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1 (1966) Le grain magique
t’es épuisé. Les figues mûres Nous les avons mangées. Il te reste les feuilles jaunies O coeur jaloux I Proverbes Si tu rencontr
cines le disaient aux arbres qui reprenaient ce chant de toutes leurs feuilles . Les moineaux, les hirondelles, les colombes, les
tre et de ce grenadier. L’arbre grandit. Il garda miraculeusement ses feuilles hiver comme été. Pendant sept ans, il ne donna qu
je te laisserai l’autre). Je mettrai en terre un arbre : tant que ses feuilles seront vertes, sois sûr que là où je me trouverai
avala aussi le cheval d’éclairs et de vent et le lévrier. Alors, les feuilles de l'arbre que Mehend avait planté avant son dépa
e suis son frère. Lorsque Mehend partit, nous plantâmes un arbre. Ses feuilles s’étant mises à jaunir, j’ai compris qu’il fallai
est l'arbre qui a douze branches et dont chaque branche porte trente feuilles ? Aucun ne sut répondre. Tous les hommes restèren
est l'arbre qui a douze branches et dont chaque branche porte trente feuilles . La jeune fille réfléchit un peu avant de répondr
t leva le regard vers les arbres glorieux qui riaient de toutes leurs feuilles dans le ciel clair, et de tous leurs fruits. Aîch
venait, une nuit fraîche. Cheikh Smaïn était seul avec le bruit ■des feuilles et du vent. Il n’avait pour se défendre qu’un bât
eil aigle. S’il veut revoir la lumière de Dieu, qu’il prenne quelques feuilles à ce bel arbre auquel il est adossé, qu’il les mâ
qu’il venait d’entendre. Il tendit le bras et cueillit une poignée de feuilles à une branche basse : c’étaient des feuilles épai
cueillit une poignée de feuilles à une branche basse : c’étaient des feuilles épaisses et lisses : il les mâcha. Dès qu’il en e
loppa étroitement de son burnous et s’endormit heureux, sur un lit de feuilles sèches. La lumière de Dieu l’éblouit au réveil .1
re de Dieu l’éblouit au réveil .11 se leva. Il cueillit un bouquet de feuilles à l’arbre merveilleux, ramassa son bâton et se re
va devenir du beurre, déclara-t-il. Il jeta dans la barratte une des feuilles qu’il avait cueillies à Tarbre merveilleux et tou
corde, à tâtons, elle chercha un lien : ses doigts rencontrèrent des feuilles d’oignons sauvages. Elle s’en servit pour lier l’
n-grand’mère ? As-tu cru vraiment que tu attacherais ma tête avec des feuilles d’oignons sauvages ? Ouvre un peu ton outre pour
ouchée. Lorsqu’elle se réveilla, un goûter l’attendait, servi sur des feuilles de bananiers et de figuiers. Devant le fromage bl
t plus faim. Les oiseaux chanteront encore Dans les arbres, entre les feuilles . Les abricots et les pêches, Les pommes et les mû
L'âme en fête 1 Me voici maigre, mon teint s'est assombri, Je suis la feuille jaunie qui se détache et tombe. Mes cheveux sont
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