, comme je te relaie, et que tu appelais en berbère, quand elle était
enfant
: ‹ Petit monceau de fleurs ›, ou encore : ‹ Peti
ers : Ils sont en fleur, leur joie est pleine. Il y en a qui en leurs
enfants
vivent : Ils espèrent qu’en tous lèvera le bien.
hant de méditation Une des fidèles du Prophète Pleurait l'aîné de ses
enfants
. La voix de Dieu lui répondit : — Ne pleure plus
ai des dents et une autre jeunesse. Tu pourras enfanter sept nouveaux
enfants
, Tous à l'image de Tifas. Mais si tu choisis l’Au
ous passera en beauté. Et la jeune femme se lamentait et maudissait l’
enfant
qui était dans son sein. Pendant des mois, elle s
jalousie la transpercer. Elle se dit dans son cœur : — Lorsque cette
enfant
sera devenue adolescente, nul ne me regardera plu
ue cette enfant sera devenue adolescente, nul ne me regardera plus. L’
enfant
avait huit ans. Elle était pleine de vie et de gr
t atteignirent une colline. Elles s’arrêtèrent. La mère dit alors à l’
enfant
: — Nous allons enfoncer les montants dans la ter
ui dit sa mère. La pelote était lourde. Elle s'échappa des mains de l’
enfant
et se mit à rouler. — Cours et rattrape-la ! cria
l’enfant et se mit à rouler. — Cours et rattrape-la ! cria la mère. L’
enfant
s’élança. La mère coupa le fil et la pelote roula
lle eut fait quelques pas et qu'elle se fut habituée à la pénombre, l'
enfant
vit, enroulé sur lui-même comme un énorme bracele
nt de grâce et de faiblesse l'émut. Il remercia Dieu dans son cœur. L’
enfant
tremblait. Il lui dit : — Ne crains rien, je ne t
petits membres fatigués, le cœur du serpent se fondit de tendresse. L’
enfant
s’était endormie. Il sortit, tua deux perdrix, cu
ue Dieu t’ouvre un chemin. J'épouse ta faim et ta soif : tu seras mon
enfant
. Mais tu devras m'obéir et ne jamais dépasser le
it. A la grande joie de toute la famille royale, elle mit au monde un
enfant
aux cheveux d’or, un enfant à sa ressemblance. El
e la famille royale, elle mit au monde un enfant aux cheveux d’or, un
enfant
à sa ressemblance. Elle garda le lit quarante jou
se leva pour se mêler à la vie de la cour. Lorsqu'elle revint vers l'
enfant
, il avait disparu. On le chercha, on le chercha e
chercha, on le chercha en vain. L’année suivante, elle eut un nouvel
enfant
, un enfant comme le premier, à la belle chevelure
n le chercha en vain. L’année suivante, elle eut un nouvel enfant, un
enfant
comme le premier, à la belle chevelure d’or. Au b
ine et au roi : — J’ai choisi Jedjigha pour elle-même et non pour les
enfants
qu’elle me donnerait. La jeune princesse eut succ
urs après leur naissance. Elle fut surnommée : ‹ celle qui croque ses
enfants
›. Mais le prince l’aimait toujours. Huit ans s’é
nt de façon charmante. Un vieillard élevait dans ses bras le septième
enfant
aux cheveux d’or. La princesse cherchait des yeux
urna vers le prince : — C’est moi, prince, qui suis venu chercher tes
enfants
les uns après les autres pour punir ma fille. Je
é ma fille. Tu l'as aimée au contraire et tu l’as protégée. Voici tes
enfants
... Je te les rends. Et il poussa vers lui les six
. Voici tes enfants... Je te les rends. Et il poussa vers lui les six
enfants
aux cheveux d’or. Mon conte est comme un ruisseau
raconte qu’aux temps anciens, il existait une veuve entourée de sept
enfants
, de sept enfants qui se suivaient de près. Elle é
