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1 (1966) Le grain magique
he Et elle paraîtra belle. Il est indiscret comme une jarre pleine de fèves . S'inquiéter des racines du brouillard I Chant re
irez aux champs à notre place et vous sèmerez des petits pois et des fèves . Un matin, leur mère leur donna une galette de bl
rs, des olives, des figues et une pleine sacoche de petits pois et de fèves qu’elle avait fait tremper la veille pour qu'ils
route. Ils jouèrent, jouèrent tout le long du chemin en croquant les fèves (elles étaient presque tendres). Ils croquèrent a
dirent au soleil dans le champ. Quand il ne leur resta plus une seule fève ni un seul petit pois, ils mangèrent la galette,
et de l’ensemencer, ils jouaient et croquaient les petits pois et les fèves . Le père leur dit un soir : — Cette fois, vous de
ous devez avoir fini. Jusqu'où avez-vous semé? Us répondirent : — Des fèves ? Nous en avons semé jusqu'à la rivière. Le champ
nt : — Des fèves ? Nous en avons semé jusqu'à la rivière. Le champ de fèves atteindra sûrement la riv'ère. Quant à celui de p
disait aux deux garçons : — Allez donc voir si nos petits pois et nos fèves poussent. Arrachez l’herbe, jetez un regard sur t
t tout le jour à qui mieux mieux et claironnaient en rentrant : — Des fèves jusqu’à la rivière. Des petits pois jusqu’au ruis
eille se mit à bourdonner, l’oiseau à chanter ; c’était la saison des fèves . Le père dit aux enfants : — Nos fèves doivent êt
hanter ; c’était la saison des fèves. Le père dit aux enfants : — Nos fèves doivent être mûres. Allez au champ nous en rappor
ore mûres : le champ est exposé à l'ombre. Au mois de mai, toutes les fèves de la région étaient mûres. On les rapportait par
l : — Qu’allons-nous faire? Tu sais bien que nous n’avons pas semé de fèves ? — Ne t’inquiète de rien, répondit le Subtil : fa
aisons rouler notre tamis : là où il s’arrêtera, nous cueillerons des fèves tant et plus. C’est l’époque de l’abondance ! Ils
vaient vu pareille ri* chesse octroyée par Dieu I C’étaient de belles fèves maltaises : chaque gousse était aussi longue qu’u
ours à la même place. Je vois bouger ses oreilles. Ils écossèrent des fèves tout le jour. Ils en écossèrent et en mangèrent t
bâton. Ils coururent vers lui et lui avouèrent n’avoir jamais semé de fèves ni de petits pois. Ils lui racontèrent toute leur
l’Innocent. Nous étions dans son champ en train d’écosser de grosses fèves . Elle a mangé notre âne et elle a attaché ses ore
venture, la mère s’écria : — Que m'importe l'âne, que m’importent les fèves , puisque vous m’êtes rendus I Mon conte est comme
gratter le sol. Elle gratta si bien que ses doigts rencontrèrent une fève . Elle l’éplucha, en fit six parts qu’elle distrib
encore entre ses sœurs. La fillette avait mis la main sur une mine de fèves . Et le temps s’écoula. Un matin que Aîcha-Cendrin
e temps s’écoula. Un matin que Aîcha-Cendrinette retirait la dernière fève , la lumière du jour apparut entre ses doigts par
à sa queue d’un ton menaçant : — Qui est entré chez moi et où est la fève que j’avais préparée pour mon souper? Parie ou je
mit à l’affût de grand matin et elle vit, par le trou gros comme une fève . Moche gagner un coin de la pièce et disparaître
petites filles. Et tout l’été Aîcha put ainsi nourrir ses sœurs. — Ma fève ou j’éteins le feu ! menaçait Moche, chaque soir,
ffrayait plus. Elle avait cessé de l’épier par le trou gros comme une fève , depuis qu’elle connaissait ses habitudes et ses
e, en mon absence, pénétrer ici? Me diras-tu qui m’a dérobé la grosse fève que j’avais réservée pour mon dîner? Parle ou je
ents : oeufs, fruits, figues sèches, noix, raisins secs, dattes, blé, fèves . Toutes mirent dans de petits couffins ce qu’elle
est allé se délasser : Il a trouvé ses amis malades. Dispersés comme fèves sur une planche : Celle qui saute est perdue. D’a
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