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1 (1966) Le grain magique
e de la flatter, Finit par casser le pot. Chant de méditation Une des fidèles du Prophète Pleurait l'aîné de ses enfants. La vo
omme un grain d’ambre noir. Disparut en allant à la source prier. Ses fidèles se sont dit : ‹ un lion l'a mangé. » Mais lui, da
on sur la rue mais sur le ciel, et il chargea ses serviteurs les plus fidèles de veiller jalousement sur lui. Il leur recommand
’une puissante ville. Le Cheikh, du haut de son minaret, appelait les fidèles à la prière. Il était midi. Les voyageurs étaient
. Nul ne devait m'approcher hormis ma mère et nos serviteurs les plus fidèles qui avaient pour consigne de ne me présenter que
jours. Il se leva dès l'aube, monta son cheval et courut vers son ~mi fidèle : — Voici maintenant qu’elle exige pour vivre du
t bien, mon fils, répondit le sultan. Et il ordonna à deux serviteurs fidèles d’escorter le jeune chasseur. A peine arrivé à la
ant qu'il n'y avait ni vaincus, ni vainqueurs, le prince et son nègre fidèle prirent leur sabre et s’unirent aux sept frères.
seulement à mon retour, car j’ai affaire au loin. Suivi de son nègre fidèle , Cheikh Smaïn prit le chemin des Indes. Durant de
r, les emporta tous deux. A quelques pas en arrière, suivait le nègre fidèle . Parvenus au sommet d’une colline, le prince et R
dit-il tendrement à la jeune fille. Avec l’aide de Dieu et de mon ami fidèle , nous les vaincrons. Le prince et celui qui ne le
eval noir, et poursuivit son voyage, toujours accompagné de son nègre fidèle . Et ils allèrent ainsi tous les quatre, durant de
ines mêlé au chant des innombrables oiseaux. Le muezzin, appelant les fidèles à la prière en tomba de son minaret. Et le sultan
r ton corps : alors, toi, fais le mort et laisse-toi tomber. Le nègre fidèle égorgea dans la nuit un agneau. H remplit de sang
le masque qui le rendait méconnaissable pour tout autre que son nègre fidèle et se dressa devant son père. Sur sa magnifique m
ste jusqu’à la mort. Dans son merveilleux palais l’attendait le nègre fidèle qui, à sa vue, reprit la forme d'une femme à la n
’autre Dieu qu’Allah.) Quand il s’est retiré au cœur de la forêt, Ses fidèles se sont dit : ‹ Les fauves l'ont mangé. › (Il n’e
sser la tentation de connaître enfin le visage de l'époux, à demeurer fidèle à elle-même ? Hélas, elle était seule, toujours s
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