emps anciens, il existait une veuve entourée de sept enfants, de sept
enfants
qui se suivaient de près. Elle était très pauvre
huile en échange. Elle parvenait ainsi à nourrir et à élever ses sept
enfants
. Quelques-uns la secondaient et venaient parfois
ir comme l’odeur des olives et de la neige. Elle avait fait dîner ses
enfants
et leur avait étendu des couches près du foyer. E
la nuit, préoccupée de ne pas se laisser surprendre par l’hiver. Les
enfants
dormaient. La hutte était plongée dans la pénombr
tremblait et pensait : ‹ Ma mère I ma mère I elle va nous avaler, mes
enfants
et moi I › Elles tissèrent, tissèrent toutes deux
ans un certain village, il était un homme qui avait une femme et deux
enfants
. L’aînée était une fillette : elle s’appelait Aic
etits orphelins I Il le lui promit solennellement et elle mourut. les
enfants
n'avaient plus que leur père. Ils se serrèrent co
eviens me dire ce qu’ils auront mangé dans les champs. Elle remit à l'
enfant
deux œufs durs et une galette de blé. Elle donna
e prendrai ma fille par la main et je te laisserai à ta maison, à tes
enfants
et à ta vache. Il la pria, la supplia en vain. Il
élevèrent de la tombe. L’un donnait du beurre et l'autre du miel. Les
enfants
se penchèrent et se mirent à les sucer alternativ
à galette I Settoute répondit : — Je ne sais comment m’y prendre, mon
enfant
. Je n’y vois goutte. La jeune fille regarda prude
pas à apprendre dans le royaume que Aïcha allait donner le jour à un
enfant
. Le sultan était au comble de la joie car, s’il a
mît au monde le fils du sultan. La fée soigna tendrement la mère et l'
enfant
. Mais le souci de Aïcha demeurait son frère-gazel
le puits et regarda : il vit une jeune femme élevant dans ses bras un
enfant
, un enfant si beau qu’il répandait autour de lui
regarda : il vit une jeune femme élevant dans ses bras un enfant, un
enfant
si beau qu’il répandait autour de lui de la lumiè
t un roi (bien qu’il n’y ait de roi que Dieu) et ce roi n’avait qu’un
enfant
auquel il donna le nom de Mehend. Dès sa naissanc
r jalousement sur lui. Il leur recommanda surtout de ne présenter à l’
enfant
, dès qu’il serait en mesure d'y goûter, que des v
reconnurent impuissants. Alors, désespéré, notre seigneur promit son
enfant
au premier venu qui la guérirait, fût-il un mendi
ne connut plus de bornes. Mehend choisit le jour de la naissance de l’
enfant
pour se rendre auprès du sultan et lui parler en
fruits, ton fils se mariera. Quand il en aura trois, ton fils aura un
enfant
. Et chaque fois que s'augmentera la famille, tu v
. L’année suivante, une troisième grenade apparut : — Notre fils a un
enfant
, dit la mère d’un air triomphant au sultan, notre
ntassant contre portes et fenêtres de lourdes brassées de neige. Et l’
enfant
, ainsi bercé, s’endormait doucement, sous l’œil m
emps, les étés et les automnes tournoyèrent et le temps s’écoula. Les
enfants
étaient maintenant des adolescents qui menaient p
leurs yeux. La maison qui reflétait la bonne humeur et la clarté de l'
enfant
s'endeuilla pour toujours. La mère fut malade d'u
gnie. Son visage tranchant et blême comme une pierre faisait peur aux
enfants
qui sc sauvaient, comme des oiseaux effarouchés,
'il le lui offre. Comme une mouche sur une plaie. Chant du .berceau L’
enfant
que j'ai élevé avec peine Dort sur le chemin. Sa
ur le chemin. Sa couverture glisse, Veillez à ce qu’elle ne traîne. L’
