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1 (1966) Le grain magique
re vide. La fièvre s’empara d’elle. Sa mère en larmes s’approcha pour demander : — Qu’as-tu, ma fille? Tu viens à peine de sorti
pé la place de notre sœur I Ils se tournèrent vers leur sœur pour lui demander : — Qu’est-ce qui soulagerait ton cœur ? Elle rép
eille comme sang. ’ — Et où se trouve cette Loundja fille de Tseriel? demanda le premier. L’autre montra une direction et dit :
t pour constater le miracle. Or le jeune man avait un frère cadet qui demanda : — Comment cela s'est-il fait ? — Je n’ai eu qu'
pieds. Le Chevrier vint à passer : — Qu'as-tu, mon oncle le Crapaud? demanda-t -il. — Que n’ai-je I La reine des femmes s'est enf
ésole pas. Je vais te la ramener. — Qui marche au-dessus de mon toit? demanda la Grenouille en colère. Des débris tombent sur m
eur. Et là, elle levait son visage resplendissant vers la lune et lui demandait : — Qui de nous est la belle, ô lune, qui de nous
on sein. Pendant des mois, elle se tourna ainsi vers la lune pour lui demander : — Qui de nous est la belle, ô lune, qui de nous
a le feu, mit tn train le repas et alla réveiller la fillette. Il lui demanda avec douceur : — Quel est ton nom ? Quel est le n
n grand mal. La fièvre ne le quitta ni jour ni nuit. Le roi finit par demander : — Mon fils, qu’est-ce qui te guérirait ? — Lais
elle comme je l’ai fait moi-même jusqu’ici. Quant & moi, je ne te demanderai qu’une chose : une outre de sang. Le jour où elle
acheter la vache des orphelins ? A chaque homme qui s’approchait pour demander : ‹ Quelle est cette vache ?» il disait : — C’est
uit dans un palmier-dattier. Au matin, ils se remirent en marche. Ils demandaient la charité de village en village. Ils rencontrère
humain. Elle me regarde, et les mains m’en tombent ! La femme jalouse demanda successivement à tous les serviteurs de la lui ég
le. Le sultan la fit décapiter. Un beau jour, le Cheikh de la Mosquée demanda au sultan : — Et cette gazelle, qui est-elle ? —
x en plein ciel et des fauves dans les forêts. A tous les passants il demandait inlassablement : — Connaissez-vous le pays de Sou
aient soif. Ils avaient faim. Ils s’arrêtèrent à la première porte et demandèrent au nom de Dieu une cruche d’eau et un morceau de
l’assiéger. — Que viennent faire ici ces oiseaux de mauvais présage? demandèrent à un passant les deux amis. — Vous ne savez donc
i, le visage tourné vers l’Orient. A tous ceux que je rencontrais, je demandais inlassablement: «Connaissez-vous le pays de Soumi
la fontaine, qui les condamne à mourir de soif, j’accorderai ce qu’il demandera . › Mehend se rendit à l’endroit où se réunissaien
réunissaient les vieillards et les notables. Il s’avança vers eux et demanda : — Renseignez-moi : quel est ce dragon qui conda
lair, il ne reste rien de lui. Le jeune homme réfléchit et, à nouveau demanda : — Parmi toutes les richesses du sultan, quelle
muets d’admiration, conduisirent Mehend au sultan. — Mon fils, que me demanderas -tu ? lui dit le sultan. Ce que tu exigeras de moi
e et il aura ce qu’il voudra ›. Je n’ai qu’une parole. — Ce que je te demanderai , tu me l’accorderas? insista le jeune homme. — Je
end les regarda passer. Chaque fois que l’une apparaissait, le sultan demandait : — Est-ce celle-là ? Et le jeune homme répondait
absence d’un garçon. Le sultan lui-même survint : — D’où reviens-tu ? demanda-t -il. J’étais si inquiet pour toi ! C’est alors qu’
