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1 (1966) Le grain magique
cesses de psalmodier en pensant à moi, cette parole que les vieilles femmes de chez nous ont lancée vers le ciel, à ton inten
hommes, pour toi, perdront l'esprit. Que de beautés vous enfantez, ô femmes , Pour les remettre entre les mains des hommes !
as deux fontaines. L’une est celle des négresses et l’autre celle des femmes blanches. Prends garde de te baigner dans la font
furent en vue les fontaines, la négresse se précipita vers l’eau des femmes blanches et s'y baigna. La jeune fille s’approcha
refait à ma mère. La négresse qui, elle, s’est baignée dans l’eau des femmes blanches est devenue blanche et je suis devenue n
a neige et l’empourpra. L’un dit : — Heureux celui qui épouserait une femme au teint blanc comme neige et vermeil comme sang
direction et dit : — Là-bas, très loin. Alorf, celui qui rêvait d’une femme au teint blanc comme neige et vermeil comme sang
vante fut engagée. Le jeune homme attendit la nuit pour dépouiller sa femme de la peau d’emprunt qui voilait sa beauté. Au ma
-tu, mon oncle le Crapaud? demanda-t-il. — Que n’ai-je I La reine des femmes s'est enfuie : elle est dans la mare. — Ce n’est
; que fais-tu seul par les chemins ? — Le sel de l’univers a fui. La femme m’a abandonné. — Je cours te la ramener. — Dame G
a pleine lune paraît, Les étoiles peuvent bien scintiller ; Envers la femme aimée, La malveillance des beaux-parents est vain
e un long fll I L’on raconte qu’aux temps anciens, il était une jeune femme belle, aussi belle que la lune. Et cette femme, l
ns, il était une jeune femme belle, aussi belle que la lune. Et cette femme , les nuits de pleine lune, se fardait, peignait e
ais la fille que tu portes en toi nous passera en beauté. Et la jeune femme se lamentait et maudissait l’enfant qui était dan
tu l’es. Mais la beauté de ta fille éclipsera la tienne. Et la jeune femme , en entendant ces mots, sentait le poignard de la
ait commencé par être un homme heureux : il possédait une maison, une femme , de nombreux champs et toutes sortes de biens et
u as beau m'être cher, œil. Le sourcil est au-dessus de toi. Vois une femme accomplie et épouse sa fille. Tombe la pluie Dans
! Autrefois, dans un certain village, il était un homme qui avait une femme et deux enfants. L’aînée était une fillette : ell
a maison. Homme, tu la vendras. Tu la vendras ! Il lui répondit : • — Femme , Dieu veuille te raisonner . comment pourrais-je
des orphelins. Il ramena la vache à la tombée de la nuit et dit à sa femme : — Personne n’a voulu l’acheter. Tous m’on dit :
s au marché. Mais il ne trouva personne pour la lui acheter. Alors sa femme lui déclara : — Puisque tu ne parviens pas à la v
ous. Aîcha, le lendemain, regarda entre les palmes et vit une vieille femme toute voûtée : c’était Settoute qui avait apporté
’eau d’une source et a été changé en gazelle. Le sultan fit d’elle sa femme . Aïcha et son frère-gazelle vécurent heureux quel
plusieursxfemmes, aucune ne lui avait donné d’héritier. L’une de ces femmes fut jalouse de Aïcha. Profitant de ce que le sult
a gazelle bramait par toute la maison, bramait par tout le jardin. La femme jalouse avait beau l’attacher, la gazelle rompait
it à bramer en en faisant le tour. A bramer en en faisant le tour. La femme jalouse finit par dire à un serviteur : — Egorge-
mais un être humain. Elle me regarde, et les mains m’en tombent ! La femme jalouse demanda successivement à tous les servite
surpris, le sultan avança vers le puits et regarda : il vit une jeune femme élevant dans ses bras un enfant, un enfant si bea
e gazelle, qui est-elle ? — Cette gazelle? C'est le frère de ma jeune femme , répondit le sultan. Je ne sais ce qu'il a bu ou
sculait, elle s’écria : — Dis-moi, Mehend fils de roi, aurais-tu pour femme Soumi- cha fille de Hitine pour être si fier et m
orsque le cadet se réveilla à son tour : il découvrit à ses côtés une femme baignée de lune. Il se mit à l’implorer dans la n
e. Il se mit à l’implorer dans la nuit : «Par Dieu et son prophète, ô femme ! regarde-moi, parle-moi et dis-moi qui tu es ! ›
irent d’énormes troncs. Chacun offrit son blé le plus brillant et les femmes roulèrent, en chantant, le couscous des noces. De
