é vain, que l’élève n’ait pas été trop indigne du maître, et que soit
entendue
enfin cette parole que tu ne cesses de psalmodier
fixer. J'avais la chance d’avoir en elle une admirable narratrice. J'
entends
encore sa voix inspirée prononcer sur le ton de l
ne, d’étape en étape, la mère appelait sa fille. La jeune fille qui l’
entendait
grâce au Grain Magique, lui répondait alors pour
re qu’elle s’éloignait de l’endroit où il était tombé, 1« jeune fille
entendait
de moins en moins la voix de sa mère. Il arriva m
ns en moins la voix de sa mère. Il arriva même un moment où elle ne l’
entendit
plus du tout. Et sa peau s'assombrissait tandis q
n’avait pas mangées et qui formaient une pile sur une pierre. Et il l'
entendit
chanter d’une voix plaintive : ‹ Elève-toi, élève
A peine Loundja venait-elle de mettre à l’abri le jeune homme qu’elle
entendit
venir sa mère. Tseriel, l’ogresse, marchait pesam
Loundja fit mine de dormir. En réalité, elle épiait le moment où elle
entendrait
crier toutes les bêtes que sa mère avait avalées
alées dans la journée. Ce n’est que vers le milieu de la nuit qu’elle
entendit
les vaches meugler, les brebis et les chèvres bêl
sparut. De retour au village, il raconta son aventure à qui voulait l’
entendre
: — J’allais couper du bois dans la forêt lorsque
à leur mère, sur son lit de mort, de ne jamais m’en défaire. — Tu as
entendu
? Tu vendras la vache, tu la vendras ou je prendr
ant. Mais le souci de Aïcha demeurait son frère-gazelle : Dès qu’elle
entendait
sa voix plaintive, elle levait la tête et lui rép
it avec elle et avec toi l › Le Cheikh de la Mosquée pouvait seul les
entendre
, car lui seul passait près du puits avant le leve
tte heure où la gazelle avait l’usage de la parole. C’est ainsi qu’il
entendit
plusieurs fois la gazelle dire au puits : ‹ Ils a
O Aïcha, ma sœur, fille de ma mère, Délivre-moi I › C’est ainsi qu'il
entendit
le puits répondre à la gazelle : ‹ Aïcha, ta sœur
puits est hanté. Demain, à l'aube, viens avec moi et tu verras et tu
entendras
. Le lendemain, le sultan se leva au point du jour
lle-le-pauvre O Aïcha, ma sœur, fille de ma mère. Délivre-moi ! › Ils
entendirent
le puits répondre à la gazelle : ‹ Aïcha, ta sœur
n sommeil, il sentit une main se poser doucement sur son épaule et il
entendit
une voix lui dire : — Lève-toi, Mehend et partons
ans un murmure : «Je suis celle qui t'aime. › Le plus jeune et l'aîné
entendirent
ces mots. Ils se dressèrent et se jetèrent sur le
cha, fille de Hitinc, ô Mehend, pour être si fier et me piétiner?» (j'
entends
encore sa voix sifflante). M’ayant planté cette é
énorme jarre, un svelte grenadier s’épanouissait au soleil. La reine
entendit
une voix lui murmurer à l’oreille : — Tant que ce
mangé ». Celui qui arrive à la fin d'un discours qu’il dise : « J’ai
entendu
» Ne vous moquez pas, c’est contagieux I Chanson
ée A recouvert mon corps. » Le berger se rendit au village pour faire
entendre
sur la place publique la voix merveilleuse de la
ts. Le jeune homme se cacha derrière un arbre et guetta le lion. Il l'
entendit
de loin s’avancer en rugissant. Il le laissa appr
Il en traversa la zone la plus épaisse. A peine en émergeait-il qu’il
entendit
le bruit de l'eau. Ce bruit le guida vers la rivi
nimaux aussi se font du mal les uns aux autres I Mais le lézard qui l’
entendit
lui répondit avec ironie : — Pleure sur toi, pleu
et parle quelquefois la nuit à mon insu. Elle répondit : — Lorsque tu
entendras
l’âne braire dans mon ventre, les veaux beugler,
ntre, les veaux beugler, les chèvres et les brebis bêler ; lorsque tu
entendras
les vaches meugler, les poules caqueter et toutes
le avait mangées pour se sauver. Ce n’est que tard dans la nuit qu’il
entendit
l’âne braire, la brebis et la chèvre bêler, la va
er toutes les bêtes que l’Ogresse avait avalées dans la journée. J’ai
entendu
à la fois l’âne braire dans son ventre, la chèvre
x de son frère et se mit à trembler. ‹ Que va faire mon père quand il
entendra
? › se dit-elle. Car chaque jour le père demandai
gre aperçut l’enfant. Il la suivit en cachette jusqu’à la masure et l’
entendit
chantonner : — Ouvre-moi la porte, ô mon père Ino
r : — Ouvre-moi la porte, ô mon père Inoubba, ô mon père Inoubba I Il
entendit
le vieillard répondre : — Fais sonner tes petits
Mais un jour que Mehend était allé chasser de grand matin, son épouse
entendit
comme un faible gémissement. Elle prêta l’oreille
put en contenir son panier et reprit le chemin de sa demeure. A peine
entendit
-elle son pas que sa femme referma la trappe sur l
d s’en revint en toute hâte chez lui. A la tombée de la nuit sa femme
