lle roula le grain du couscous. Lorsqu’elle eut mis la marmite sur le
feu
, il ne lui resta plus qu’à attendre. Au crépuscul
s'occupa du diner. Elle posa bientôt la marmite à terre et mit sur le
feu
un chaudron plein d'eau. La Grenouille et le Crap
perdrix, cueillit des légumes et des fruits, et rentra. Il alluma le
feu
, mit tn train le repas et alla réveiller la fille
r. Les enfants dormaient. La hutte était plongée dans la pénombre. Le
feu
qui brûlait au centre l’éclairait faiblement et l
lettes, Tseriel et la veuve sortirent du métier et s’assirent près du
feu
. La veuve ajouta une bûche et de hautes flammes j
descente du brandon qu’elle appliqua sur sa tête. Ses cheveux prirent
feu
en un éclair et le buisson épineux qu’ils étaient
hiens du voisinage. Le vent rabattit les flammes vers ses épaules. Le
feu
gagna ses vêtements et descendit jusqu'à ses pied
baise-la. Danse sacrée Ma mère, j’ai mangé de la braise J’ai avalé du
feu
En pleine inconscience. Le tabac de Cheikh Amar R
Et sauve qui le prise. Ma mère j’ai mâché de la braise J'ai avalé du
feu
En pleine inconscience. Le tabac de Cheikh Amar R
’arbre le foyer, elle le garnit de trois grosses pierres et alluma le
feu
. Dès que les flammes jaillirent, elle posa — mais
es jaillirent, elle posa — mais à l’envers — le plat à galette sur le
feu
et se mit à pétrir la pâte. Aïcha, du haut de l’a
emporté par la rivière Et il s'écrie : « O les beaux pâturages ! » Le
feu
engendre la cendre. Faites du bien à une pierre E
sur un bâton, pénétra dans la pièce où était le malade. Au centre un
feu
brûlait sur lequel une marmite ne tarda pas à bou
dans une caverne. Le plus jeune reçut pour mission d’allumer le grand
feu
qui tiendrait en respect les fauves et de l'entre
'à lui donner un visage. L’aîné se réveilla et vint s’asseoir près du
feu
. Comme il était tailleur, il fit une tunique è l’
sous le même toit, tout contre les humains, la mère assise devant le
feu
, attirait la tête charmante du petit Hacène et la
ns son aveuglement ne se doutait pas qu'elle jetait de l’huile sur le
feu
. Abderahman détestait farouchement son frère. Hac
doux et brillants que la mère se plaisait encore à caresser devant le
feu
. Tant de beauté et de grâce offensait Abderahman
int à sa marâtre. La motte de beurre de la vieille est tombée dans le
feu
. La vieille a dit : « Je l'offre à Dieu I » Chant
elle viande de mouton tendre et grasse. La femme avait déjà allumé le
feu
dans la cour et roulé le grain du couscous, un gr
et la ramenait irrésistiblement vers la marmite. La femme taquina le
feu
, ajouta une bûche, alla même jusqu'à l'outre en p
de tous côtés pour porter ces fagots jusqu’à la masure et y mettre le
feu
. L’Ogre essaya vainement de fuir. Il pesa de tout
utre Dieu qu'Allah.) La mort a pris les genoux Et se propage Comme le
feu
dans un four à tuiles. (Il n’est pas d'autre Dieu
qui flatterait un chat. Chant d’amour Voici que mon cœur brûle, D'un
feu
inextinguible, Et les eaux sont loin de lui. La j
dans ma patte I lui dit calmement le lion. Le chacal courut comme le
feu
rassembler une centaine de ses frères et leur ann
jeune, Aîcha, en avait sept à peine. Aicha aimait à se tenir près du
feu
, si près que la cendre poudrait ses cheveux et qu
ha seule demeurait près de l'âtre et se contentait de pousser dans le
feu
les noyaux d’olives éparpillés autour d’elle. Ell
t pas devant elle et parlaient à cœur ouvert. Aicha ne s'éloignait du
feu
qu’à regret, comme si elle craignait que lui écha
homme lutta, pria, supplia et finit par céder. Recroquevillée près du