e courut annoncer la nouvelle au sultan : — Notre fils a rencontré la femme qu’il aime et l’a épousée ! Le sultan sourit tris
! Le sultan ne sut que répondre. Mais telle était la certitude de sa femme qu’il rêva aux grandes réjouissances qu’il ordonn
taciturne était devenu un homme qui refusait farouchement de prendre femme et fuyait toute compagnie. Son visage tranchant e
et la fit voler au loin. Les champs furent à nouveau irrigués. Et les femmes purent s’approcher de la fontaine avec leurs cruc
si longtemps ! T'es-tu rendu dans ton pays?... La fille du sultan, ta femme , a accouché en ton absence d’un garçon. Le sultan
mal du pays, répondit Mehend. Je veux revoir ma mère et lui amener ma femme et mon fils. Le sultan essaya vainement de les re
Comme qui avancerait dans le brouillard et les ténèbres. Dansb sacrés Femmes vénérées des Aith Ouerthiran/ Vous êtes roses com
à tisser, Vous proférez votre serment, Le mal s’éloigne des maisons. Femmes des Aith Ouerthiran Salut à vous, le jour se lève
on raconte que, dans un village, il était deux vieux (un homme et une femme ) et que ces vieux avaient deux garçons encore jeu
viande était rare, si rare qu’on en rêvait, un homme dit un jour à sa femme : — Demain nous aurons des invités. J’achèterai d
in de jonc. C'était de la belle viande de mouton tendre et grasse. La femme avait déjà allumé le feu dans la cour et roulé le
romates et d’épices : viande et légumes remplissaient une terrine. La femme les jeta dans la marmite. Puis elle mit à cuire l
. Au bout d’un moment, un agréable fumet se répandit dans la cour. La femme se leva pour goûter le sel. La viande était presq
uce l’enveloppait et la ramenait irrésistiblement vers la marmite. La femme taquina le feu, ajouta une bûche, alla même jusqu
e 1 Mais on eût dit qu'elle se faisait plus exigeante à mesure que la femme retirait morceau sur morceau. Résolue à en manger
irait morceau sur morceau. Résolue à en manger un dernier morceau, la femme plongea encore une fois la louche mais ne ramena
gea encore une fois la louche mais ne ramena que légumes. Affolée, la femme la plongea et la replongea désespérément : la mar
e ne pas voir le petit garçon qu’il aimait comme sa prunelle. Mais la femme répondit : — Mes parents s’ennuyaient de lui. Us
des fruits et du café à ses hôtes. Et puis 11 les reconduisit. Et la femme courut rapporter un tamis qu’une voisine lui avai
t-elle. Car chaque jour le père demandait : — Où est le petit ? Et la femme répondait, de plus en plus embarrassée : — Il est
Il est chez mes parents, il rentrera bientôt. Arriva le moment où la femme ne put plus répondre : ‹ H est chez mes parents,
sais ce que le petit est devenu. Ma mère m’a dit qu'il a disparu. La femme venait juste d’apporter un grand plat de couscous
mblé mes os. Le père comprit. Il se leva, terrible, et marcha vers la femme . Mais alors l’oiseau chanta à nouveau, avec la do
fil 1 Autrefois, dans une lointaine contrée, il était un homme et une femme qui avaient un enfant. Ils étaient déjà vieux lor
nde qu’après avoir vu les étoiles en plein midi I La terre regorge de femmes I Mais Mehend répondit : — Il n'existe plus de fe
erre regorge de femmes I Mais Mehend répondit : — Il n'existe plus de femme au monde pour qui a vu celle- là I — Puisses-tu n
es Sept Ogres était encore vivant I II portait une blessure. La jeune femme le soigna, le nourrit. La jeune femme lui tint co
portait une blessure. La jeune femme le soigna, le nourrit. La jeune femme lui tint compagnie et ne referma sur lui la trapp
mots : — Ne t’ai-je pas dit que du bien ne pouvait te venir de cette femme au cœur noir? Comment peux-tu être encore ébloui
Pomme Enchantée. Va, et que Dieu vienne en aide à celui qui, pour une femme , a perdu la raison ! Mehend s’éloigna. Il marcha
reprit le chemin de sa demeure. A peine entendit-elle son pas que sa femme referma la trappe sur l’Ogre et courut se jeter s
eant, une fois sa blessure guérie. Aussi, un matin, dit-il à la jeune femme : — J’en ai assez d’être toujours sur le qui-vive
jure par cette barbe toute blanche et ce Dieu qui nous a créés, cette femme en veut à ton âme. Elle finira par te l’arracher.
