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1 (1966) Le grain magique
le n’insista pas. Elle ne tarda pas à s’endormir. Loundja fit mine de dormir . En réalité, elle épiait le moment où elle entend
le en profita pour délivrer le jeune homme et lui dire : — Vite, elle dort . Prends tes jambes à ton cou I Mais lui répondit
, préoccupée de ne pas se laisser surprendre par l’hiver. Les enfants dormaient . La hutte était plongée dans la pénombre. Le feu
on de Dieu. Peu après il était au chevet de la princesse qui semblait dormir . Il lui dit : — O Soumicha, plus belle que lune e
feu qui tiendrait en respect les fauves et de l'entretenir tandis que dormiraient ses aînés. La pleine lune éclairait merveilleusem
rmit, la tête du benjamin confiée à son épaule. Le benjamin et l’aîné dormaient depuis un long moment lorsque le cadet se réveill
ant. ■L’hiver, à la veillée, lorsque les portes étaient closes et que dormaient les bêtes sous le même toit, tout contre les huma
t à chanter : ‹ O berger, pourquoi me réveiller?... Depuis dix ans je dormais ... Mon frère Abderahman m’a poussé Du haut d’un r
e sur une plaie. Chant du .berceau L’enfant que j'ai élevé avec peine Dort sur le chemin. Sa couverture glisse, Veillez à ce
se, Veillez à ce qu’elle ne traîne. L’enfant pour qui j’ai bu du fiel Dort , abandonné. Sa couverture glisse, Veillez à ce qu
Veillez à ce qu’elle ne traîne. L’enfant qui m’a valu tant de larmes Dort , offert aux étoiles. Sa couverture glisse, Veille
précaution sur la couche la plus moelleuse et le regarda intensément dormir . Il lui vit des joues plus pleines et plus coloré
mère, comment entre en toi le sommeil ? A quoi reconnaîtrai-je que tu dors , afin de ne pas te réveiller car, moi, je me lève
s bêtes que j’ai avalées dans la journée crier, alors sois sûr que je dors . — Bien, maman-grand'mère I dit le Subtil qui se
— Bien, maman-grand'mère I dit le Subtil qui se coucha et fit mine de dormir . En réalité il épiait Tseriel. Il attendait que s
re bêler, la vache meugler et les poules caqueter. Il se dit : ‹ Elle dort . › Il prit une corde et lui attacha les pieds. So
‹ Elle dort. › Il prit une corde et lui attacha les pieds. Son frère dormait . Il le secoua et lui dit : — Lève-toi, lève-toi,
coua et lui dit : — Lève-toi, lève-toi, dépêchons-nous tandis qu’elle dort I Mais l’Innocent bougonna dans son sommeil : — L
’elle dort I Mais l’Innocent bougonna dans son sommeil : — Laisse-moi dormir I Alors le Subtil le pinça pour le réveiller tout
dations, rien ne nous séparera désormais. Il m'est dur, crois-moi, de dormir seul toutes les nuits dans cette fosse humide et
e ton lait dans cette outre et profite de ce que ton maître, le lion, dort pour arracher deux poils à sa moustache et me les
rrit de couscous, de lait et de fruits et leur prépara deux lits. Ils dormirent profondément. Le jeune homme s’éveilla le premier
ous n’oserions plus nous adresser à âme qui vive dans le village. Ali dormit mal cette nuit-là. Il se réveilla dès l’aube. H p
ncé par être adulte, Ayant oublié d'être enfant. Il vaut mieux que tu dormes avec l’inquiétude Qu’avec le regret. Chant de méd
er poète qui gardaient tour à tour le verger. Le poète et le tailleur dormaient quand le menuisier remarqua un frêle arbrisseau q
-elle. Et elle tira sur lui la porte. Velâjoudh mangeait et 'dormait, dormait et mangeait. L’ogresse lui donnait à boire par un
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
oit voir qu’elle n’estoit pas morte. Le roi ordonna qu’on la laissast dormir en repos, jusqu’à ce que son heure de se réveille
ust venue. La bonne fée qui luy avoit sauvé la vie en la condamnant à dormir cent ans estoit dans le royaume de Mataquin, à do
ce chasteau une princesse, la plus belle du monde ; qu’elle y devoit dormir cent ans, et qu’elle serait réveillée par le fils
a chapelle du chasteau, et la dame-d’honneur leur tira le rideau. Ils dormirent peu : la princesse n’en avoit pas grand besoin, e
reine avoit vingt ans passez, sans compter les cent ans qu’elle avoit dormi : sa peau estoit un peu dure, quoyque belle et bl
uſt fait que de ſe réveiller : elle n’avoit cependant pas eu envie de dormir depuis qu’elles s’eſtoient quittées : Si tu eſtoi
son pere, pour les écouter sans estre vû. Il alla se recoucher, et ne dormit point le reste de la nuit, songeant à ce qu’il av
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