lui qui nous délivrera du dragon-aux-sept-têtes, je donnerai ce qu’il demandera . J› Il en triompha et je lui donnai ma fille aux
e son frère sans même s'être reposé. H alla voir le Vieux Sage et lui demanda dès le seuil : — Pourquoi le sultan a-t-il interd
ur âne, emportant un tamis et deux grands couffins. Alors, l’Innocent demanda au Subtil : — Qu’allons-nous faire? Tu sais bien
ger sur leur âne, ils ne trouvèrent de l’âne que les oreilles I Us se demandaient que faire lorsque survint Tseriel. Elle leur dit
out près, cachée par de grands arbres. Tseriel les fit entrer et leur demanda : — Qu’allez-vous manger? du couscous de blé ou d
ur la veillée. C’est alors que le Subtil prit sa plus douce voix pour demander à Tseriel : — Maman-grand’mère, comment entre en
e mon père quand il entendra ? › se dit-elle. Car chaque jour le père demandait : — Où est le petit ? Et la femme répondait, de p
is puisque tu as bu de mon lait, que puis-je pour toi?» Alors, tu lui demanderas de te laisser cueillir la Pomme Enchantée. Va, et
frison- nant et claquant des dents. Il s'assombrit : — Qu’as-tu? lui demanda-t -il, atterré. Ne t’ai-je pas apporté la pomme ench
près de son vieil ami et lui dit d’un air penaud : — Voici qu’elle me demande l’eau pour laquelle se battent les monts ! Le Sag
sais celui qui nous a donné pareille fête, je ferais tout ce qu’il me demanderait . Mehend se montra et dit : — C’est moi. Je voudra
sout. Une semaine tourna. Le jour de marché ramena le fils du roi. Il demanda : — Avez-vous trouvé des réponses à mes devinette
vous n’ayez compris le sens de ce que je vais dire. › — Et que vous a demandé de deviner le prince ? reprit la jeune fille. — I
s a demandé de deviner le prince ? reprit la jeune fille. — Il nous a demandé quel est l’être qui, le matin, marche sur quatre
passa. En ramenant le jour de marché, elle ramena le fils du roi. Il demanda : — Et aujourd'hui, avez-vous deviné? Le surveill
ur, je ne revendiquerai rien de la mère. Si tu le veux bien, je ne te demanderai que l’enfant qu’elle porte en elle. Prends-le dél
lle était si fatiguée qu’elle s’arrêta devant la première maison pour demander l’hospitalité. On lui servit un bon repas et on l
a avait de l'influence sur son frère qui n’entreprenait rien sans lui demander conseil et l’entourait de mille prévenances. Zaho
anger des œufs de serpent. — Et que puis-je faire pour l'en délivrer? demanda le cavalier. — Donne-lui à manger force grillades
il l’aimait d’une tendresse infinie. Cet enfant était sa vie. Il lui demanda : — Vouïedhmim, mon fils, qu’as-tu? Tu n’es pas m
. Nous frapperons à la première maison que nous rencontrerons et nous demanderons qu’on nous permette d’y passer la nuit. Mais toi,
. Chant de danse Branche de laurier-rose. Toi qui te nourris d'ombre, Demande au jeune homme Si je suis oubliée. Haut palmier-d
mme S'est-il embarqué? Mûrier chargé de mûres Que mon cœur l'oublie I Demande au bien-aimé S’il revient au pays. Proverbes La f
bles pour que je les endure. Dieu m'a fait une nature chagrine, Je ne demanderais qu'à l'échanger, Mais c’est Dieu qui me l'impose.
es jolies ailes. — Qu’as-tu, ô notre roi, un malheur t’est-il arrivé? demandèrent du haut du ciel les perdrix. Et le lion leur cont
galettes, sort de sa maison, une galette crue dans chaque main. Elle demande à son tour : — Qu’as-tu, Dame Puce? — Hou I hou !