enfant
pour qui j’ai bu du fiel Dort, abandonné. Sa couv
t, abandonné. Sa couverture glisse, Veillez à ce qu’elle ne traîne. L’
enfant
qui m’a valu tant de larmes Dort, offert aux étoi
nde. Leur père leur avait laissé des biens. Dès qu'ils le purent, les
enfants
allèrent aux champs et gardèrent les troupeaux. U
en paix. Nous vivions heureux. Ma fille allait bientôt nous donner un
enfant
. Et nous espérions voir mon palais se peupler de
leur arrivée se répandit vite d'une rue à l’autre. Des hommes et des
enfants
les acclamèrent et les accompagnèrent jusqu'au pa
ne princesse, montée sur une jument bleue aussi vive que le vent, son
enfant
dans les bras, sortit du palais. Les jumeaux la s
eux ne pouvaient plus travailler la terre. Ils dirent un jour à leurs
enfants
: — Maintenant, c’est vous qui travaillerez pour
rez d’abord et puis vous le fumerez et puis vous l’ensemencerez. ■Les
enfants
se mirent en route. Ils jouèrent, jouèrent tout l
, et nous descendrons tous les jours un peu plus vers la rivière. Les
enfants
se rendirent au champ plusieurs matins en suivant
er, l’oiseau à chanter ; c’était la saison des fèves. Le père dit aux
enfants
: — Nos fèves doivent être mûres. Allez au champ
seriel. Elle leur dit d’une voix joyeuse : — Soyez les bienvenus, mes
enfants
, soyez les bienvenus I Restez ici cette nuit, au
toile du matin, je t’en prie, Parcours les deux A la recherche de mon
enfant
Et rejoins-le où il repose. Tu le trouveras encor
femme. Mais alors l’oiseau chanta à nouveau, avec la douce voix de l’
enfant
: Garde-toi bien de la tuer, tuer... Car ma sœur
aïeul aimait beaucoup à la voir venir. Mais un jour, l’Ogre aperçut l’
enfant
. Il la suivit en cachette jusqu’à la masure et l’
l’a emporté. Il s’est éloigné, s’est éloigné Il n’était encore qu’un
enfant
. C’est l’injuste peine infligée par Dieu , Il s'e
une lointaine contrée, il était un homme et une femme qui avaient un
enfant
. Ils étaient déjà vieux lorsque Dieu les dota de
un enfant. Ils étaient déjà vieux lorsque Dieu les dota de cet unique
enfant
. Ils l’appelèrent Mehend et vécurent les yeux fix
nd et vécurent les yeux fixés sur lui. Dieu régnait dans le ciel et l'
enfant
sur la terre : Mehend se plaignait-il du moindre
Chant de méditation Je suis semblable, ma mère, A une veuve chargée d'
enfants
. Eux, comme des grappes, sont pendus à son cou ;
le jeune roi rendait la justice, deux femmes se présentèrent avec un
enfant
qu’elles se disputaient. L’une disait : — Il est
près d'un serviteur. Celui-ci lui dit : — Deux femmes sont là avec un
enfant
que toutes deux revendiquent. Chacune avait un bé
bébés est mort et le roi ne parvient pas & découvrir la mère de l'
enfant
vivant. La reine réfléchit un instant. Et puis el
— ‹}ue le roi dise simplement aux deux femmes : ‹ Je vais partager l’
enfant
en deux et chacune de vous en emportera la moitié
son ministre et dit : — Apporte une lame pour que nous partagions cet
enfant
. — Non, Seigneur I s’écria l’une des femmes, il m
eur I s’écria l’une des femmes, il mourra 1 Alors le roi lui tendit l’
enfant
et dit : — Tu es sa mère puisque tu n’as pas voul
hèrent jusqu'au soir. La pauvre femme était sur le point de mettre un
enfant
au monde : elle se sentait bien lasse et la petit
pipi. — Retiens-toi ! supplia la mère. — Je ne peux pas ! répondit l’
enfant