Mehend s’en revint en toute hâte chez lui. A la tombée de la nuit sa femme entendit son pas. Elle qui tout le jour avait ri
de de deux poils dérobés à la moustache du lion. » L’Ogre et la jeune femme se sentirent heureux et insouciants tout le jour,
épandait de la lumière et boire une terrine de lait. Et puis la jeune femme prépara le repas du soir. L’Ogre avala précipitam
les nuits dans cette fosse humide et noire comme une tombe ! La jeune femme attendit que l’Ogre eût disparu pour se déshabill
trou de la serrure. Alors ils virent ! Ils virent l’Ogre et la jeune femme assis face à face, de part et d’autre d’un énorme
uisses de poulets. Autour d’eux, plusieurs lampes brûlaient. La jeune femme au cœur noir s’était parée pour cette fête : Elle
ô chance, le lion nous a délivrés de Mehend !› Et l’Ogre et la jeune femme de rire et folâtrer parmi les lampes allumées ! I
ler en éclats. Alors, se tenant sur le seuil, Mehend regarda la jeune femme et lui dit d’une voix terrible : — Pour toi j’ai
hi, car tu ne mérites pas de mourir de ma main. Et, laissant la jeune femme avec l’outre de lait et le cadavre de l’Ogre, Meh
lui. Proberbb N’ayez confiance dans le ciel de mars qui rit Ni en la femme si même elle prie. Chant de méditation Je suis se
ie tu peux te rendre, Dans un an j’aurai grandi 1 › Proverbe C’est la femme séquestrée qui a vu l’âne 1 HISTOIRE DU COFFRE
n fils lui succéda. Un jour que le jeune roi rendait la justice, deux femmes se présentèrent avec un enfant qu’elles se disput
riguée, se renseigna auprès d'un serviteur. Celui-ci lui dit : — Deux femmes sont là avec un enfant que toutes deux revendique
stant. Et puis elle répondit : — ‹}ue le roi dise simplement aux deux femmes : ‹ Je vais partager l’enfant en deux et chacune
r que nous partagions cet enfant. — Non, Seigneur I s’écria l’une des femmes , il mourra 1 Alors le roi lui tendit l’enfant et
ne perdrix plus chère à ses yeux que tout au monde. Plus chère que sa femme et que sa fille. Lui seul en approchait, lui donn
ille par la main et sortit. Elles marchèrent jusqu'au soir. La pauvre femme était sur le point de mettre un enfant au monde :
à mon tour de monter. Il rampa le long de l’arbre et mordit la pauvre femme qui tomba lourdement. Les fauves allaient se ruer
l’enfant et le remit à la lapine. Les fauves se partagèrent la pauvre femme . D’elle, il ne resta bientôt que quelques os et d
entrèrent dans le village au crépuscule. Ils remarquèrent une vieille femme qui avançait à quelques pas d’eux. Ils la rejoign
ondément. Le jeune homme s’éveilla le premier. H alla vers la vieille femme et lui déclara : — Ma sœur et moi nous voudrions
s. Où pourrais-je trouver une petite maison et du travail? La vieille femme répondit : — Je suis âgée, fatiguée, seule au mon
ps. Ils restèrent et vécurent heureux et paisibles près de la vieille femme . Mais elle vint à mourir et ils cessèrent d'être
e dans son cœur ne put plus être contenue. C’était un matin. La jeune femme et la jeune fille se trouvaient dans les champs ;
grâce à elle que je suis un homme ? — Très bien, poursuivit la jeune femme . Puisque tu ne veux pas me croire, demain dis à t
ir en elle. Et puis il se leva. Il attendit la nuit pour retrouver sa femme et lui dire : — Tu as dit vrai ! — Fais d’elle ce
ci et voilà ce qu’il a fait de moi ! Je l’ai élevé. Je l'ai marié. Sa femme m’a tout de suite détestée, mais lui m’a aimée et
erdrix, une perdrix qu’il aimait plus que tout au monde ; plus que sa femme et que sa fille. Il avait dit et répété à son ent
marchèrent longtemps. La nuit les surprit en pleine forêt. La pauvre femme était sur le point de mettre un enfant au monde :
e d’un village inconnu, le frère et la sœur rencontrèrent une vieille femme . Ils lui dirent : ‹ Notre mère, abrite-nous, au n
ncle Ali ! Il m’a mené dans les bois Et m'a abandonnée I... Ali et sa femme s’enfonçaient de plus en plus. Leurs têtes seules
sin : — « Cherche ta pâture, Je n’ai pas de sein. » Les parents de la femme Sont autour du festin. Mais les parents de l’homm