entendit
son pas. Elle qui tout le jour avait ri et folâtr
e tarda pas à rentrer. Elle se mit à gémir et à pleurer dès qu'elle l’
entendit
. Il devint blême et dit : — Qu’as-tu, mon Dieu, m
elle chèvre et conduis-la dans la forêt. Attache-la à un arbre : tu l’
entendras
bientôt bêler et tu verras le lion et la lionne a
que Mehend emmena dans la forêt se mit à bêler, à bêler. Les fauves l'
entendirent
et s’avancèrent en rugissant. Le jeune homme atte
l’enfant en deux et chacune de vous en emportera la moitié.» Alors il
entendra
la vraie mère s’écrier: «Seigneur, ne le tue pas,
rie-toi : ‹ O joie, mon frère gazouille, mon frère sourit I › Et tu l’
entendras
gazouiller, et tu le verras sourire... ‹ O joie,
: — O joie, mon frère gazouille et sourit ! Elle le vit sourire et l’
entendit
gazouiller. Alors elle cessa de pleurer et se rem
t, la tête sur ses genoux, et tu écouteras attentivement. Et alors tu
entendras
... Peu de temps après, Ali vit sa sœur assise dan
s un cavalier vint & passer qui revenait d’un marché voisin. Il l'
entendit
pleurer. Il descendit de cheval et chercha d’où p
Pleure et supplie-moi jusqu’à ce que je t’en raconte une. Tu as bien
entendu
? Reskia guetta son frère. Elle le vit revenir de
mment de l’outre les serpents séchés et, les montrant à son fils, fit
entendre
cette plainte : O Vouîedhmim, mon fils, Que m’a f
er, de maison en maison, les riches vêtements et les bijoux dont elle
entendait
parer les orphelines. Elle leur teignit au henné
re. Car elle avait surpris, près du feu, de sombres conciliabules, et
entendu
le père parler d’une mystérieuse crevasse, et la
ssait, se roulait, se tordait dans les flammes et rebondissait. Nul n’
entendit
ses hurlements lugubres. Il mourut dans de pitoya
sans répit. Or Dieu seul octroie les enfants, les octroie comme il l’
entend
et fixe leur destin. Mais notre prince maudit n’a
ter pour époux. Laisse-moi essayer de la convaincre. — Dieu veuille t’
entendre
et te venir en aide I soupira le sultan. Et il lu
e jour, car je désire la traverser en voiture dans tous les sens et n'
entends
être vue par personne. Et recommande à Cheikh Sma
r devant eux le palais magique au milieu d'un parc profond, et qu’ils
entendirent
le murmure des multiples fontaines mêlé au chant
rassa. Elle le cajola et apprit ainsi de lui tout ce qu'elle espérait
entendre
. Puis elle se sépara de lui et courut comme le fe
iscours du vieil aigle et pria Dieu que se réalisât ce qu’il venait d’
entendre
. Il tendit le bras et cueillit une poignée de feu
s enlaidissent, C’est la joie qui fait fleurir. Chant de méditation J'
entendais
s'élever l'appel à la prière Quand un sommeil per
anger accourent : le paradis de Dieu est descendu sur la terre ! Bien
entendu
, le figuier ne portait pas une seule figue. A l'h
resse, allait boire au ruisseau qui arrosait le pied du figuier. Elle
entendit
Velâjoudh crier : ‹ Qui veut manger des figues?..
est descendu sur la terre I A l’heure chaude, survint l’ogresse. Elle
entendit
Velâjoudh crier : ‹ Qui veut des figues ? »... El
ats qui se rencontraient se disaient les uns aux autres : — Avez-vous
entendu
? Le chat est revenu de pèlerinage ! Il se marie
cette famille, le mendiant était appelé : ‹ L’hôte de Dieu ›. A peine
entendait
-on sa voix, que l’un des enfants se levait pour a
voix, que l’un des enfants se levait pour aller à son devant. A peine
entendait
-on monter au crépuscule la grande plainte : ‹ Le
a nourriture profitait à chacun. Un soir d’hiver, un soir d’orage, on
entendit
couvrant le bruit de la pluie et du vent, la voix
ù ne m’a manqué que votre présence. Ce besoin de vous voir et de vous
entendre
est devenu si cruel que j’ai fini par obtenir de
et même l’âne — se mirent alors à chuchoter pour que seule Yamina les
entende
: — Tes parents feront ton malheur. Tes parents f
ta, semblable à celui qui avait emmené la petite Yamina autrefois. On
entendit
au plus fort de la tourmente une grande voix clam
ette qu’un vent furieux renversa le vase, éteignant la bougie. Y-mina
entendit
comme un rugissement. Il faisait très froid autou
mina était dans une forêt, offerte à l’orage et au froid. Alors, elle
entendit
une voix bien connue, une voix sombre comme la mo
é à ton serment. Tu as cassé ta joie. Tu ne me reverras jamais. Tu as
entendu
comme moi les bêtes te mettre en garde contre les
mettre en garde contre les conseils funestes de tes sœurs. Tu les as
entendues
te dire : «Tes parents feront ton malheur. Tes pa
es le retour de l’époux. Mais bien des orages éclatèrent sans qu’elle
entendît
jamais, dominant la tourmente, la grande voix cla