le n’insista pas. Elle ne tarda pas à s’endormir. Loundja fit mine de
dormir
. En réalité, elle épiait le moment où elle entend
le en profita pour délivrer le jeune homme et lui dire : — Vite, elle
dort
. Prends tes jambes à ton cou I Mais lui répondit
, préoccupée de ne pas se laisser surprendre par l’hiver. Les enfants
dormaient
. La hutte était plongée dans la pénombre. Le feu
on de Dieu. Peu après il était au chevet de la princesse qui semblait
dormir
. Il lui dit : — O Soumicha, plus belle que lune e
feu qui tiendrait en respect les fauves et de l'entretenir tandis que
dormiraient
ses aînés. La pleine lune éclairait merveilleusem
rmit, la tête du benjamin confiée à son épaule. Le benjamin et l’aîné
dormaient
depuis un long moment lorsque le cadet se réveill
ant. ■L’hiver, à la veillée, lorsque les portes étaient closes et que
dormaient
les bêtes sous le même toit, tout contre les huma
t à chanter : ‹ O berger, pourquoi me réveiller?... Depuis dix ans je
dormais
... Mon frère Abderahman m’a poussé Du haut d’un r
e sur une plaie. Chant du .berceau L’enfant que j'ai élevé avec peine
Dort
sur le chemin. Sa couverture glisse, Veillez à ce
se, Veillez à ce qu’elle ne traîne. L’enfant pour qui j’ai bu du fiel
Dort
, abandonné. Sa couverture glisse, Veillez à ce qu
Veillez à ce qu’elle ne traîne. L’enfant qui m’a valu tant de larmes
Dort
, offert aux étoiles. Sa couverture glisse, Veille
précaution sur la couche la plus moelleuse et le regarda intensément
dormir
. Il lui vit des joues plus pleines et plus coloré
mère, comment entre en toi le sommeil ? A quoi reconnaîtrai-je que tu
dors
, afin de ne pas te réveiller car, moi, je me lève
s bêtes que j’ai avalées dans la journée crier, alors sois sûr que je
dors
. — Bien, maman-grand'mère I dit le Subtil qui se
— Bien, maman-grand'mère I dit le Subtil qui se coucha et fit mine de
dormir
. En réalité il épiait Tseriel. Il attendait que s
re bêler, la vache meugler et les poules caqueter. Il se dit : ‹ Elle
dort
. › Il prit une corde et lui attacha les pieds. So
‹ Elle dort. › Il prit une corde et lui attacha les pieds. Son frère
dormait
. Il le secoua et lui dit : — Lève-toi, lève-toi,
coua et lui dit : — Lève-toi, lève-toi, dépêchons-nous tandis qu’elle
dort
I Mais l’Innocent bougonna dans son sommeil : — L
’elle dort I Mais l’Innocent bougonna dans son sommeil : — Laisse-moi
dormir
I Alors le Subtil le pinça pour le réveiller tout
dations, rien ne nous séparera désormais. Il m'est dur, crois-moi, de
dormir
seul toutes les nuits dans cette fosse humide et
e ton lait dans cette outre et profite de ce que ton maître, le lion,
dort
pour arracher deux poils à sa moustache et me les
rrit de couscous, de lait et de fruits et leur prépara deux lits. Ils
dormirent
profondément. Le jeune homme s’éveilla le premier
ous n’oserions plus nous adresser à âme qui vive dans le village. Ali
dormit
mal cette nuit-là. Il se réveilla dès l’aube. H p
ncé par être adulte, Ayant oublié d'être enfant. Il vaut mieux que tu
dormes
avec l’inquiétude Qu’avec le regret. Chant de méd
er poète qui gardaient tour à tour le verger. Le poète et le tailleur
dormaient
quand le menuisier remarqua un frêle arbrisseau q
-elle. Et elle tira sur lui la porte. Velâjoudh mangeait et 'dormait,
dormait
et mangeait. L’ogresse lui donnait à boire par un