille de l’ogresse. Ma mère est allée à la chasse ; ell
soir je suis trop bien assise pour me déranger. Tseriel qui aimait sa fille n’insista pas. Elle ne tarda pas à s’endormir. Lo
rd sur le lit de Loundja et elle comprit. Elle s’écria : — Loundja ma fille m’a trahie. Loundja m’a abandonnée I Et elle part
mment cela s'est-il fait ? — Je n’ai eu qu'à prononcer ces mots : ‹ O fille de nègres, dépouille ta peau I › répondit l’aîné.
orsqu’il fut seul avec elle dans la cham’ure nuptiale, il lui dit : — Fille de chiens, dépouille ta peau t Elle lui répondit
au t Elle lui répondit par un aboiement furieux. — Dépouille ta peau, fille de chiens I commanda-t-il à nouveau. Elle lui sau
la lune lui répondait : — Toi et moi sommes également belles, mais la fille que tu portes en toi nous passera en beauté. Et l
ois la lune répondait : — Toi et moi sommes également belles, mais la fille que tu portes en toi nous passera en beauté. Elle
le que tu portes en toi nous passera en beauté. Elle mit au monde une fille à la chevelure d’or, une fille plus belle que lun
ssera en beauté. Elle mit au monde une fille à la chevelure d’or, une fille plus belle que lune en plein ciel. On l’appela Je
es disaient à sa mère : — Certes, belle tu l’es. Mais la beauté de ta fille éclipsera la tienne. Et la jeune femme, en entend
ouvrit des yeux comme des étoiles et la regarda.-11 regarda la petite fille que Dieu seul avait pu ^réer. La course avait ren
it : — Ne crains rien, je ne te ferai aucun mal. Mais dis-moi, petite fille , ce qui t'a conduite jusqu'à moi. Elle était sur
s, créature I Elle répondit : — Je suis un être comme toi. Je suis la fille du serpent. Il la regarda tandis qu’elle parlait,
caverne, que j’ai vécu et grandi. Le serpent m'a élevée : je suis sa fille . Mais c'est à son insu que je sors. Ne va pas le
e s'en alla trouver son père ; il lui déclara : •— Je veux épouser la fille du serpent. Le roi s’indigna. Le prince tomba mal
er : — Mon fils, qu’est-ce qui te guérirait ? — Laisse-moi épouser la fille du serpent, dit le prince, et tu verras que je gu
le roi céda. Il se rendit chez le serpent et lui dit : — Donne-moi ta fille pour mon fils. Le serpent répondit : — Roi, il y
Roi, il y a sept ans qu'elle est venue à moi. Je l’ai élevée comme ma fille . Elle m’est plus chère que le haut-ciel. Mais pui
ivre le roi & la cour, le serpent dit à la jeune fille : — Va, ma fille , sois vaillante, va et ne regarde surtout pas en
lors à leur fils : — Remarie-toi I Quel bien peut-il nous venir de la fille du serpent ? Mais le prince qui mettait son espoi
suis venu chercher tes enfants les uns après les autres pour punir ma fille . Je les ai élevés avec tendresse, comme j'ai élev
nt un berceau vide et tu n’as pas désespéré et tu n'as pas humilié ma fille . Tu l'as aimée au contraire et tu l’as protégée.