. Alors, la mère, lui tendit l’une après l’autre s
querai rien de la mère. Si tu le veux bien, je ne te demanderai que l’
enfant
qu’elle porte en elle. Prends-le délicatement, ne
Le lion ouvrit avec soin le ventre de la mère, en retira doucement l’
enfant
et le remit à la lapine. Les fauves se partagèren
raversa la forêt, toute la forêt. Elle en sortait, lorsqu'elle posa l’
enfant
sur le bord d’un talus et dit : — O joie, mon frè
es portes d'un village. Elle mit un peu de moelle sur les lèvres de l’
enfant
et s’écria : — O joie, mon frère met un pied en a
l, elle repartit droit devant elle. Près d’un ruisseau, elle déposa l’
enfant
pour s'écrier : — O joie, mon frère marche ! Et e
un peu ce que je puis y avoir. › Et tu poseras, comme si tu étais un
enfant
, la tête sur ses genoux, et tu écouteras attentiv
vait de revoir son frère ne fit qu'augmenter. Et le temps s’écoula. L’
enfant
avait maintenant sept ans. Sa mère lui dit un mat
rouva son fils en larmes. Or il l’aimait d’une tendresse infinie. Cet
enfant
était sa vie. Il lui demanda : — Vouïedhmim, mon
père, tu n’as pas d’oncle. J’ai trouvé ta mère dans les bois. Mais l’
enfant
poursuivit : — J’ai mon oncle Ali, laisse-moi all
ovisions de l’autre et sortit sans bruit. C’était l'été. La mère et l’
enfant
marchèrent comme des mendiants. Ils marchèrent du
ser. Le village de l’oncle était tout proche, lorsque la mère dit à l’
enfant
: — Nous voici bien fatigués. Nous frapperons à l
prit en pleine forêt. La pauvre femme était sur le point de mettre un
enfant
au monde : elle était très lasse. Les fauves se r
fauves se rassemblèrent et se la partagèrent. Mais le lion épargna l’
enfant
qu’elle portait en elle et le donna à la lapine.
que nous sommes ! Il a commencé par être adulte, Ayant oublié d'être
enfant
. Il vaut mieux que tu dormes avec l’inquiétude Qu
, n’osant regarder vers le pauvre homme qui les menait à la mort. Les
enfants
marchèrent d’un bon pas. Mais vers midi elles se
espoir de découvrir une issue : la grotte lui parut spacieuse. Mais l’
enfant
ne fit aucune autre découverte. Les fillettes se
nt à manquer, en dépit de l’économie de Aïcha. Les aînées cernèrent l’
enfant
et lui dirent : — Arrange-toi pour nous donner à
la lumière du jour apparut entre ses doigts par un trou minuscule. L’
enfant
y colla vivement son œil et vit un feu qui brûlai
que tous les habitants ont fui devant lui qui détruisait troupeaux et
enfants
? — Moche est mort ! annoncèrent les sept filles
t les asservirait, il exigea des femmes qu’elles missent au monde des
enfants
sans répit. Or Dieu seul octroie les enfants, les
les missent au monde des enfants sans répit. Or Dieu seul octroie les
enfants
, les octroie comme il l’entend et fixe leur desti
ans le feu des noyaux d’olives, par poignées, comme lorsqu'elle était
enfant
et que la cendre poudrait ses cheveux. Qu’était d
lles m'assaillent par milliers. Comme la cafarde qui dit : « Vois mon
enfant
sur le mur, On dirait une perle sur un fil. › Cha
g fil ! Jadis, il était un sultan qui se désespérait de n’avoir pas d’
enfant
. En dépit de sa puissance et de ses richesses, il
je n’apparaisse. Neuf mois s’écoulèrent et la sultane mit au monde un
enfant
que l’on appela seulement : ‹ Prince. › Quand il
. C’est alors qu’apparut l’ange, parmi la foule médusée. Il dit : — L’
enfant
s’appellera « Cheikh Smaïn ›. Et l’ange disparut.