ur l'oublie I Demande au bien-aimé S’il revient au pays. Proverbes La femme est comme un grain d’orge Qui pousse là où on le
Pour me tuer si tu veux dans cet autre. Chant de méditation La jeune femme pleurait En racontant sa peine, La jeune femme re
de méditation La jeune femme pleurait En racontant sa peine, La jeune femme revivait Le jour de ses noces. Un hibou l’avait é
choisir entre tes filles et moi : elles partiront ou je partirai ! — Femme I suppliait le père, femme, Dieu veuille te raiso
t moi : elles partiront ou je partirai ! — Femme I suppliait le père, femme , Dieu veuille te raisonner ! Que ferais-je de mes
l lui semblait que la terre se creusait sous lui, car il aimait cette femme . Sûre de son pouvoir, la marâtre reprit : — Demai
, à l’ombre d’un figuier. Elles s’y assirent en rond comme de petites femmes , préoccupées de ne pas froisser leurs beaux atour
qui ruinerait les royaumes voisins et les asservirait, il exigea des femmes qu’elles missent au monde des enfants sans répit.
n père?... Etait-il mort? Avait-il pu échapper à son mauvais génie de femme ? Etait-ce la venue de son père que Aïcha attendai
: — Donne les épluchures de cette pomme à ta jument et le coeur à ta femme . La sultane sera enceinte et mettra au monde un g
oupa et se mit à le sculpter face à la lune, à lui donner un corps de femme et un visage. A son tour le tailleur s’éveilla et
vais, moi, prier Dieu de lui donner une âme». Et la poupée devint une femme d’une incomparable beauté. Au matin, le menuisier
femme d’une incomparable beauté. Au matin, le menuisier dit : ‹ Cette femme est ià moi, car je lui ai donné le corps. › Le ta
lui ai donné l'âme. » Bougie, toi qui sais, dis-nous à qui est cette femme . Cheikh Smain alors se dressa et dit, excédé, au
xcédé, au jeune savant : — Tais-toi. Ne me fatigue pas davantage : La femme revient au poète qui lui a donné l’âme. Que le su
: ‹ La paix soit sur toi, Cheikh Smaïn. Si tu veux encore de moi pour femme , viens me chercher au pays des Indes. › Plus malf
: ‹ La paix soit sur toi, Cheikh Smaïn. Si tu veux encore de moi pour femme , viens me chercher au pays des Indes. › Le prince
une fille ? lui cria Cheikh Smaïn. — 11 y a deux jours est passée une femme plus belle que lune en plein ciel. Elle m’a lancé
and, à sa grande stupéfaction, il vit ce nègre prendre la forme d’une femme à la noble coiffure. Elle supplia : — Pour Dieu,
femme à la noble coiffure. Elle supplia : — Pour Dieu, ne me tue pas. Femme , je serai ton esclave. Nègre, tu n’auras pas de m
reposer de leur interminable voyage, et le cheval aussi. Une vieille femme , vêtue pauvrement les rencontra. Cheikh Smaïn lui
fourbus. Donne-nous asile pour cette nuit, au nom de Dieu. La vieille femme les fit entrer dans sa maison et se désola de n’a
e faim. Au cours de la veillée, le prince se tournant vers la vieille femme , demanda : — Notre mère, sais-tu si des étrangers
an. Elle lui dit : — J’ai rêvé cette nuit que j’avais décidé ta jeune femme à t’accepter pour époux. Laisse-moi essayer de la
eilleux visage qui se puisse voir sous la lumière de Dieu. La vieille femme lui sourit de loin et lui fit des signes d’amitié
u sultan que s'il veut que je descende de ma tour et sois vraiment sa femme , il ordonne que la ville soit déserte tout le jou
dans la ville, sous peine de mort. Ni même demain. Alors, la vieille femme courut comme le vent vers Cheikh Smaïn et le bon
heval noir en eût-il foulé le sol, que le nègre reprit la forme d’une femme splendide, à la noble coiffure. Parti pour reconq
lus belle que lune et que rose, Cheikh Smaïn revenait donc avec trois femmes d’une éblouissante beauté. Tandis qu’il les tenai
le plat qu’à dessein elle avait posé à l’envers sur le feu. Les trois femmes de Cheikh Smaïn l'observaient de leur fenêtre. —
isque tu te soucies de la pauvre maladroite que je suis. — Je suis la femme de Cheikh Smaïn. Et mes deux compagnes qui te sou
sois la première à le saluer et à le presser sur mon cœur ! La jeune femme la prit par la main et la conduisit auprès de son