e sourcil est au-dessus de toi. Vois une femme accomplie et épouse sa fille . Tombe la pluie Dans la brume et le vent O maître
amant par les chemins : ‹ La mare où éteindre ces flammes, ô Aïcha ma fille , la mare où éteindre ces flammes ! › une torche a
Ah / la la Me voici toute parée Et l'on ne vient pas me chercher I Ma fille , ô ma tille Ah I la la Sont-ils venus ? Ai-je ref
mère, 6 ma mère Ah I la la Je me suis préparée Me voici dédaignée. Ma fille , ô ma tille Ah I la la Se sont-ils présentés? Me
s curieux sont venus Ah ! la la Ils se sont ri de moi. Ah I la la. Ma fille , ô ma fille Ah ! la la Il te faut prier Dieu Ah l
nt venus Ah ! la la Ils se sont ri de moi. Ah I la la. Ma fille, ô ma fille Ah ! la la Il te faut prier Dieu Ah l la la Un jo
la Un vieillard est venu Ah I la la Pas un jouvenceau Ah I la la. Ma fille , ô ma tille Ah I la la Ne l’épouse pas Ah I la la
ne fit aucun mal aux orphelins. Mais elle vint à mettre au monde une fille qu'elle appela Djohra et du jour où elle eut cett
au monde une fille qu'elle appela Djohra et du jour où elle eut cette fille , elle détesta les orphelins. Elle les battait. El
andir et forcir, alors que je les prive de tout ? » Elle donnait à sa fille tout ce qu’elle avait de meilleur. Aux orphelins,
helins, elle donnait les restes. Mais elle avait beau gaver Djohra sa fille , celle-ci au lieu d’embellir devenait chaque jour
ux, elle se sentait mourir de jalousie. Aussi, un soir, dit-elle à sa fille : — Suis-les demain, et reviens me dire ce qu’ils
la marâtre s'avança vers lui et déclara : — La vache qui a frappé ma fille ne saurait vivre dans ma maison. Homme, tu la ven
Tu as entendu ? Tu vendras la vache, tu la vendras ou je prendrai ma fille par la main et je te laisserai à ta maison, à tes
arviens pas à la vendre, tu l’égorgeras. Car la vache qui a frappé ma fille , ne saurait vivre dans ma maison. Il égorgea la v
nouveau : ‹ Les voici encore avec des joues comme des grenades et ma fille est toujours jaune et sèche. Qu’ont-ils encore dé
e. Qu’ont-ils encore découvert qui les engraisse? › Elle ordonna à sa fille de les suivre et de les imiter en tout. Djohra le
Ils aiguisent des lames Pour Ali-Gazelle-le-pauvre O Aïcha ma sœur, fille de ma mère Délivre-moi ! › Et sa sœur lui réponda
Ils aiguisent des lames Pour Ali-gazelle-le-pauvre O Aïcha, ma sœur, fille de ma mère, Délivre-moi I › C’est ainsi qu'il ent
«Ils aiguisent des lames Pour Ali-gazelle-le-pauvre O Aïcha, ma sœur, fille de ma mère. Délivre-moi ! › Ils entendirent le pu
cria : — Dis-moi, Mehend fils de roi, aurais-tu pour femme Soumi- cha fille de Hitine pour être si fier et me piétiner? Le je
— Je ne retirerai ta main que tu ne m’aies dit où se trouve Soumicha fille de Hitine, dit le prince. Alors, elle lui indiqua
s il demandait inlassablement : — Connaissez-vous le pays de Soumicha fille de Hitine? Et tous lui montraient l’Orient et rép
lmes car notre seigneur était le plus comblé des hommes. Il avait une fille aussi belle que lune en plein ciel, aussi douce q
de faucon disparut, laissant en face de leur joie Mehend et Soumicha fille de Hitine. Mehend et Soumicha s’aimèrent comme le
e te conte mon histoire et alors tu jugeras. Tu m’as donné ton unique fille , croyant qu’elle me revenait. Sans doute ignorais
ourné à son empire marin abandonné depuis sept ans, nous •laissant ta fille et moi, face à face, dans la chambre nuptiale. Il
de me barrer le chemin. Elle me dit : «Serais-tu l’époux de Soumicha, fille de Hitinc, ô Mehend, pour être si fier et me piét
s, je demandais inlassablement: «Connaissez-vous le pays de Soumicha, fille de Hitine?» Et tous me désignant l’Orient réponda