feu
, Aicha assista muette à sa défaite. Comment ruine
voyage et l’allégresse de la marâtre. Car elle avait surpris, près du
feu
, de sombres conciliabules, et entendu le père par
ts par un trou minuscule. L’enfant y colla vivement son œil et vit un
feu
qui brûlait au centre d’une grande pièce. Près de
il et vit un feu qui brûlait au centre d’une grande pièce. Près de ce
feu
, sur une peau de panthère, un énorme chat au pela
tir ià la chasse pour ne rentrer qu’à la nuit. Alors, il ranimait son
feu
, s’étendait sur la peau de panthère et s’en prena
majestueux et roux. Il soufflait sur les braises, faisait flamber son
feu
, répandait autour du foyer «des noyaux 'd’olives
a fève que j’avais préparée pour mon souper? Parie ou je pisse sur le
feu
pour l’éteindre. Et comme elle ne répondait pas,
a fouettait à tour de pattes. Tant que Aïcha n’eut pas à se servir du
feu
, elle ne s’inquiéta pas des menaces du chat. Mais
out l’été Aîcha put ainsi nourrir ses sœurs. — Ma fève ou j’éteins le
feu
! menaçait Moche, chaque soir, sans exécuter sa m
neige précoce et Moche craignait les premiers froids. Il fit un grand
feu
, s’en approcha le plus possible et s’étendit avec
de coups, tout en se rapprochant inconsciemment et dangereusement du
feu
. Il la fouetta et la griffa si fort, dans sa fure
a fit tant tournoyer qu’elle frôla un tison enflammé. En un éclair le
feu
se propagea à tout le pelage et fit de Moche une
son redoutable voisin. Elle fit craintivement le tour du repaire : le
feu
était éteint ; de Moche, il ne restait plus qu’un
res et d’étoffes somptueuses I Et que de provisions I Aicha alluma le
feu
et les orphelines mangèrent et burent, burent et
ver, elle aimait toujours à se tenir près de Pâtre et à jeter dans le
feu
des noyaux d’olives, par poignées, comme lorsqu'e
Pou revint, il trouva son épouse en train de mettre la marmite sur le
feu
. Ils lavèrent ensemble les tripes et les jetèrent
installer à l’entrée du palais magique et entreprit d’allumer un beau
feu
de sarments entre trois grosses pierres. Puis ell
t à cuire dans le plat qu’à dessein elle avait posé à l’envers sur le
feu
. Les trois femmes de Cheikh Smaïn l'observaient d
elle espérait entendre. Puis elle se sépara de lui et courut comme le
feu
chez le sultan. — Cheikh Smaïn, ton fils, est rev
peine. Il respirait avec effort, et la jalousie était en lui comme un
feu
dévorant. C’est ainsi que Cheikh Smain échappa à
ur lui clouer contre le mur les mains et les pieds. — Qu’on allume un
feu
lent à ses pieds, ordonna-t-il d'une voix sombre,
forêt et nous rapporterons du bois. Toi, pendant ce temps, allume le
feu
et mets au-dessus la grande marmite des mariages.
fille. Tseriel sortit à l’aube. Vetellis rangea la maison, alluma le
feu
, éplucha beaucoup de gros oignons qu’elle fit mac
le fit macérer dans l’huile et le poivre rouge. Puis elle posa sur le
feu
la grande marmite des mariages et se dirigea vers
n enflammé et le glissa au cœur du tas de branchages pour y mettre le
feu
et s’enfuir. A cet instant, une ogrillonne en man
poignée -de poivre au visage. Elle se courba vers le sol, les yeux en
feu
. Déjà ogres, ogresses, ogrillons et ogrillonnes s
nd sur lui. Chant d'exil Ma mère, ma douce mère, Moi je souffrais, le
feu
était éteint. Mère, je préparais à tâtons le soup
ontre cette petite bougie dans son corsage qui entretenait en elle le
feu
d’une curiosité dévorante. Le rêve qu'était sa vi
rmament des Mille et une Nuits, ces étoiles y brillent désormais d'un
feu
qui ne s'éteindra qu'avec le dernier regard kabyl