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1 (1966) Le grain magique
la fontaine. Mais un jour, elle y rencontra Settoute qui puisait de l' eau à l’aide d'une cupule de gland. La jeune fille lu
ds garde de te baigner dans la fontaine des noires ou de boire de son eau I Tu serais changée en négresse I La jeune fille
Lorsque furent en vue les fontaines, la négresse se précipita vers l’ eau des femmes blanches et s'y baigna. La jeune fille
llée'un jour à la fontaine et j’y ai trouvé Settoute qui puisait de l’ eau avec une cupule de gland. Je lui ai dit : ‹ Donne
ontré deux fon taines : je me suis trompée. Je me suis baignée dans l’ eau des noires et j’ai perdu le Grain qui me refait à
qui me refait à ma mère. La négresse qui, elle, s’est baignée dans l’ eau des femmes blanches est devenue blanche et je sui
épandirent ses cendres dehors. Puis ils rapportèrent à leur sœur de l’ eau puisée à la fontaine des blanches. Elle se baigna
supplia : — O rivière de miel et de beurre, laisse-nous passer ! Les eaux de la rivière se retirèrent devant Loundja et le
in du marché. La Grenouille, elle, courut à la fontaine chercher de l’ eau ; à la forêt rapporter un fagot et rentra pour me
posa bientôt la marmite à terre et mit sur le feu un chaudron plein d' eau . La Grenouille et le Crapaud dînèrent paisiblemen
nouille et le Crapaud dînèrent paisiblement. Quand ils eurent fini, l’ eau chantait. La Grenouille y jeta de la cendre et mi
ssembla quelques pierres et construisit un barrage pour emprisonner l’ eau . C’est dans cette petite mare que la Grenouille d
tager qui se trouvait tout près de la rivière : les légumes, gorgés d’ eau , y étaient splendides. Le Crapaud cueillit des pi
r ses épaules. Au bout d’un moment, il dit agacé : — Quelle est cette eau qui mouille mes talons? La Grenouille répondit .
cette eau qui mouille mes talons? La Grenouille répondit . — C’est l’ eau de la laine qui dégoutte du couffin. Mais le Crap
l’ai perdue de vue et j’ai continué à marcher jusqu'ici. Il prit de l’ eau pour lui laver le visage, les mains et les pieds.
e mon frère que je me suis enfuie devant tes sujets. Mon frère a bu l’ eau d’une source et a été changé en gazelle. Le sulta
de ce jardin, il y avait un puits. Et ce puits, on n’y puisait plus d' eau : il était trop vieux. On ne tarda pas à apprendr
ou mangé qui l’a ainsi changé en gazelle. Alors, le Cheikh prit de l’ eau (car il était aussi magicien), prononça quelques
ien), prononça quelques paroles magiques et fit boire un peu de cette eau à la gazelle. Et puis il l’en aspergea en disant
e source. De pièces d'or la trouva pleine. — O source, donne-moi de l' eau Car ce monde est tromperie ! Proverbes Bats des m
d de la mer et vit sur la plage un pêcheur qui venait de retirer de l' eau un poisson aussi grand qu’un homme. Ce poisson vi
it juste de se retirer derrière les montagnes. Le ciel, le sable et l' eau en étaient tout roses. Le prince se réveilla, che
tèrent à la première porte et demandèrent au nom de Dieu une cruche d’ eau et un morceau de galette. Une vieille servante le
’eau et un morceau de galette. Une vieille servante leur apporta de l’ eau , une galette de 'blé, des figues, des dattes et u
chante fée que Soumicha avait avalée par mégarde la nuit, en buvant l’ eau d’une source). Alors, les têtes des suppliciés fu
sse, est revenue à la vie ; les esprits méchants l’on quittée. » Et l' eau le disait aux racines et les racines le disaient
ciel, je ne puis être ton époux car je suis le Génie de la mer et les eaux sont mon royaume. Mais écoute mon aventure : un j
nd je me sentis emprisonné dans le filet d’un pêcheur, tiré hors de l’ eau et jeté violemment sur le sable. Je me débattis v
la plus épaisse. A peine en émergeait-il qu’il entendit le bruit de l' eau . Ce bruit le guida vers la rivière. Il la franchi
e de la même herbe, il l’écrasa entre ses doigts. Plusieurs gouttes d’ eau verte tombèrent sur le visage de Mehend, coulèren
s lointains. A toi j'ai donné ma confiance Sur la terre comme sur les eaux . Quant à moi, je pars avec toi O jeune oiseau, fi
! Le fleuve l'entraîne ! Rendez-le nous O Gueldaman I Aoulêlam l Les eaux l’emportent ! Arrêtezle O Aïth Hennit l Aoulêlam
llais mourir, et il y avait un remède I Il est mort de soif près de l’ eau ! Entre ombre et soleil. Comme qui épouillerait u
ue surtout pas de lui déclarer : ‹ Je veux que tu me donnes à boire l’ eau des plus hauts glaciers. L’eau pour laquelle se b
: ‹ Je veux que tu me donnes à boire l’eau des plus hauts glaciers. L’ eau pour laquelle se battent les monts. › Son amour p
’aimes, si tu tiens à me voir sourire et marcher, donne-moi à boire l’ eau pour laquelle se battent les monts. Mehend retour
n vieil ami et lui dit d’un air penaud : — Voici qu’elle me demande l’ eau pour laquelle se battent les monts ! Le Sage le c
plus haut glacier et que tu me permettes de rapporter un peu de cette eau merveilleuse pour laquelle se battent les monts.