ramené Roundja plus belle que lune et que rose et deux autres jeunes femmes aussi éblouissantes qu’elle par surcroît. Et ce p
ilain cœur de supprimer Cheikh Smaïn son fils, et de lui ravir et ses femmes et ses biens. Il s’efforça néanmoins de sourire,
t celle de mon père s’accomplissent I — Du moins, poursuivit la jeune femme , prends cette bague que tu laisseras tomber dans
te ! Comme Cheikh Smain se disposait à partir, le lendemain, sa jeune femme au visage de lait et aux cheveux couleur de mais
Alors seulement le prince se souvint de ce que lui avait dit sa jeune femme à la noble coiffure pour le mettre en garde, comm
gique, des jardins aux multiples fontaines et des trois merveilleuses femmes qui y régnaient I Délirant de joie, il appela ses
ondit le vieillard, c’est Dieu qui t’envoie, car nous sommes seuls ma femme et moi. Nos champs sont vastes, tu les cultiveras
envoyé un fils I annonça dès le seuil le vieillard à sa compagne. Une femme âgée mais encore robuste se montra. Elle leva sur
pour tous. Une vie paisible et douce. ■Le lendemain, comme la vieille femme se disposait à faire son beurre dans une courge é
le lait se changea en une énorme motte de beurre. Eblouie, la vieille femme appela les voisines : elles accoururent par group
nous allions nous battre contre le nègre qui défend le palais et les femmes de son fils. Car d’avoir donné en pâtura aux gran
, ne lui suffit pas. Voici maintenant qu’il convoite ses biens et ses femmes . Mais un nègre terrible les défend farouchement e
s d’ardeur le prince. Et le débat menaçait de durer, quand la vieille femme y mit fin : — Partez tous les deux, dit-elle. Le
méconnaissable, le nègre, à travers un judas, annonça aux deux jeunes femmes , ses compagnes, qui tremblaient de peur à l’intér
dit à nouveau le nègre, mais avec plus de conviction, aux deux jeunes femmes qui observaient par le judas. Alors, Roundja plus
Que personne n'en approche ! Impatient de s’emparer du palais et des femmes de son fils, le sultan convoqua dès le lendemain
lais l’attendait le nègre fidèle qui, à sa vue, reprit la forme d'une femme à la noble coiffure. Mais le chant des multiples
n Cesse de te tourmenter, ô mon cœur, Et reconnais qu’à ma mère Nulle femme n'est préférable. Les propos des hommes sont perf
donnais, je serais sans honneur. Proverbe Comme le regard égaré de la femme qui s'enfuit ! HISTOIRE DE VELAJOUDH ET DE
ts tituber d'ivresse I Proverbes Puisque ma mère est morte Toutes les femmes peuvent disparaître ! Ils ont faim : ils prennent
ciens, il était un homme qui vivait entre sa vieille mère et sa jeune femme . Comme dans l’Arche de Noé, belle-mère et bru ne
chez ses parents, laissant l’homme désemparé. Donnait-il raison à sa femme , une grêle de malédictions et d'injures s'abattai
ns son orgueil d’homme, l’accusant de ne voir que par sa vaurienne de femme . Et durant des semaines, des mois, des années l’h
pporterons tous deux une bonne charge et demain ce sera au tour de la femme de m'accompagner. La mère sans méfiance prit une
elir dans la forêt. Je l’avais détaché tout chaud pour le porter à ma femme : elle l’avait exigé. Car pour plaire à ma femme,
pour le porter à ma femme : elle l’avait exigé. Car pour plaire à ma femme , j’ai assassiné ma mère I Et depuis, de village e
ngtemps, vivaient au milieu de leurs nombreux enfants un homme et une femme . Dieu avait octroyé plus de filles que de garçons
na. J'étais une enfant lorsque j’ai quitté mes parents et je suis une femme aujourd’hui l — Nous partirons cette nuit même, d
vécu tout ce temps sans oser lever ton regard sur lui I Quelle est la femme qui accepterait pour mari un être dont elle ne co
ut tout rompre Que toujours flatter. Mehend se tord et se plaint ; Sa femme accouche et se tait. L'invité d’un jour est léger
oire Je te rendrais ta forme humaine ! Chant d’amour Complainte de la femme adultère J’appelle à moi le bel aiglon Au corps m
eille pousse sa clameur Comme un bouc par les ruelles. ‹ Mon fils, ta femme m'a battue Sous les yeux de toutes les voisines.