disparu, mais le jeune homme aux yeux de faucon qui devait sauver ta fille était devant moi ! Il devint mon frère. Durant se
herche de ton royaume et de ce que tu possédais de plus précieux : ta fille . Il a fait de moi l’homme que tu vois. Il m'a con
oi notre petit garçon : il sera ton héritier. Et laisse-nous aller ta fille et moi vers mon père et ma mère. — Mon fils, répo
Je garderai près de moi le petit prince. Il sera ma joie. Dès que ma fille sera plus vaillante, vous vous mettrez en route,
toutes les richesses du sultan, quelle est la plus précieuse ? . — Sa fille , répondit le plus vieux de l’assemblée, son uniqu
use ? . — Sa fille, répondit le plus vieux de l’assemblée, son unique fille qui surpasse en beauté toutes les filles du royau
ux de l’assemblée, son unique fille qui surpasse en beauté toutes les filles du royaume. Blanche et rose, gracieuse et sage, s
t le sultan. Parle I — Alors, Dieu veuille t’inspirer de me donner ta fille ! Le sultan garda un instant le silence et puis i
ont de mon palais cent jeunes filles. St tu parviens à reconnaître ma fille parmi elles, emmène-là, elle est à toi. Et il fit
s. Tu as été absent si longtemps ! T'es-tu rendu dans ton pays?... La fille du sultan, ta femme, a accouché en ton absence d’
je donnerai ce qu’il demandera. J› Il en triompha et je lui donnai ma fille aux cheveux de soie, mon unique fille aussi chère
en triompha et je lui donnai ma fille aux cheveux de soie, mon unique fille aussi chère à mes yeux que le haut-ciel et plus c
e sont pas revenus I › Nous vivions en paix. Nous vivions heureux. Ma fille allait bientôt nous donner un enfant. Et nous esp
ère ! s’écria le sultan. Et il courut porter l’heureuse nouvelle à sa fille . La princesse pleura de joie en montrant à Mehend
.. Mon père m’a mangé, mangé... Ma sœur a rassemblé mes os. La petite fille reconnut la voix de son frère et se mit à tremble
en tirait la targette à l’aide d’un fil. Or ce vieux avait une petite fille , à peine au sortir de l’enfance, qui lui apportai
grand-père répondait : — Fais sonner tes petits bracelets, ô Aïcha ma fille I La fillette heurtait l'un contre l’autre ses br
etournait, le laissant calme et sur le point de s'endormir. La petite fille racontait chaque jour à ses parents comment elle
e vieillard répondre : — Fais sonner tes petits bracelets, ô Aïcha ma fille 1 L’Ogre se dit : ‹ J’ai compris. Demain je revie
’ai compris. Demain je reviendrai, je répéterai les mots de la petite fille , il m’ouvrira et je le mangerai l › Le lendemain,
oyen d'avoir une voix aussi fine, aussi claire que celle de sa petite fille . Le sorcier répondit : — Va, enduis-toi la gorge
, ô mon père Inoubba I — Fais sonner tes petits bracelets, ô Aïcha ma fille ! répondit l'aïeul. L'Ogre s’était muni d’une cha
x. Et puis il revêtit ses habits, prit sa place et attendit la petite fille pour la dévorer aussi. Elle vint. Mais elle remar
voix fine et claire : — Fais sonner tes petits bracelets, ô Aïcha ma fille I La fillette qui ne reconnut pas dans cette voix
re I On s'y engouffre Comme sangliers I Aoulêlam Pousse et berce I La fille aux yeux bleus A volé tout le sel I Aoulêlam ! Le
l’emportent ! Arrêtezle O Aïth Hennit l Aoulêlam Pousse et berce ! La fille aux yeux bleus A volé tout le sel I Proverbes La
âbane Oukhrit Châbane Oukhrit Oukhrit 0 Châbane Oukhrit I Les petites filles de cette année Sont voleuses de figues 1 Proverbe
trouvait le surveillant du marché. Il était très pauvre et avait deux filles : l’une fort belle et l’autre, la plus jeune, ché
s que tu pars et que tu nous reviens les mains vides. Pourquoi ? — Ma fille , répondit le surveillant, le fils du roi est venu
lure ». Ma sœur est belle en effet, elle est vertueuse, mais elle est fille d’un pauvre homme. Et puis tu as partagé le poule
