cesses de psalmodier en pensant à moi, cette parole que les vieilles
femmes
de chez nous ont lancée vers le ciel, à ton inten
hommes, pour toi, perdront l'esprit. Que de beautés vous enfantez, ô
femmes
, Pour les remettre entre les mains des hommes !
as deux fontaines. L’une est celle des négresses et l’autre celle des
femmes
blanches. Prends garde de te baigner dans la font
furent en vue les fontaines, la négresse se précipita vers l’eau des
femmes
blanches et s'y baigna. La jeune fille s’approcha
refait à ma mère. La négresse qui, elle, s’est baignée dans l’eau des
femmes
blanches est devenue blanche et je suis devenue n
a neige et l’empourpra. L’un dit : — Heureux celui qui épouserait une
femme
au teint blanc comme neige et vermeil comme sang
direction et dit : — Là-bas, très loin. Alorf, celui qui rêvait d’une
femme
au teint blanc comme neige et vermeil comme sang
vante fut engagée. Le jeune homme attendit la nuit pour dépouiller sa
femme
de la peau d’emprunt qui voilait sa beauté. Au ma
-tu, mon oncle le Crapaud? demanda-t-il. — Que n’ai-je I La reine des
femmes
s'est enfuie : elle est dans la mare. — Ce n’est
; que fais-tu seul par les chemins ? — Le sel de l’univers a fui. La
femme
m’a abandonné. — Je cours te la ramener. — Dame G
a pleine lune paraît, Les étoiles peuvent bien scintiller ; Envers la
femme
aimée, La malveillance des beaux-parents est vain
e un long fll I L’on raconte qu’aux temps anciens, il était une jeune
femme
belle, aussi belle que la lune. Et cette femme, l
ns, il était une jeune femme belle, aussi belle que la lune. Et cette
femme
, les nuits de pleine lune, se fardait, peignait e
ais la fille que tu portes en toi nous passera en beauté. Et la jeune
femme
se lamentait et maudissait l’enfant qui était dan
tu l’es. Mais la beauté de ta fille éclipsera la tienne. Et la jeune
femme
, en entendant ces mots, sentait le poignard de la
ait commencé par être un homme heureux : il possédait une maison, une
femme
, de nombreux champs et toutes sortes de biens et
u as beau m'être cher, œil. Le sourcil est au-dessus de toi. Vois une
femme
accomplie et épouse sa fille. Tombe la pluie Dans
! Autrefois, dans un certain village, il était un homme qui avait une
femme
et deux enfants. L’aînée était une fillette : ell
a maison. Homme, tu la vendras. Tu la vendras ! Il lui répondit : • —
Femme
, Dieu veuille te raisonner . comment pourrais-je
des orphelins. Il ramena la vache à la tombée de la nuit et dit à sa
femme
: — Personne n’a voulu l’acheter. Tous m’on dit :
s au marché. Mais il ne trouva personne pour la lui acheter. Alors sa
femme
lui déclara : — Puisque tu ne parviens pas à la v
ous. Aîcha, le lendemain, regarda entre les palmes et vit une vieille
femme
toute voûtée : c’était Settoute qui avait apporté
’eau d’une source et a été changé en gazelle. Le sultan fit d’elle sa
femme
. Aïcha et son frère-gazelle vécurent heureux quel
plusieursxfemmes, aucune ne lui avait donné d’héritier. L’une de ces
femmes
fut jalouse de Aïcha. Profitant de ce que le sult
a gazelle bramait par toute la maison, bramait par tout le jardin. La
femme
jalouse avait beau l’attacher, la gazelle rompait
it à bramer en en faisant le tour. A bramer en en faisant le tour. La
femme
jalouse finit par dire à un serviteur : — Egorge-
mais un être humain. Elle me regarde, et les mains m’en tombent ! La