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
liquement son mariage, et alla en grande ceremonie querir la reine sa femme dans son chasteau. On luy fit une entrée magnifiq
a la regence du royaume à la reine sa mere, et luy recommanda fort sa femme et ses enfans ; il devoit estre à la guerre tout
avoit emporté en même temps la petite Aurore, et l’avoit donnée à sa femme , pour la cacher dans le logement qu’elle avoit au
c un gros singe : il n’avoit pourtant que trois ans. Il le porta à sa femme , qui le cacha avec la petite Aurore, et donna, à
au roy, à son retour, que des loups enragez avoient mangé la reine sa femme et ses deux enfans. Un soir qu’elle rodoit, à son
s, pour y faire jetter la reine et ses enfans, le maistre d’hotel, sa femme et sa servante ; elle avoit donné ordre de les am
é : elle estoit sa mere ; mais il s’en consola bientost avec sa belle femme et ses enfans. MORALITÉ Attendre quelque temps
arbe bleuë : cela le rendoit si laid et si terrible qu’il n’estoit ni femme ni fille qui ne s’enfuit de devant luy. Une de se
Ce qui les dégoûtoit encore, c’est qu’il avoit déjà épousé plusieurs femmes , et qu’on ne sçavoit ce que ces femmes estoient d
il avoit déjà épousé plusieurs femmes, et qu’on ne sçavoit ce que ces femmes estoient devenuës. La Barbe-Bleue, pour faire con
le, le mariage se conclut. Au bout d’un mois, la Barbe-Bleuë dit à sa femme qu’il estoit obligé de faire un voyage en provinc
e sang caillé, et que dans ce sang se miroient les corps de plusieurs femmes mortes et attachées le long des murs (c’étoit tou
ieurs femmes mortes et attachées le long des murs (c’étoit toutes les femmes que la Barbe-Bleuë avoit épousées. et qu’il avoit
r laquelle il estoit party venoit d’estre terminée à son avantage. Sa femme fit tout ce qu’elle put pour lui témoigner qu’ell
falut apporter la clef. La Barbe-Bleuë, l'ayant considerée, dit à sa femme : « Pourquoy y a-t-il du sang sur cette clef ? —
-il du sang sur cette clef ? — Je n’en sçais rien, répondit la pauvre femme , plus pasle que la mort. — Vous n’en sçavez rien
uë, tenant un grand coutelas à sa main, crioit de toute sa force à sa femme : « Descens viste, ou je monteray là-haut. — Enco
ray là-haut. — Encore un moment, s’il vous plaist, » lui répondoit sa femme ; et aussi tost elle crioit tout bas : « Anne, ma
a Barbe-Bleuë, ou je monteray là-haut. — Je m’en vais, » répondoit la femme ; et puis elle crioit : « Anne, ma sœur Anne, ne
descendre ? crioit la Barbe-Bleuë. — Encore un moment, » répondoit sa femme ; et puis elle crioit : « Anne, ma sœur Anne, ne
leuë se mit à crier si fort que toute la maison en trembla. La pauvre femme descendit, et alla se jetter à ses pieds toute ép
evant le coutelas en l’air, il alloit luy abattre la teste. La pauvre femme , se tournant vers luy, et le regardant avec des y
rent droit à la Barbe-Bleuë. Il reconnut que c’étoit les freres de sa femme , l’un dragon et l’autre mousquetaire, de sorte qu
erent leur épée au travers du corps, et le laisserent mort. La pauvre femme estoit presque aussi morte que son mari, et n’avo
e trouva que la Barbe-Bleuë n’avoit point d’heritiers, et qu’ainsi sa femme demeura maistresse de tous ses biens. Elle en emp
Ny qui demande l’impossible, Fût-il mal-content et jaloux. Prés de sa femme on le voit filer doux ; Et, de quelque couleur qu
e. Un jour qu’elle estoit à cette fontaine, il vint à elle une pauvre femme qui la pria de luy donner à boire. « Ouy da, ma b
