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1 (1966) Le grain magique
ne flaque Et il rêve de pastèques I L’arbre suit sa racine. Guéris ou emporte ! Chant satirique Que te sert d'épier 0 coeur jal
it à gronder de façon menaçante. Tseriel s’y jeta. Une vague énorme l’ emporta . Mais avant d’être engloutie l’ogresse clama une
mèneront chez nous. Et là, dis à mon père : ‹ Ton fils, un aigle l'a emporté ». ‘Loundja vit la négresse s’approcher de la fon
la pluie. Achète aussi un peu de viande : je l’accommoderai et nous l’ emporterons demain car nous irons, dès l’aurore, laver notre
froid. i Chant de méditation Me voici semblable, ma mère, A celui qu' emporte la rivière- Un courant m’abandonne, un autre me r
use ! — Malheureuse, ton mari T'épie du grenier I Proverbes L’âne est emporté par la rivière Et il s'écrie : « O les beaux pâtu
lle interrogeait le ciel et la route, tandis que Soumicha se laissait emporter pas sa jument bleue aussi vive que l'éclair. Et e
t perdu de vue son frère dans la tourmente, que la rivière avait dû l’ emporter et qu’une crevasse devait sans doute lui servir d
uilla pour toujours. La mère fut malade d'un grand mal qui, s'il ne l’ emporta pas, la laissa infirme. Le pire qui semblait supp
es avait blanchis, le vent les avait dispersés. Les bêtes les avaient emportés au loin. Seul restait encore l’os de l’avant-bras
. Et puis il se confia à son cheval d’éclairs et de vent et se laissa emporter . Il voyagea, il voyagea la nuit, le jour, la nuit
Je reviendrai ! Il leur fit signe de s’écarter et passa. Son cheval l’ emportait si vite qu’Ahmed distinguait à peine le paysage.
'au palais. — J’ai tué l’Ogresse, annonça Ahmed au sultan. La rivière emporte son cadavre vers la mer 1 — Dieu te bénisse, mon
leuve l'entraîne ! Rendez-le nous O Gueldaman I Aoulêlam l Les eaux l’ emportent ! Arrêtezle O Aïth Hennit l Aoulêlam Pousse et be
t fenêtres. Et alors, peut-être, jouirons-nous un peu. Proverbes Il n’ emporte avec ses pieds que poussière, Comme les chevaux q
n. Chant d'exil Il s’en est allé, s'en est allé Un navire de bois l’a emporté . Il s’est éloigné, s’est éloigné Il n’était encor
tapissa l’intérieur de satin ; elle y rangea son trousseau et elle l’ emporta dans la demeure de l’époux. Les noces donnèrent l
ux femmes : ‹ Je vais partager l’enfant en deux et chacune de vous en emportera la moitié.» Alors il entendra la vraie mère s’écr
nsentit et ajouta : — Choisis tout ce qui te plaira dans le palais et emporte -le. Elle prépara elle-même le repas. Elle donna a
Regarde autour de toi, prends tout ce qui te plaira dans le palais et emporte -le. › Or, rien dans ton palais ne m’était cher qu
ien dans ton palais ne m’était cher que toi. Je t’ai pris, Et je t'ai emporté dans un coffre. ■Le roi et la reine se comprirent
. (Il n’est pas d'autre Dieu qu’Allah.) La mort a franchi le seuil et emporte son âme, Que ses bonnes actions l’embellissent Au
outes mes prescriptions. Ta mère est morte, mais voici ton frère Ali. Emporte -le : il est 'à toi. Le long du chemin que tu devr
ison plus bas, dans la plaine. Mais un jour un grand vent se leva qui emporta la maison du Pou. Il se rendit sur l’heure chez l
. Plie entraîne le rocher, la haie d’épines, la maison écroulée. Elle emporte la brebis dépouillée, la voisine aux galettes, le
ngeant des figues La mort met (in aux misères. Ma mère, le (leuve m'a emportée . Jeune fille, veux-tu m'accompagner De montagne e
cueillant la joie La mort est le vrai refuge. Ma mère, le fleuve m'a emportée . Jeune fille, veux-tu m'accompagner De la plaine
la gloire du monde Tu le sais, la mort est là. Ma mère, le fleuve m'a emportée . Veux-tu que nous partions, jeune tille ? Montons
poissons, Puisque vers nous s'avance la mort. Ma mère, le fleuve m'a emportée . Proverbes I! a nourri un serpent pour qu'il s’en
ça, il la prit dans ses bras, et le cheval plus vif que l’éclair, les emporta tous deux. A quelques pas en arrière, suivait le
u et celle de mon père s’accomplissent 1 — Du moins, reprit l’épouse, emporte cette ‘levrette dans tes bras : Elle te conduira.
it une dernière fois dans ses bras. Il la chargea sur son épaule et l’ emporta à travers la pluie et les éclairs. Yamina parla,
i les mains pleines, Après avoir couché dans le froid de la tombe. Qu' emporterons -nous des biens de la terre ? 235 Nous les laisser
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
tresse l’assura qu’elle n’avoit jamais rien mangé de si bon. Il avoit emporté en même temps la petite Aurore, et l’avoit donnée
s que son maistre se baignoit, il estoit venu des voleurs qui avoient emporté ses habits, quoy qu’il eust crié au voleur de tou
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