femme
jalouse demanda successivement à tous les servite
surpris, le sultan avança vers le puits et regarda : il vit une jeune
femme
élevant dans ses bras un enfant, un enfant si bea
e gazelle, qui est-elle ? — Cette gazelle? C'est le frère de ma jeune
femme
, répondit le sultan. Je ne sais ce qu'il a bu ou
sculait, elle s’écria : — Dis-moi, Mehend fils de roi, aurais-tu pour
femme
Soumi- cha fille de Hitine pour être si fier et m
orsque le cadet se réveilla à son tour : il découvrit à ses côtés une
femme
baignée de lune. Il se mit à l’implorer dans la n
e. Il se mit à l’implorer dans la nuit : «Par Dieu et son prophète, ô
femme
! regarde-moi, parle-moi et dis-moi qui tu es ! ›
irent d’énormes troncs. Chacun offrit son blé le plus brillant et les
femmes
roulèrent, en chantant, le couscous des noces. De
e courut annoncer la nouvelle au sultan : — Notre fils a rencontré la
femme
qu’il aime et l’a épousée ! Le sultan sourit tris
! Le sultan ne sut que répondre. Mais telle était la certitude de sa
femme
qu’il rêva aux grandes réjouissances qu’il ordonn
taciturne était devenu un homme qui refusait farouchement de prendre
femme
et fuyait toute compagnie. Son visage tranchant e
et la fit voler au loin. Les champs furent à nouveau irrigués. Et les
femmes
purent s’approcher de la fontaine avec leurs cruc
si longtemps ! T'es-tu rendu dans ton pays?... La fille du sultan, ta
femme
, a accouché en ton absence d’un garçon. Le sultan
mal du pays, répondit Mehend. Je veux revoir ma mère et lui amener ma
femme
et mon fils. Le sultan essaya vainement de les re
Comme qui avancerait dans le brouillard et les ténèbres. Dansb sacrés
Femmes
vénérées des Aith Ouerthiran/ Vous êtes roses com
à tisser, Vous proférez votre serment, Le mal s’éloigne des maisons.
Femmes
des Aith Ouerthiran Salut à vous, le jour se lève
on raconte que, dans un village, il était deux vieux (un homme et une
femme
) et que ces vieux avaient deux garçons encore jeu
viande était rare, si rare qu’on en rêvait, un homme dit un jour à sa
femme
: — Demain nous aurons des invités. J’achèterai d
in de jonc. C'était de la belle viande de mouton tendre et grasse. La
femme
avait déjà allumé le feu dans la cour et roulé le
romates et d’épices : viande et légumes remplissaient une terrine. La
femme
les jeta dans la marmite. Puis elle mit à cuire l
. Au bout d’un moment, un agréable fumet se répandit dans la cour. La
femme
se leva pour goûter le sel. La viande était presq
uce l’enveloppait et la ramenait irrésistiblement vers la marmite. La
femme
taquina le feu, ajouta une bûche, alla même jusqu
e 1 Mais on eût dit qu'elle se faisait plus exigeante à mesure que la
femme
retirait morceau sur morceau. Résolue à en manger
irait morceau sur morceau. Résolue à en manger un dernier morceau, la
femme
plongea encore une fois la louche mais ne ramena
gea encore une fois la louche mais ne ramena que légumes. Affolée, la
femme
la plongea et la replongea désespérément : la mar
e ne pas voir le petit garçon qu’il aimait comme sa prunelle. Mais la
femme
répondit : — Mes parents s’ennuyaient de lui. Us
des fruits et du café à ses hôtes. Et puis 11 les reconduisit. Et la
femme
courut rapporter un tamis qu’une voisine lui avai
t-elle. Car chaque jour le père demandait : — Où est le petit ? Et la
femme
répondait, de plus en plus embarrassée : — Il est
