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1 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
mans et de rubis. Mais, comme chacun prenoit sa place à table, on vit entrer une vieille fée, qu’on n’avait point priée, parce
rche vers le chasteau, qu’il voyoit au bout d’une grande avenuë où il entra , et, ce qui le surprit un peu, il vit que personn
er son chemin : un prince jeune et amoureux est toûjours vaillant. Il entra dans une grande avan-cour, où tout ce qu’il vit d
eau. On luy fit une entrée magnifique dans la ville capitale, où elle entra au milieu de ses deux enfans. Quelque temps aprés
ntention de n’en pas faire à deux fois. Il s’excitoit à la fureur, et entra , le poignard à la main, dans la chambre de la jeu
s jetter dans la cuve, lorsque le roi, qu’on n’attendoit pas si tost, entra dans la cour, à cheval : il estoit venu, en poste
n rouge tira la chevillette, et la porte s’ouvrit. Le Loup, la voyant entrer , luy dit en se cachant dans le lit, sous la couve
ut, allez par tout ; mais, pour ce petit cabinet, je vous deffens d’y entrer , et je vous le deffens de telle sorte que, s’il v
z rien ! reprit la Barbe-Bleuë. Je le sçay bien, moy. Vous avez voulu entrer dans le cabinet ! Hé bien, Madame, vous y entrere
moy. Vous avez voulu entrer dans le cabinet ! Hé bien, Madame, vous y entrerez , et irez prendre votre place auprés des dames que
la Barbe-Bleuë s’arresta tout court. On ouvrit, et aussi tost on vit entrer deux cavaliers, qui, mettant l’épée à la main, co
eine fut-il couché qu’il eut contentement : un jeune étourdi de lapin entra dans son sac, et le maistre Chat, tirant aussi to
uy parler. On le fit monter à l’appartement de Sa Majesté, où, estant entré , il fit une grande reverence au roy, et luy dit :
pendant le roy, qui vit en passant le beau chasteau de l’ogre, voulut entrer dedans. Le Chat, qui entendit le bruit du carosse
ui le devoient venir voir ce même jour-là, mais qui n’avoient pas osé entrer , sçachant que le roy y estoit. Le roy, charmé des
a porta chez les deux ſœurs, qui firent tout leur poſſible pour faire entrer leur pied dans la pentoufle, mais elles ne purent
me chemin qu’ils estoient venus dans la forest. Ils n’oserent d’abord entrer , mais ils se mirent tous contre la porte pour éco
e pourroit les cacher à son mary jusqu’au lendemain matin, les laissa entrer et les mena se chauffer auprés d’un bon feu , car
en campagne, et aprés avoir couru bien loin de tous costés, enfin il entra dans le chemin où marchoient ces pauvres enfans q
2 (1966) Le grain magique
it indiquée. Il marcha, marcha tout un jour et toute une nuit avant d’ entrer dans une forêt et d’apercevoir une fumée monter a
a chasse ; elle ne reviendra qu'au coucher du soleil. Si tu consens à entrer , entre. Il dit : — J’y consens. Et il entra. Elle
soleil. Si tu consens à entrer, entre. Il dit : — J’y consens. Et il entra . Elle lui donna à boire et à manger. Et puis, com
s à la terre et au ciel. Sa tête était un vrai buisson d’épines. Elle entra en se courbant. Dès le seuil, elle aspira forteme
au. Elle lui sauta dessus et le dévora. Au matin, lorsque la servante entra pour saluer les époux et leur servir leur déjeune
aisse végétation, l’entrée d’une caverne. Elle se fraya un passage et entra . La caverne était profonde. Lorsqu'elle eut fait
près du foyer. Elle s’approcha du métier plus tôt que de coutume et y entra , tenant à la main la lampe à huile. Elle tissa, t
uisson d’épines. C’était Tseriel. Elle se dirigea vers le métier et y entra . Elle s’assit près de la veuve et lui dit : ‹ Pou
u’il ébranla le mur, y faisant un trou par où le soleil et la lumière entrèrent à profusion. Ebloui, le jeune homme s’approcha. A
fier et me piétiner? Le jeune homme s’en revint songeur au palais. Il entra dans la pièce où se tenait sa mère et se jeta sur
avit les monts. Il laissa son pays loin, bien loin derrière lui et il entra dans une fertile et verdoyante contrée. Un grand
têtes régnait sur nous et nous condamnait à mourir de soif. Ton frère entra dans ce village comme j'y faisais crier : « A cel
son était là, tout près, cachée par de grands arbres. Tseriel les fit entrer et leur demanda : — Qu’allez-vous manger? du cous