tu as donné la poitrine : elle est le cœur de la maison. A nous, les filles , tu as donné les ailes : nous ne resterons pas ic
la trouver le roi son père et lui déclara : — Moi, je veux épouser la fille du surveillant du marché. Te roi s’indigna : — Co
Te roi s’indigna : — Comment pourrais-tu, toi fils de roi, épouser la fille d'un surveillant ? Ce serait une honte. Nous devi
chère à ses yeux que tout au monde. Plus chère que sa femme et que sa fille . Lui seul en approchait, lui donnait à boire et à
it terrible. Personne n’était tenté de lui désobéir, hormis sa petite fille , Reskia qui désirait depuis longtemps voir la per
i, il nous tuerait I La mère remplit un panier de provisions, prit sa fille par la main et sortit. Elles marchèrent jusqu'au
e mettre un enfant au monde : elle se sentait bien lasse et la petite fille aussi. La nuit les surprit en pleins forêt : Où p
ra seule. Alors, elle leva son regard vers l’arbre et dit à la petite fille : — Descends, descends maintenant toi qui n’as pl
rix qu’il aimait plus que tout au monde ; plus que sa femme et que sa fille . Il avait dit et répété à son entourage qu’un dés
la perdrix s’échappait. La perdrix s’échappa. Et la mère et la petite fille s’enfuirent de terreur. Elles marchèrent, marchèr
a l’enfant qu’elle portait en elle et le donna à la lapine. La petite fille aussi fut sauve. La lapine lui ternit le nouveau-
rer de joie Tant le matin que la nuit. Je lui dis : ‹ Console-toi, ma fille , Et prends appui sur Dieu : Il n’est pas de nœud
, persécuté par ta queue ! » HISTOIRE DE MOCHE ET DES SEPT PETITES FILLES Que mon conte soit beau et se déroule comme un
n long fil ! L’on raconte qu’aux temps anciens, il était sept petites filles aussi gracieuses que des perdrix : elles se suiva
s jour sur la tête de son pauvre homme. — La maison est pleine de tes filles , lui disait-elle d’une voix acerbe. Elles entoure
main et ramener un peu de nourriture. Il te faudra choisir entre tes filles et moi : elles partiront ou je partirai ! — Femme
père, femme, Dieu veuille te raisonner ! Que ferais-je de mes petites filles ? Leur mère mourante me les a confiées. N'aurais-t
Ce jour qui luit est le dernier que je passerai sous ce toit, si tes filles y demeurent. Le père baissa la tête. Il lui sembl
e femme. Sûre de son pouvoir, la marâtre reprit : — Demain, dis à tes filles de se lever matin et de t’accompagner dans la for
ramener des noyaux qu’elle égrenait le long du chemin. Le père et ses filles atteignirent vers midi le cœur de la forêt. Ils s
s. Aïcha ouvrit la marche. Et à la tombée de la nuit les sept petites filles frappaient à la porte de leur père, au grand dépl
se mettre aux préparatifs sans perdre de temps. Laissant les petites filles au comble de la surprise, elle courut apprendre l
la maison si on ne l’avait modérée. Puis elle baigna les sept petites filles . Elle les habilla. les pomponna, les parfuma. Les
et la marâtre exiger qu’il y précipitât, une à une, les sept petites filles , après les avoir dépouillées de leurs vêtements e
oit était farouche. Le père s’arrêta devant une crevasse et dit à ses filles : — Vous voyez ce trou?... C’est par là qu’il nou
asse et s'en revint honteux et craintif. Il venait de livrer ses sept filles à la mort et de les enterrer vives. Mais il compt
eux mains : une poche d’eau se forma à sa grande joie, et les petites filles purent remplir des coquilles d’œufs et apaiser le
printemps, assise parmi ses sœurs dans la caverne obscure, la petite fille pensait avec mélancolie : ‹ Si notre père n’avait
e jour-là encore la grotte retentit des cris de joie des sept petites filles . Et tout l’été Aîcha put ainsi nourrir ses sœurs.