Il est chez mes parents, il rentrera bientôt. Arriva le moment où la
femme
ne put plus répondre : ‹ H est chez mes parents,
sais ce que le petit est devenu. Ma mère m’a dit qu'il a disparu. La
femme
venait juste d’apporter un grand plat de couscous
mblé mes os. Le père comprit. Il se leva, terrible, et marcha vers la
femme
. Mais alors l’oiseau chanta à nouveau, avec la do
fil 1 Autrefois, dans une lointaine contrée, il était un homme et une
femme
qui avaient un enfant. Ils étaient déjà vieux lor
nde qu’après avoir vu les étoiles en plein midi I La terre regorge de
femmes
I Mais Mehend répondit : — Il n'existe plus de fe
erre regorge de femmes I Mais Mehend répondit : — Il n'existe plus de
femme
au monde pour qui a vu celle- là I — Puisses-tu n
es Sept Ogres était encore vivant I II portait une blessure. La jeune
femme
le soigna, le nourrit. La jeune femme lui tint co
portait une blessure. La jeune femme le soigna, le nourrit. La jeune
femme
lui tint compagnie et ne referma sur lui la trapp
mots : — Ne t’ai-je pas dit que du bien ne pouvait te venir de cette
femme
au cœur noir? Comment peux-tu être encore ébloui
Pomme Enchantée. Va, et que Dieu vienne en aide à celui qui, pour une
femme
, a perdu la raison ! Mehend s’éloigna. Il marcha
reprit le chemin de sa demeure. A peine entendit-elle son pas que sa
femme
referma la trappe sur l’Ogre et courut se jeter s
eant, une fois sa blessure guérie. Aussi, un matin, dit-il à la jeune
femme
: — J’en ai assez d’être toujours sur le qui-vive
jure par cette barbe toute blanche et ce Dieu qui nous a créés, cette
femme
en veut à ton âme. Elle finira par te l’arracher.
Mehend s’en revint en toute hâte chez lui. A la tombée de la nuit sa
femme
entendit son pas. Elle qui tout le jour avait ri
de de deux poils dérobés à la moustache du lion. » L’Ogre et la jeune
femme
se sentirent heureux et insouciants tout le jour,
épandait de la lumière et boire une terrine de lait. Et puis la jeune
femme
prépara le repas du soir. L’Ogre avala précipitam
les nuits dans cette fosse humide et noire comme une tombe ! La jeune
femme
attendit que l’Ogre eût disparu pour se déshabill
trou de la serrure. Alors ils virent ! Ils virent l’Ogre et la jeune
femme
assis face à face, de part et d’autre d’un énorme
uisses de poulets. Autour d’eux, plusieurs lampes brûlaient. La jeune
femme
au cœur noir s’était parée pour cette fête : Elle
ô chance, le lion nous a délivrés de Mehend !› Et l’Ogre et la jeune
femme
de rire et folâtrer parmi les lampes allumées ! I
ler en éclats. Alors, se tenant sur le seuil, Mehend regarda la jeune
femme
et lui dit d’une voix terrible : — Pour toi j’ai
hi, car tu ne mérites pas de mourir de ma main. Et, laissant la jeune
femme
avec l’outre de lait et le cadavre de l’Ogre, Meh
lui. Proberbb N’ayez confiance dans le ciel de mars qui rit Ni en la
femme
si même elle prie. Chant de méditation Je suis se
ie tu peux te rendre, Dans un an j’aurai grandi 1 › Proverbe C’est la
femme
séquestrée qui a vu l’âne 1 HISTOIRE DU COFFRE
n fils lui succéda. Un jour que le jeune roi rendait la justice, deux
femmes
se présentèrent avec un enfant qu’elles se disput
riguée, se renseigna auprès d'un serviteur. Celui-ci lui dit : — Deux
femmes
sont là avec un enfant que toutes deux revendique
stant. Et puis elle répondit : — ‹}ue le roi dise simplement aux deux