ait les cheveux d’angoisse, Ali, son petit garçon, poussa la porte et entra . Il venait de courir dans les champs et de boire
seul dans sa masure. Il habitait en dehors du village. Et jamais il n’ entrait ni ne sortait, car il était paralysé. On lui avai
ait l'un contre l’autre ses bracelets et il tirait la targette. Aïcha entrait , balayait la masure, aérait le lit. Puis elle ser
onge-toi par terre au soleil, la bouche grande ouverte. Des fourmis y entreront et racleront ta gorge. Mais ce n’est pas en un jo
et alla s'étendre au soleil, la bouche ouverte. Une armée de fourmis entra dans sa gorge. Au bout de deux jours, l’Ogre se r
était muni d’une chaîne : il la fit tinter. La porte s’ouvrit. L’Ogre entra et dévora le pauvre vieux. Et puis il revêtit ses
ait pas qu’elle l’avait ensorcelé. Ils parcoururent un long chemin et entrèrent en pleine campagne. Ils atteignirent l’ermitage e
t. Mehend appela : un homme très grand se montra sur le seuil. Il fit entrer les voyageurs. C’est alors que Mehend et celle qu
t le soir, le prince s’approcha du surveillant et lui dit : — Je veux entrer dans ta maison. Le surveillant répondit : — Bien,
vec l’eau. Ma sœur se trouve entre un mur et un autre. Le fils du roi entra . Tl dit en voyant la plus belle fille du surveill
lais dire : ‹ Indique-moi le gué ou je le chercherai ». Lorsque tu es entré dans notre maison, tu as regardé ma sœur et tu as
’Allah.) La mort a touché les orteils Ses membres se dissocient, Nous entrerons dans la Maison Inconnue. (Il n’est pas d’autre Di
d’autre Dieu qu’Allah.) La mort est montée jusqu’aux lèvres Ses amis entrent et sortent, Que les amis de Dieu intercèdent pour
Allah.) La mort a touché les cils Son regard ne nous connaît plus, Il entrera dans la Maison Dernière. (Il n'est pas d’autre Di
le vit faire son premier pas. Alors, elle le souleva dans ses bras et entra dans le village. Elle était si fatiguée qu’elle s
mon frère est un homme, mon frère est un homme I Reskia et son frère entrèrent dans le village au crépuscule. Ils remarquèrent u
dit : — Donne-nous asile pour cette nuit, au nom de Dieu ! Il les fit entrer , elle et son fils. Comme ils se disposaient tous
i sont dedans rêvent d’en sortir ; Ceux qui sont dehors cherchent à y entrer . La poule dit au poussin : — « Cherche ta pâture,
tincelaient. Il disait alors à sa queue d’un ton menaçant : — Qui est entré chez moi et où est la fève que j’avais préparée p
nuit et le jour, par pluie et vent. Il traversa bien des contrées et entra dans un pays fort désolé. Des têtes coupées, mont
sont des malfaiteurs, nous nous défendrons. Cheikh Smaïn et le nègre entrèrent . Une adolescente au doux visage les accueillit pa
veillant et se désespérant tour à tour de ce qu’ils découvraient. Ils entrèrent enfin au pays des Indes. Une grande fatigue était
-nous asile pour cette nuit, au nom de Dieu. La vieille femme les fit entrer dans sa maison et se désola de n’avoir à leur off
ce que nous possédons sera pour toi. Cheik Smaïn et le bon vieillard entrèrent dans le village. Ils s’arrêtèrent devant la premi
a paix parmi ces gens simples qui l’aimaient. Mais il était dit qu'il entrerait à nouveau dans les tourments. Cela il le comprit
ie ! s’écrièrent-ils. Nous ne connaîtrons plus la peur. Nous pourrons entrer et sortir à notre guise car nous n’aurons plus à
coussins. Il ne laissa qu’une seule ouverture, celle par où devaient entrer les rats. Devant cette ouverture, il posta un cha
ins. Il prit place sur son trône et attendit ses convives. Les souris entrèrent les premières, tenant d’une main leurs présents e
taient vainement de fuir. Un seul rat (il était vieux) avait refusé d’ entrer . Il se tenait debout, sur le pas de la porte, et
rte, et il observait. Il attendait de voir sortir ceux qu'il avait vu entrer . Il cria au Chat-pèlerin : — Je n'ai pas eu confi
C’était surtout lorsqu’elle regagnait son palais solitaire et qu’elle entrait dans son lit trop vaste que des soupirs gros comm
la prière de l’aube. Aussi attendit-elle patiemment leur réveil pour entrer dans la cour et se dresser devant eux. — O notre
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