he Et elle paraîtra belle. Il est indiscret comme une jarre pleine de
fèves
. S'inquiéter des racines du brouillard I Chant re
irez aux champs à notre place et vous sèmerez des petits pois et des
fèves
. Un matin, leur mère leur donna une galette de bl
rs, des olives, des figues et une pleine sacoche de petits pois et de
fèves
qu’elle avait fait tremper la veille pour qu'ils
route. Ils jouèrent, jouèrent tout le long du chemin en croquant les
fèves
(elles étaient presque tendres). Ils croquèrent a
dirent au soleil dans le champ. Quand il ne leur resta plus une seule
fève
ni un seul petit pois, ils mangèrent la galette,
et de l’ensemencer, ils jouaient et croquaient les petits pois et les
fèves
. Le père leur dit un soir : — Cette fois, vous de
ous devez avoir fini. Jusqu'où avez-vous semé? Us répondirent : — Des
fèves
? Nous en avons semé jusqu'à la rivière. Le champ
nt : — Des fèves ? Nous en avons semé jusqu'à la rivière. Le champ de
fèves
atteindra sûrement la riv'ère. Quant à celui de p
disait aux deux garçons : — Allez donc voir si nos petits pois et nos
fèves
poussent. Arrachez l’herbe, jetez un regard sur t
t tout le jour à qui mieux mieux et claironnaient en rentrant : — Des
fèves
jusqu’à la rivière. Des petits pois jusqu’au ruis
eille se mit à bourdonner, l’oiseau à chanter ; c’était la saison des
fèves
. Le père dit aux enfants : — Nos fèves doivent êt
hanter ; c’était la saison des fèves. Le père dit aux enfants : — Nos
fèves
doivent être mûres. Allez au champ nous en rappor
ore mûres : le champ est exposé à l'ombre. Au mois de mai, toutes les
fèves
de la région étaient mûres. On les rapportait par
l : — Qu’allons-nous faire? Tu sais bien que nous n’avons pas semé de
fèves
? — Ne t’inquiète de rien, répondit le Subtil : fa
aisons rouler notre tamis : là où il s’arrêtera, nous cueillerons des
fèves
tant et plus. C’est l’époque de l’abondance ! Ils
vaient vu pareille ri* chesse octroyée par Dieu I C’étaient de belles
fèves
maltaises : chaque gousse était aussi longue qu’u
ours à la même place. Je vois bouger ses oreilles. Ils écossèrent des
fèves
tout le jour. Ils en écossèrent et en mangèrent t
bâton. Ils coururent vers lui et lui avouèrent n’avoir jamais semé de
fèves
ni de petits pois. Ils lui racontèrent toute leur
l’Innocent. Nous étions dans son champ en train d’écosser de grosses
fèves
. Elle a mangé notre âne et elle a attaché ses ore
venture, la mère s’écria : — Que m'importe l'âne, que m’importent les
fèves
, puisque vous m’êtes rendus I Mon conte est comme
gratter le sol. Elle gratta si bien que ses doigts rencontrèrent une
fève
. Elle l’éplucha, en fit six parts qu’elle distrib
encore entre ses sœurs. La fillette avait mis la main sur une mine de
fèves
. Et le temps s’écoula. Un matin que Aîcha-Cendrin
e temps s’écoula. Un matin que Aîcha-Cendrinette retirait la dernière
fève
, la lumière du jour apparut entre ses doigts par
à sa queue d’un ton menaçant : — Qui est entré chez moi et où est la
fève
que j’avais préparée pour mon souper? Parie ou je
mit à l’affût de grand matin et elle vit, par le trou gros comme une
fève
. Moche gagner un coin de la pièce et disparaître
petites filles. Et tout l’été Aîcha put ainsi nourrir ses sœurs. — Ma
fève
ou j’éteins le feu ! menaçait Moche, chaque soir,
ffrayait plus. Elle avait cessé de l’épier par le trou gros comme une
fève
, depuis qu’elle connaissait ses habitudes et ses
e, en mon absence, pénétrer ici? Me diras-tu qui m’a dérobé la grosse
fève
que j’avais réservée pour mon dîner? Parle ou je
ents : oeufs, fruits, figues sèches, noix, raisins secs, dattes, blé,
fèves
. Toutes mirent dans de petits couffins ce qu’elle
est allé se délasser : Il a trouvé ses amis malades. Dispersés comme
fèves
sur une planche : Celle qui saute est perdue. D’a