femmes
: ‹ Je vais partager l’enfant en deux et chacune
r que nous partagions cet enfant. — Non, Seigneur I s’écria l’une des
femmes
, il mourra 1 Alors le roi lui tendit l’enfant et
ne perdrix plus chère à ses yeux que tout au monde. Plus chère que sa
femme
et que sa fille. Lui seul en approchait, lui donn
ille par la main et sortit. Elles marchèrent jusqu'au soir. La pauvre
femme
était sur le point de mettre un enfant au monde :
à mon tour de monter. Il rampa le long de l’arbre et mordit la pauvre
femme
qui tomba lourdement. Les fauves allaient se ruer
l’enfant et le remit à la lapine. Les fauves se partagèrent la pauvre
femme
. D’elle, il ne resta bientôt que quelques os et d
entrèrent dans le village au crépuscule. Ils remarquèrent une vieille
femme
qui avançait à quelques pas d’eux. Ils la rejoign
ondément. Le jeune homme s’éveilla le premier. H alla vers la vieille
femme
et lui déclara : — Ma sœur et moi nous voudrions
s. Où pourrais-je trouver une petite maison et du travail? La vieille
femme
répondit : — Je suis âgée, fatiguée, seule au mon
ps. Ils restèrent et vécurent heureux et paisibles près de la vieille
femme
. Mais elle vint à mourir et ils cessèrent d'être
e dans son cœur ne put plus être contenue. C’était un matin. La jeune
femme
et la jeune fille se trouvaient dans les champs ;
grâce à elle que je suis un homme ? — Très bien, poursuivit la jeune
femme
. Puisque tu ne veux pas me croire, demain dis à t
ir en elle. Et puis il se leva. Il attendit la nuit pour retrouver sa
femme
et lui dire : — Tu as dit vrai ! — Fais d’elle ce
ci et voilà ce qu’il a fait de moi ! Je l’ai élevé. Je l'ai marié. Sa
femme
m’a tout de suite détestée, mais lui m’a aimée et
erdrix, une perdrix qu’il aimait plus que tout au monde ; plus que sa
femme
et que sa fille. Il avait dit et répété à son ent
marchèrent longtemps. La nuit les surprit en pleine forêt. La pauvre
femme
était sur le point de mettre un enfant au monde :
e d’un village inconnu, le frère et la sœur rencontrèrent une vieille
femme
. Ils lui dirent : ‹ Notre mère, abrite-nous, au n
ncle Ali ! Il m’a mené dans les bois Et m'a abandonnée I... Ali et sa
femme
s’enfonçaient de plus en plus. Leurs têtes seules
sin : — « Cherche ta pâture, Je n’ai pas de sein. » Les parents de la
femme
Sont autour du festin. Mais les parents de l’homm
ur l'oublie I Demande au bien-aimé S’il revient au pays. Proverbes La
femme
est comme un grain d’orge Qui pousse là où on le
Pour me tuer si tu veux dans cet autre. Chant de méditation La jeune
femme
pleurait En racontant sa peine, La jeune femme re
de méditation La jeune femme pleurait En racontant sa peine, La jeune
femme
revivait Le jour de ses noces. Un hibou l’avait é
choisir entre tes filles et moi : elles partiront ou je partirai ! —
Femme
I suppliait le père, femme, Dieu veuille te raiso
t moi : elles partiront ou je partirai ! — Femme I suppliait le père,
femme
, Dieu veuille te raisonner ! Que ferais-je de mes
l lui semblait que la terre se creusait sous lui, car il aimait cette
femme
. Sûre de son pouvoir, la marâtre reprit : — Demai
, à l’ombre d’un figuier. Elles s’y assirent en rond comme de petites
femmes
, préoccupées de ne pas froisser leurs beaux atour
qui ruinerait les royaumes voisins et les asservirait, il exigea des
femmes
qu’elles missent au monde des enfants sans répit.