s leurs yeux étonnés. Un flot de soleil balaya le repaire et les sept filles s’échappèrent et coururent comme des gazelles par
uisait troupeaux et enfants ? — Moche est mort ! annoncèrent les sept filles d'une voix forte. Moche a brûlé vif dans son repa
elle, asseyez-vous pour que je vous raconte son histoire. Et les sept filles formèrent une guirlande autour du vieillard qui c
ormèrent une guirlande autour du vieillard qui commença ainsi : — Mes filles , Moche était le seigneur et maître tout puissant
le pays. Loué soit Dieu mille fois qui nous en a enfin délivrés, mes filles I Les sept filles retournèrent à leur nouvelle de
t Dieu mille fois qui nous en a enfin délivrés, mes filles I Les sept filles retournèrent à leur nouvelle demeure avant la tom
it dans sa main le bâton des pèlerins. Aïcha courut vers lui : — O ma fille , lui dit-il d’une voix humble, je n’osais croire
s et dans quelle eau laver ma honte ? Car je vous croyais mortes, mes filles f Un autre était-il plus misérable que moi?... As
que se dressant parmi les dunes un Vieux Sage me dit : — Homme I tes filles sont en vie. Dirige tes pas vers de plus verdoyan
ade, c’est salé, O mauvaise étoile l Chant de danse Ahdada, Ahdada ma fille O toi ma très chère Que de bijoux finement ciselé
finement ciselés Que de robes de soie t'ont parée. Ahdada, Ahdada ma fille O toi ma très chère Que de fois ai-je teint au he
teint au henné Tes cheveux, tes mains et tes pieds. Ahdada, Ahdada ma fille O toi ma très chère, Pour te découvrir aujourd’hu
ersonne ne monte la garde dans la bouche d’autrui ! ROUNDJA, LA JEUNE FILLE PLUS BELLE QUE LUNE ET QUE ROSE Que mon conte soi
s annoncèrent à tout le pays les fiançailles de Cheikh Smain et de la fille la plus belle qui se puisse trouver sous le solei
, ce sera même chose. Je m’en vais inviter mes parents et chercher ma fille Vetellis qui est chez sa tante. Le lendemain, ell
ne perdait pas un mot des recommandations que l’ogresse faisait à sa fille . Tseriel sortit à l’aube. Vetellis rangea la mais
ignée de poivre et sauta sur le toit en criant : — Tseriel a mangé sa fille 1 Tseriel s’était déjà précipitée. Elle venait ju
eux clairs lisaient en toutes choses et dans les cœurs, me dit : « Ma fille , ignores-tu (mais tu es si jeune I) que l'amour d
rgent clair. Proverbe Tu parles : tu es mort ; Tu te tais : tu es une fille . L’OISEAU DE L’ORAGE Que mon conte soit bea
rs nombreux enfants un homme et une femme. Dieu avait octroyé plus de filles que de garçons mais les parents, dans leur sagess
nt pas de sortir par ce temps ? — Moi I dit Yamina, la plus jeune des filles . Elle jeta sur ses épaules une vieille couverture
r réveil pour entrer dans la cour et se dresser devant eux. — O notre fille , s’écrièrent-ils, est-ce bien toi que nous pensio
èrent ' Hirondelle, Bats des ailes et hâte^toi Vers le pays où est ma fille . A son côté repose-toi. Appuie la tête sur ses ge
Sous les yeux de toutes les voisines. Je lui souhaite d'enfanter sept filles Mangées de teigne par surcroît Mieux vaudrait que
5En manière de prologue      9 'Le grain magique      13 Loundja, fille de Tseriel      21 Histoire de la grenouille   
est la belle, ô lune? 39 La mare où éteindre ces flammes, ô Aïcha ma fille I 49 La vache des orphelins      55 La princes
e perdrix         153 Histoire     de     Moche et des sept petites filles          159 Histoire     de     la puce et du p
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
y faisoit. Enfin, pourtant, la reine devint grosse, et accoucha d’une fille . On fit un beau baptesme ; on donna pour maraines
et dit tout haut ces paroles : « Rassurez-vous, roi et reine, vostre fille n’en mourra pas. Il est vrai que je n’ay pas asse
deux ans entiers, et en eut deux enfans, dont le premier, qui fut une fille , fut nommée l’Aurore, et le second, un fils, qu’o
rale.         LE PETIT CHAPERON ROUGE   Il estoit une fois une petite fille de village, la plus jolie qu’on eut sçû voir ; sa
e toute sa force par le chemin qui estoit le plus court, et la petite fille s’en alla par le chemin le plus long, s’amusant à
de la mere-grand. Il heurte : toc, toc. « Qui est là ? — C’est vôtre fille , le petit Chaperon rouge (dit le Loup en contrefa
, croyant que sa mere-grand étoit enrhumée, répondit ; « C’est vostre fille , le petit Chaperon rouge, qui vous apporte une ga