ui espérais tant ne plus le revoir I › se dit-elle, déçue. Elle but l’ eau pour laquelle se battent les monts et cessa de fr
e est allée voir un être qu’elle n’a jamais vu. Mes frères frappent l’ eau avec l’eau. Ma sœur se trouve entre un mur et un
voir un être qu’elle n’a jamais vu. Mes frères frappent l’eau avec l’ eau . Ma sœur se trouve entre un mur et un autre. Le f
lle soit sage-femme. Pour que tu m’aies dit : ‹ Mes frères frappent l’ eau avec l’eau ›, ils arrosaient des jardins. Et quan
ge-femme. Pour que tu m’aies dit : ‹ Mes frères frappent l’eau avec l’ eau ›, ils arrosaient des jardins. Et quant à ta sœur
er : — O joie, mon frère marche ! Et elle le vit marcher le long de l’ eau . Elle lui donna encore un peu de moelle et ils po
eds, la tête en bas, la bouche ouverte au- dessus d’un bassin plein d’ eau que tu remueras à l’aide d'un bâton afin qu'au br
plein d’eau que tu remueras à l’aide d'un bâton afin qu'au bruit de l’ eau les serpents accourent et tombent l'un après l’au
spendit au plafond, juste au-dessus d’un immense plat de bois plein d’ eau . Et il se mit à remuer cette eau à grand bruit. S
us d’un immense plat de bois plein d’eau. Et il se mit à remuer cette eau à grand bruit. Sept serpents y tombèrent l’un apr
pents y tombèrent l’un après l’autre. Le cavalier continua d’agiter l’ eau . Mais, ne voyant pas d'autre serpent apparaître,
hant d’amour Voici que mon cœur brûle, D'un feu inextinguible, Et les eaux sont loin de lui. La jeune fille est une rose A l
ache qu'il ne tarda pas à découvrir. Il fit tremper cette peau dans l’ eau et la tailla en quatre parties égales. Et il entr
ttinèrent jusqu’à la source toute proche pour ramener dans leur bec l’ eau qui permettrait de mouiller les lanières de cüir.
lle creusa, creusa plus fort à l’aide de ses deux mains : une poche d’ eau se forma à sa grande joie, et les petites filles
e l’exil et ce bâton des pèlerins. Où conduire mes pas et dans quelle eau laver ma honte ? Car je vous croyais mortes, mes
je l’ai conté à des Seigneurs ! Proverbe Celui qui est propre comme l’ eau Au regard de Dieu, je le jure, Ne paraîtra pas im
les durs métiers vous ruinent. Proverbe H surnage comme l’huile sur l’ eau . Chant satirique Ma volonté te voici satisfaite :
t plaisir. Il répand au dehors ses bienfaits Comme la source dont les eaux vont chez le voisin. HISTOIRE DE LA PUCE ET DU
ls garnirent le foyer de bûches et la Puce déclara : — Je n’ai plus d’ eau . Je cours à la fontaine. Toi, va dans la forêt ch
res se dispersent et se répandent par les chemins. Passe le Porteur d’ eau qui revenait de la fontaine entre ses deux ânes c
désola de n’avoir à leur offrir qu’une galette d’orge et une cruche d’ eau . Cheikh Smaïn lui tendit une poignée de pièces d’
s Dieu a été clairvoyant qui n’a pas donné de cornes à l'âne. Comme l’ eau de l’étang Qui scintille mais ne désaltère pas. —
au murmure des fleurs et s’amusa des jeux des petits poissons dans l’ eau vive. Elle cueillit du jasmin à poignées. Elle tr
de ta mère et de tes frères et sœurs ; pour retrouver la saveur de l’ eau et du pain de ton enfance. Dans un mois, jour pou
. Elle mangea la nourriture frugale mais savoureuse de sa mère, but l’ eau de l’outre en peau de chèvre et coucha sur une na
e Othman Et mon pays est dans la plaine. J’ai fendu la grande nappe d' eau ; Aujourd'hui la confiance est morte, J’ai dû m’e
clair Qu'il devient transparent quand elle boit. L’on croit y voir l’ eau courir. Ses mains sont toutes menues Comme celles
s comme un cierge de glace Que n'es-tu cette brindille Flottant sur l’ eau de la source Que ramène ma cruche Quand je vais à
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
’enfans, si faschez qu’on ne sçauroit dire. Ils allerent à toutes les eaux du monde : vœux, pelerinages, menuës devotions, t
mbarrassée, crie au secours : on vient de tous costez ; on jette de l’ eau au visage de la princesse, on la délasse, on luy
sse, on luy frappe dans les mains. on luy frotte les tempes avec de l’ eau de la reine de Hongrie ; mais rien ne la faisoit
chose, que cette pauvre enfant allast, deux fois le jour, puiser de l’ eau à une grande demy-lieuë du logis, et qu’elle en r
cette belle fille ; et, rinçant aussi tost sa cruche, elle puisa de l’ eau au plus bel endroit de la fontaine et la lui pres
s bien aise d’avoir le mesme don ? Vous n’avez qu’à aller puiser de l’ eau à la fontaine, et, quand une pauvre femme vous de
es sur le bord d’une cheminée sans en casser une, ny boire un verre d’ eau sans en répandre la moitié sur ses habits. Quoy q
t les malheureux, et tout à l’heure. Il jetta aussi-tost une potée d’ eau dans le nez de sa femme, et, l’ayant fait revenir
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