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1 (1966) Le grain magique
que m'apparaisse Le pays de mes parents I La négresse & la maison demeure Moi, je suis gardeuse de chameaux, Pleurez, chame
our que m'apparaisse Le pays de mes parents I La négresse à la maison demeure Moi, je suis gardeuse de chameaux, Pleurez, chame
s’étonna le passant. Sans doute êtes-vous des étrangers?... C’est la demeure de notre seigneur qui est là sous vos yeux. A ses
u jardin. Il le souleva, le prit dans ses bras et le porta jusqu’à la demeure de l’ogresse. Il l’étendit avec précaution sur la
nt de pommes que put en contenir son panier et reprit le chemin de sa demeure . A peine entendit-elle son pas que sa femme refer
ieur de satin ; elle y rangea son trousseau et elle l’emporta dans la demeure de l’époux. Les noces donnèrent lieu à des réjoui
u qui le lui envoyait. Il délivra la jeune fille. Il l’emmena dans sa demeure . Il la soigna et l'épousa. A mesure que Reskia pa
ptait sans les desseins profonds de Dieu. Et plus il avançait vers sa demeure , plus le pauvre homme tremblait et appréhendait l
isait l’air irrité : — Qui donc m’épie ? Je sens une présence dans ma demeure . Aicha retira prudemment son œil et s’éloigna, la
sœurs. En un rien de temps, les restes du chat furent enterrés et la demeure nettoyée. Les orphelines prirent possession des r
es avançaient médusées, elles aperçurent sur le seuil d’une misérable demeure un vieillard paralytique. Sa “bouche sèche qu’ent
n délivrés, mes filles I Les sept filles retournèrent à leur nouvelle demeure avant la tombée de la nuit. Mais où était la cave
revoir et de revoir tes sœurs pût m’être donnée I Chassé de ma propre demeure et triste à mourir, il ne me restait que l’exil e
signés. Mais les étrangers blasphèment. Oiseau ne vole ni ne te pose. Demeure suspendu ! Chant de danse Bracelet aux émaux Dans
de toi, moi qui te parle, tu ne me verras pas, car il faut que je te demeure invisible jusqu’au jour où je serai délivré du so
ites mules qu’on eût dit en corail et sortit pour faire le tour de sa demeure . Elle traversa des pièces toutes somptueuses mais
intenant Yamina était une jeune fille qui connaissait l’ennui dans sa demeure splendide et jusque dans son jardin. Les journées
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
er une galette avec un petit pot de beurre, que ma mere luy envoye. — Demeure-t -elle bien loin ? lui dit le Loup. — Oh ouy, dit l
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