ire un don (car c’estoit une fée qui avoit pris la forme d’une pauvre femme de village, pour voir jusqu’où iroit l’honnesteté
n’avez qu’à aller puiser de l’eau à la fontaine, et, quand une pauvre femme vous demandera à boire, luy en donner bien honnes
CONTE   Il eſtoit une fois un gentil-homme qui épouſa en ſecondes une femme , la plus hautaine & la plus fiere qu’on eut j
t n’oſoit s’en plaindre à ſon pere qui l’auroit grondée, parce que ſa femme le gouvernoit entierement. Lorſqu’elle avoit fait
Bucheron ait eu tant d’enfans en si peu de temps ; mais c’est que sa femme allait viste en besogne, et n’en faisait pas moin
ans estoient couchés, et que le Bucheron estoit auprés du feu avec sa femme , il luy dit, le cœur serré de douleur : Tu vois b
les pauvres gens mouroient de faim. Le Bucheron envoya sur l’heure sa femme à la Boucherie. Comme il y avoit long-temps qu’el
n’est pas que le Bucheron ne fust peut-estre encore plus faché que sa femme , mais c’est qu’elle luy rompoit la teste, et qu’i
’il estoit de l’humeur de beaucoup d’autres gens, qui ayment fort les femmes qui disent bien, mais qui trouvent trés importune
erdus dans la Forest, et qui demandoient à coucher par charité. Cette femme les voyant tous si jolis se mit à pleurer, et leu
t-estre qu’il aura pitié de nous, si vous voulez bien l’en prier. La femme de l’Ogre qui crut qu’elle pourroit les cacher à
grands coups à la porte , c’estoit l’Ogre qui revenoit. Aussi tost sa femme les fit cacher sous le lit et alla ouvrir la port
t à gauche, disant qu’il sentoit la chair fraîche. Il faut luy dit sa femme , que ce soit ce Veau que je viens d’habiller que
air frâiche, te disje encore une fois, reprit l’Ogre, en regardant sa femme de travers, et il y a icy quelque chose que je n’
droit au lit. Ah, dit il voilà, donc comme tu veux me tromper maudite femme , je ne sçais à quoy il tient que je ne te mange a
n loin d’avoir de la pitié les dévoroit déjà des yeux, et disoit à sa femme que ce seroient là de friands morceaux lors qu’el
il tenoit à sa main gauche. Il en avoit déjà empoigné un, lors que sa femme luy dit, que voulez-vous faire à l’heure qu’il es
ont plus mortifiés. Mais vous avez encore là tant de viande reprit sa femme , voilà un Veau, deux Moutons et la moitié d’un C
Chambre un autre lit de la même grandeur , ce fut dans ce lit que la femme de l’Ogre mit coucher les sept petits garçons , a
. Fort content de cette expedition, il alla se recoucher auprés de sa femme . Aussi-tost que le petit Poucet entendit ronfler
nt et sans sçavoir où ils alloient. L’Ogre s’estant éveillé, dit à sa femme , va t en la haut habiller ces petits droles d’hi
noüir (car c’est le premier expedient que trouvent presque toutes les femmes en pareilles rencontres.) L’Ogre craignant que sa
e toutes les femmes en pareilles rencontres.) L’Ogre craignant que sa femme ne fût trop longtemps à faire la besongne dont il
gée, monta en haut pour luy aider. Il ne fut pas moins estonné que sa femme lors qu’il vit cet affreux spectacle. Ah, qu’ay-j
out à l’heure. Il jetta aussi-tost une potée d’eau dans le nez de sa femme , et, l’ayant fait revenir , donne moy viste mes b
faites pour lui. Il alla droit à la maison de l’Ogre où il trouva sa femme qui pleuroit auprés de ses filles égorgées. Vostr
urs Amans , et ce fut là son plus grand gain. Il se trouvoit quelques femmes qui le chargeoient de Lettres pour leurs maris ,
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