e d’elles : Ta galette ne cuira jamais I — Je suis aveugle, ma pauvre
enfant
, répondit Settoute. Ne pourrai-tu me venir en aid
inter les lourds anneaux qui ornaient ses chevilles. — Qui es-tu, mon
enfant
? demanda Settoute du ton le plus engageant. Si j’
ses poches. Le prince sans regard était là, debout, plus faible qu’un
enfant
, les poignets sciés et ensanglantés par la mince
ne sorte de plainte : c’était un aigle tout déplumé qui suppliait ses
enfants
de le couvrir de leurs ailes car il tremblait de
le prince son regard transparent et sourit : — Sois le bienvenu, mon
enfant
! lui dit-elle en lui prenant la tête entre ses m
savoir ce qui pourrait me rendre aussi impuissant et inoffensif qu’un
enfant
, et j’ai été assez naïf pour me remettre entre te
nt de procession Le Cheikh Mohand Quel Houssine Etait pieux déjà tout
enfant
. (U n’est pas d’autre Dieu qu’Allah.) Quand il s’
able conteuse, je ne comprenais pas pourquoi les mères aimaient leurs
enfants
plus et mieux que leurs enfants ne les aimaient.
pas pourquoi les mères aimaient leurs enfants plus et mieux que leurs
enfants
ne les aimaient. Comme je me tournais un jour ver
t d'autant plus fort que cette mère a souffert et bu du fiel pour son
enfant
, et par son enfant ?... Mais écoute cette légende
t que cette mère a souffert et bu du fiel pour son enfant, et par son
enfant
?... Mais écoute cette légende que je tiens de mo
e reculé, il y a fort longtemps, vivaient au milieu de leurs nombreux
enfants
un homme et une femme. Dieu avait octroyé plus de
pelé : ‹ L’hôte de Dieu ›. A peine entendait-on sa voix, que l’un des
enfants
se levait pour aller à son devant. A peine entend
rande plainte : ‹ Le pain de Dieu, ô hommes de bonne volonté ›, qu’un
enfant
courait porter à l’envoyé de Dieu sa part de gale
û hommes de bonne volonté I implorait cette voix. La mère regarda ses
enfants
et son mari assis autour du haut plat de bois ple
n’est que vers la fin de la nuit qu’il suspendit son vol et déposa l’
enfant
. Il la fît asseoir et manger dans l’obscurité et
où je serai délivré du sort qu’un esprit méchant m’a jeté. Jusque-là,
enfant
, tu ne verras mon visage ni mes yeux. Je couchera
sur toi et je te garderai toujours près de moi. Yamina qui était une
enfant
ne pouvait pas comprendre. Elle dit : — Je m’appe
, y a-t-il une chose que tu désires dans le secret de ton cœur ? Et l’
enfant
, à demi endormie, répondait en se tournant vers l
plus ?... — Je voudrais revoir ma famille, gémit Yamina. J'étais une
enfant
lorsque j’ai quitté mes parents et je suis une fe
Je suis comme l’aigle blessé L'aigle blessé entre les ailes. Tous ses
enfants
se sont envolés Et lui ne cesse de pleurer. Pitié
e prie Dieu et les amis de Dieu Pour que lui apparaissent en rêve Les
enfants
qui s’en sont allés, Pour qu'il les voie dans l'a
e, il connaîtra la paix. Génies de l'Occident, soyez favorables A mon
enfant
qui vient vers vous Etendez sur elle votre protec
t y voir l’eau courir. Ses mains sont toutes menues Comme celles d'un
enfant
, Elles ont la douceur de la soie. Le Seigneur l’a
nous mêlant aux oiseaux, Nous nous élèverions en plein ciel Vers mes
enfants
bien-aimés. Qu’on aimerait suivre les âmes Au pay
A la bouche chantante. Mohand était l'aigle Couvrant de ses ailes Les
enfants
qui m’avaient quittée. Oh ! ce jour où ils eurent