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1 (1966) Le grain magique
ez être tenu régulièrement informé de nos parutions, il vous suffit d’ envoyer vos nom et adresse au Éditions La Découverte, 9 b
er aux champs. L’été, ceux qui possédaient des jardins de montagne, l’ envoyaient leur cueillir des légumes et des fruits. Elle rev
e sont posés sur toi et maintenant te voici la proie des démons. Elle envoya chercher le Cheikh de la Mosquée. Mais le Cheikh
e, durant des jours et des jours. Dieu finit par s’en émouvoir et lui envoyer un songe. Et dès lors, elle connut la paix. C'éta
iers l’aperçurent. Ils accoururent pour lui dire : — C’est Dieu qui t’ envoie pour nous délivrer d’un tigre monstrueux qui, cha
e en plein ciel, un tigre, un lion, une panthère. Lorsque Dieu nous l’ envoya , le dragon-aux-sept-têtes régnait sur nous et nou
s son déjeuner et son dîner. Aïcha venait de l’autre bout du village, envoyée par ses parents qui ne pouvaient eux-mêmes prendr
’en ai assez d’être toujours sur le qui-vive. Il nous faut absolument envoyer ton époux à un endroit d’où il lui soit impossibl
ours tout ce que tu voudras. Néanmoins, avant le jour des noces, elle envoya chercher le menuisier et lui commanda un coffre d
vint à passer qui revenait d’un marché voisin : c’est Dieu qui le lui envoyait . Il délivra la jeune fille. Il l’emmena dans sa d
er en voiture. — Que sa volonté s’accomplisse, loué soit Dieu qui t’a envoyée ! Aujourd'hui nul ne sortira dans la ville, sous
ois travailler. ' — Mon fils, répondit le vieillard, c’est Dieu qui t’ envoie , car nous sommes seuls ma femme et moi. Nos champ
n beau figuier l’ombrageait et la rendait accueillante. — Dieu nous a envoyé un fils I annonça dès le seuil le vieillard à sa
de Dieu, ô hommes de bonne volonté ›, qu’un enfant courait porter à l’ envoyé de Dieu sa part de galette, de couscous ou de lai
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
stre à la guerre tout l’esté ; et, dés qu’il fut parti, la reine-mere envoya sa bru et ses enfans à une maison de campagne dan
mp; ma barriere de diamants, qui n’eſt pas des plus indifferentes. On envoya querir la bonne coëffeuſe pour dreſſer les cornet
eron et la Bucheronne arriverent chez eux, le Seigneur du Vilage leur envoya dix écus qu’il leur devoit il y avoit long-tems,
r redonna la vie, car les pauvres gens mouroient de faim. Le Bucheron envoya sur l’heure sa femme à la Boucherie. Comme il y a
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