n père?... Etait-il mort? Avait-il pu échapper à son mauvais génie de
femme
? Etait-ce la venue de son père que Aïcha attendai
: — Donne les épluchures de cette pomme à ta jument et le coeur à ta
femme
. La sultane sera enceinte et mettra au monde un g
oupa et se mit à le sculpter face à la lune, à lui donner un corps de
femme
et un visage. A son tour le tailleur s’éveilla et
vais, moi, prier Dieu de lui donner une âme». Et la poupée devint une
femme
d’une incomparable beauté. Au matin, le menuisier
femme d’une incomparable beauté. Au matin, le menuisier dit : ‹ Cette
femme
est ià moi, car je lui ai donné le corps. › Le ta
lui ai donné l'âme. » Bougie, toi qui sais, dis-nous à qui est cette
femme
. Cheikh Smain alors se dressa et dit, excédé, au
xcédé, au jeune savant : — Tais-toi. Ne me fatigue pas davantage : La
femme
revient au poète qui lui a donné l’âme. Que le su
: ‹ La paix soit sur toi, Cheikh Smaïn. Si tu veux encore de moi pour
femme
, viens me chercher au pays des Indes. › Plus malf
: ‹ La paix soit sur toi, Cheikh Smaïn. Si tu veux encore de moi pour
femme
, viens me chercher au pays des Indes. › Le prince
une fille ? lui cria Cheikh Smaïn. — 11 y a deux jours est passée une
femme
plus belle que lune en plein ciel. Elle m’a lancé
and, à sa grande stupéfaction, il vit ce nègre prendre la forme d’une
femme
à la noble coiffure. Elle supplia : — Pour Dieu,
femme à la noble coiffure. Elle supplia : — Pour Dieu, ne me tue pas.
Femme
, je serai ton esclave. Nègre, tu n’auras pas de m
reposer de leur interminable voyage, et le cheval aussi. Une vieille
femme
, vêtue pauvrement les rencontra. Cheikh Smaïn lui
fourbus. Donne-nous asile pour cette nuit, au nom de Dieu. La vieille
femme
les fit entrer dans sa maison et se désola de n’a
e faim. Au cours de la veillée, le prince se tournant vers la vieille
femme
, demanda : — Notre mère, sais-tu si des étrangers
an. Elle lui dit : — J’ai rêvé cette nuit que j’avais décidé ta jeune
femme
à t’accepter pour époux. Laisse-moi essayer de la
eilleux visage qui se puisse voir sous la lumière de Dieu. La vieille
femme
lui sourit de loin et lui fit des signes d’amitié
u sultan que s'il veut que je descende de ma tour et sois vraiment sa
femme
, il ordonne que la ville soit déserte tout le jou
dans la ville, sous peine de mort. Ni même demain. Alors, la vieille
femme
courut comme le vent vers Cheikh Smaïn et le bon
heval noir en eût-il foulé le sol, que le nègre reprit la forme d’une
femme
splendide, à la noble coiffure. Parti pour reconq
lus belle que lune et que rose, Cheikh Smaïn revenait donc avec trois
femmes
d’une éblouissante beauté. Tandis qu’il les tenai
le plat qu’à dessein elle avait posé à l’envers sur le feu. Les trois
femmes
de Cheikh Smaïn l'observaient de leur fenêtre. —
isque tu te soucies de la pauvre maladroite que je suis. — Je suis la
femme
de Cheikh Smaïn. Et mes deux compagnes qui te sou
sois la première à le saluer et à le presser sur mon cœur ! La jeune
femme
la prit par la main et la conduisit auprès de son
ramené Roundja plus belle que lune et que rose et deux autres jeunes
femmes
aussi éblouissantes qu’elle par surcroît. Et ce p
ilain cœur de supprimer Cheikh Smaïn son fils, et de lui ravir et ses
femmes
et ses biens. Il s’efforça néanmoins de sourire,
t celle de mon père s’accomplissent I — Du moins, poursuivit la jeune
femme
, prends cette bague que tu laisseras tomber dans
te ! Comme Cheikh Smain se disposait à partir, le lendemain, sa jeune
femme
au visage de lait et aux cheveux couleur de mais