haie d'épines et y accroche sa toison. La haie d’épines se penche et demande : — Qu’as-tu, Dame Puce? — Hou ! hou I Ce que j’a
a disparu t Le fleuve déborde et s’étale. La terre tremble. Un rocher demande : — Qu’as-tu, Dame Puce ? — Hou ! hou ! Ce que j’
ciel. Les nuages crèvent en pluie diluvienne. — Qu’as-tu, Dame Puce? demande enfin la mer. — Ce que j’ai ? Hou ! hou I Que n’e
r : — A celui qui guérira l’héritier du royaume, je donnerai ce qu’il demandera . ■C’est alors que se présenta un tout jeune homme
cé cette bague avec ces mots : ‹ Donne cette bague au cavalier qui te demandera de mes nouvelles ›. Le prince mit l’anneau à son
Au cours de la veillée, le prince se tournant vers la vieille femme, demanda : — Notre mère, sais-tu si des étrangers sont ven
e part? supplia Cheikh Smaïn. — Mon fils, Dieu m’est témoin que je ne demanderais qu’à vous donner de la joie, car vous avez été gé
mparts de sa ville : « Qui va pouvoir me renseigner habilement ? › se demandait -il avec anxiété. C’est alors que se présenta Sett
s lourds anneaux qui ornaient ses chevilles. — Qui es-tu, mon enfant? demanda Settoute du ton le plus engageant. Si j’en juge p
érait. Un matin, de guerre lasse, il alla trouver Cheikh Smain et lui demanda : — De grâce, qu’est-ce qui pourrait venir à bout
onc ? Mieux vaut celles qui économisent Que celles qui produisent. Ne demande pas à l’orphelin s’il connaît les larmes. Chant d
et nous ne connaîtrons pas la joie. H nous faut donc la tuer. Demain, demande -lui de t’accompagner à la forêt : vous ramasserez
ur sa bonne humeur que pour son esprit de charité. Lorsqu’un mendiant demandait l’aumône, nul ne faisait la sourde oreille ni ne
e légère annonçait l’Oiseau de l’Orage. Il était là, tout près, et il demandait d'une voix tendre et basse : — Es-tu heureuse ? P
quelques jours avant le retour de l’Oiseau de l’Orage, ses sœurs lui demandèrent : — Yamina pourquoi ne nous parles-tu que des spl
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
le que la princesse endormie, estant allé à la chasse de ce costé-là, demanda ce que c’estoit que des tours qu’il voyoit au-des
uatre ans, et vint en sautant et en riant se jetter à son col, et luy demander du bon du bon. Il se mit à pleurer : le couteau l
s si tost, entra dans la cour, à cheval : il estoit venu, en poste et demanda , tout estonné, ce que vouloit dire cet horrible s
sa, à cause de quelques bucherons qui estoient dans la forest. Il luy demanda où elle alloit. La pauvre enfant, qui ne sçavoit
es, dame de qualité, avoit deux filles parfaitement belles. Il luy en demanda une en mariage, et luy laissa le choix de celle q
st un conte du temps passé. Il n’est plus d’époux si terrible, Ny qui demande l’impossible, Fût-il mal-content et jaloux. Prés
d’en estre secouru dans sa misere. Lorsque le Chat eut ce qu’il avoit demandé , il se botta bravement, et, mettant son sac à son
s misericorde. Tout glorieux de sa proye, il s’en alla chez le roy et demanda à luy parler. On le fit monter à l’appartement de
serez tous hachez menu comme chair à pasté. » Le roy ne manqua pas à demander aux faucheurs à qui estoit ce pré qu’ils fauchoie
eut soin de s’informer qui estoit cet ogre et ce qu’il sçavoit faire, demanda à luy parler, disant qu’il n’avoit pas voulu pass
aller puiser de l’eau à la fontaine, et, quand une pauvre femme vous demandera à boire, luy en donner bien honnestement. — Il me
’elle vit sortir du bois une dame magnifiquement vestuë, qui vint luy demander à boire. C’estoit la même fée qui avoit apparu à
qui revenoit de la chasse, la rencontra, et, la voyant si belle, luy demanda ce qu’elle faisoit là toute seule et ce qu’elle a
mouches de la bonne Faiſeuſe : elles appellerent Cendrillon pour luy demander ſon avis, car elle avoit le goût bon. Cendrillon
s, elle ſe mit à pleurer. Sa Maraine, qui la vit toute en pleurs, luy demanda ce qu’elle avoit : Je voudrois bien… Je voudrois
s & des citrons. Cendrillon ne ſe ſentoit pas de joye : elle leur demanda le nom de cette Princeſſe ; mais elles luy répond
ites pantoufles, la pareille de celle qu’elle avoit laiſſé tomber. On demanda aux Gardes de la porte du Palais s’ils n’avoient
ne Demoiſelle. Quand les deux ſœurs revinrent du Bal, Cendrillon leur demanda ſi elles s’eſtoient encore bien diverties, &
lus stupide de jour en jour. Ou elle ne répondoit rien à ce qu’on lui demandoit , ou elle disoit une sottise. Elle estoit avec cel
on a de peine à prendre une ferme resolution sur cette affaire, elle demanda , aprés avoir remercié son pere, qu’il luy donnast
une chanson harmonieuse. La princesse, estonnée de ce spectacle, leur demanda pour qui ils travailloient. « C’est, Madame, luy
heurterent à la porte, et une bonne femme vint leur ouvrir. Elle leur demanda ce qu’ils vouloient, Le petit Poucet luy dit, qu’
t sa femme les fit cacher sous le lit et alla ouvrir la porte. L’Ogre demanda d’abord si le soupé estoit prest et si on avoit t
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