nd, que vous avez de grands bras ! — C’est pour mieux t’embrasser, ma fille ! — Ma mere-grand, que vous avez de grandes jambe
ë : cela le rendoit si laid et si terrible qu’il n’estoit ni femme ni fille qui ne s’enfuit de devant luy. Une de ses voisine
nfuit de devant luy. Une de ses voisines, dame de qualité, avoit deux filles parfaitement belles. Il luy en demanda une en mar
e roy devoit aller à la promenade, sur le bord de la riviere, avec sa fille , la plus belle princesse du monde, il dit à son m
nt sa bonne mine (car il estoit beau et bien fait de sa personne), la fille du roy le trouva fort à son gré, et le marquis de
des bonnes qualitez de monsieur le marquis de Carabas, de même que sa fille , qui en estoit folle, et voyant les grands biens
        LES FÉES   Il estoit une fois une veuve qui avoit deux filles : l’aînée luy ressembloit si fort et d’humeur et
pour la douceur et l’honnesteté, estoit avec cela une des plus belles filles qu’on eust sceu voir. Comme on aime naturellement
me on aime naturellement son semblable, cette mere estoit folle de sa fille aînée, et, en même temps, avoit une aversion effr
d de la fontaine. « Je vous demande pardon, ma mere, dit cette pauvre fille , d’avoir tardé si long-temps » ; et, en disant ce
luy sort de la bouche des perles et des diamants. D’où vient cela, ma fille ? » (Ce fut là la premiere fois qu’elle l’appela
nt cela, ma fille ? » (Ce fut là la premiere fois qu’elle l’appela sa fille .) La pauvre enfant luy raconta naïvement tout ce
inité de diamants. « Vrayment, dit la mere, il faut que j’y envoye ma fille . Tenez, Fanchon, voyez ce qui sort de la bouche d
s d’une princesse, pour voir jusqu’où iroit la malhonnesteté de cette fille . « Est-ce que je suis icy venuë, luy dit cette br
pau. » D’abord que sa mere l’aperceut, elle luy cria : « Hé bien ! ma fille ! — Hé bien ! ma mere ? luy repondit la brutale e
s hautaine & la plus fiere qu’on eut jamais veuë. Elle avoit deux filles de ſon humeur, & qui luy reſſembloient en tou
ſouffrir les bonnes qualitez de cette jeune enfant, qui rendoient ſes filles encore plus haïſſables. Elle la chargea des plus
qui frottoit la chambre de Madame & celles de Meſdemoiſelles ſes filles ; elle couchoit tout au haut de la maiſon, dans u
rs où elles ſe voyoient depuis les pieds juſqu’à la teſte ; la pauvre fille ſouffroit tout avec patience et n’oſoit s’en plai
: Helas ! ouy, dit Cendrillon en ſoûpirant : Hé bien ! ſeras-tu bonne fille ? dit ſa Maraine ; je t’y feray aller ? Elle la m
cela eſtoit juſte, & qu’il avoit ordre de l’eſſayer à toutes les filles : il fit aſſeoir Cendrillon, & approchant la
ut de sept ou huit ans, la reine d’un royaume voisin accoucha de deux filles . La premiere qui vint au monde estoit plus belle
ut, quelques momens aprés, un bien plus grand chagrin, car la seconde fille dont elle accoucha se trouva extrémement laide. «
laide. « Ne vous affligez point tant, Madame, luy dit la fée, vostre fille sera recompensée d’ailleurs, et elle aura tant d’
l en obtînt le consentement du roy son pere. Le roy, ayant sçû que sa fille avait beaucoup d’estime pour Riquet à la Houppe,
peu dans la teste, et l’obligea de s’aller coucher. L’Ogre avoit sept filles qui n’étoient encore que des enfans. Ces petites
oucher auprés de son mary. Le petit Poucet qui avoit remarqué que les filles de l’Ogre avoient des Couronnes d’or sur la teste
s et le sien, il alla tout doucement les mettre sur la teste des sept filles de l’Ogre aprés leur avoir osté leurs Couronnes d
ste de ses freres et sur la sienne affin que l’Ogre les prit pour ses filles , et ses filles pour les garçons qu’il vouloit égo
es et sur la sienne affin que l’Ogre les prit pour ses filles, et ses filles pour les garçons qu’il vouloit égorger. La chose
n faisons pas à deux fois; il monta donc à tâtons à la Chambre de ses filles et s’approcha du lit où étoient les petits garçon
voy bien que je bus trop hier au soir. Il alla ensuite au lit de ses filles , où ayant senti les petits bonnets des garçons. A
iment; en disant ces mots, il coupa sans balancer la gorge à ses sept filles . Fort content de cette expedition, il alla se rec
monta en haut, où elle fut bien surprise lorsqu’elle aperçût ses sept filles égorgées et nageant dans leur sang. Elle commença
la maison de l’Ogre où il trouva sa femme qui pleuroit auprés de ses filles égorgées. Vostre mary, lui dit le petit Poucet, e
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