Alors seulement le prince se souvint de ce que lui avait dit sa jeune
femme
à la noble coiffure pour le mettre en garde, comm
gique, des jardins aux multiples fontaines et des trois merveilleuses
femmes
qui y régnaient I Délirant de joie, il appela ses
ondit le vieillard, c’est Dieu qui t’envoie, car nous sommes seuls ma
femme
et moi. Nos champs sont vastes, tu les cultiveras
envoyé un fils I annonça dès le seuil le vieillard à sa compagne. Une
femme
âgée mais encore robuste se montra. Elle leva sur
pour tous. Une vie paisible et douce. ■Le lendemain, comme la vieille
femme
se disposait à faire son beurre dans une courge é
le lait se changea en une énorme motte de beurre. Eblouie, la vieille
femme
appela les voisines : elles accoururent par group
nous allions nous battre contre le nègre qui défend le palais et les
femmes
de son fils. Car d’avoir donné en pâtura aux gran
, ne lui suffit pas. Voici maintenant qu’il convoite ses biens et ses
femmes
. Mais un nègre terrible les défend farouchement e
s d’ardeur le prince. Et le débat menaçait de durer, quand la vieille
femme
y mit fin : — Partez tous les deux, dit-elle. Le
méconnaissable, le nègre, à travers un judas, annonça aux deux jeunes
femmes
, ses compagnes, qui tremblaient de peur à l’intér
dit à nouveau le nègre, mais avec plus de conviction, aux deux jeunes
femmes
qui observaient par le judas. Alors, Roundja plus
Que personne n'en approche ! Impatient de s’emparer du palais et des
femmes
de son fils, le sultan convoqua dès le lendemain
lais l’attendait le nègre fidèle qui, à sa vue, reprit la forme d'une
femme
à la noble coiffure. Mais le chant des multiples
n Cesse de te tourmenter, ô mon cœur, Et reconnais qu’à ma mère Nulle
femme
n'est préférable. Les propos des hommes sont perf
donnais, je serais sans honneur. Proverbe Comme le regard égaré de la
femme
qui s'enfuit ! HISTOIRE DE VELAJOUDH ET DE
ts tituber d'ivresse I Proverbes Puisque ma mère est morte Toutes les
femmes
peuvent disparaître ! Ils ont faim : ils prennent
ciens, il était un homme qui vivait entre sa vieille mère et sa jeune
femme
. Comme dans l’Arche de Noé, belle-mère et bru ne
chez ses parents, laissant l’homme désemparé. Donnait-il raison à sa
femme
, une grêle de malédictions et d'injures s'abattai
ns son orgueil d’homme, l’accusant de ne voir que par sa vaurienne de
femme
. Et durant des semaines, des mois, des années l’h
pporterons tous deux une bonne charge et demain ce sera au tour de la
femme
de m'accompagner. La mère sans méfiance prit une
elir dans la forêt. Je l’avais détaché tout chaud pour le porter à ma
femme
: elle l’avait exigé. Car pour plaire à ma femme,
pour le porter à ma femme : elle l’avait exigé. Car pour plaire à ma
femme
, j’ai assassiné ma mère I Et depuis, de village e
ngtemps, vivaient au milieu de leurs nombreux enfants un homme et une
femme
. Dieu avait octroyé plus de filles que de garçons
na. J'étais une enfant lorsque j’ai quitté mes parents et je suis une
femme
aujourd’hui l — Nous partirons cette nuit même, d
vécu tout ce temps sans oser lever ton regard sur lui I Quelle est la
femme
qui accepterait pour mari un être dont elle ne co
ut tout rompre Que toujours flatter. Mehend se tord et se plaint ; Sa
femme
accouche et se tait. L'invité d’un jour est léger
oire Je te rendrais ta forme humaine ! Chant d’amour Complainte de la
femme
adultère J’appelle à moi le bel aiglon Au corps m
eille pousse sa clameur Comme un bouc par les ruelles. ‹ Mon fils, ta
femme
m'a battue Sous les yeux de toutes les voisines.