re vide. La fièvre s’empara d’elle. Sa mère en larmes s’approcha pour
demander
: — Qu’as-tu, ma fille? Tu viens à peine de sorti
pé la place de notre sœur I Ils se tournèrent vers leur sœur pour lui
demander
: — Qu’est-ce qui soulagerait ton cœur ? Elle rép
eille comme sang. ’ — Et où se trouve cette Loundja fille de Tseriel?
demanda
le premier. L’autre montra une direction et dit :
t pour constater le miracle. Or le jeune man avait un frère cadet qui
demanda
: — Comment cela s'est-il fait ? — Je n’ai eu qu'
pieds. Le Chevrier vint à passer : — Qu'as-tu, mon oncle le Crapaud?
demanda-t
-il. — Que n’ai-je I La reine des femmes s'est enf
ésole pas. Je vais te la ramener. — Qui marche au-dessus de mon toit?
demanda
la Grenouille en colère. Des débris tombent sur m
eur. Et là, elle levait son visage resplendissant vers la lune et lui
demandait
: — Qui de nous est la belle, ô lune, qui de nous
on sein. Pendant des mois, elle se tourna ainsi vers la lune pour lui
demander
: — Qui de nous est la belle, ô lune, qui de nous
a le feu, mit tn train le repas et alla réveiller la fillette. Il lui
demanda
avec douceur : — Quel est ton nom ? Quel est le n
n grand mal. La fièvre ne le quitta ni jour ni nuit. Le roi finit par
demander
: — Mon fils, qu’est-ce qui te guérirait ? — Lais
elle comme je l’ai fait moi-même jusqu’ici. Quant & moi, je ne te
demanderai
qu’une chose : une outre de sang. Le jour où elle
acheter la vache des orphelins ? A chaque homme qui s’approchait pour
demander
: ‹ Quelle est cette vache ?» il disait : — C’est
uit dans un palmier-dattier. Au matin, ils se remirent en marche. Ils
demandaient
la charité de village en village. Ils rencontrère
humain. Elle me regarde, et les mains m’en tombent ! La femme jalouse
demanda
successivement à tous les serviteurs de la lui ég
le. Le sultan la fit décapiter. Un beau jour, le Cheikh de la Mosquée
demanda
au sultan : — Et cette gazelle, qui est-elle ? —
x en plein ciel et des fauves dans les forêts. A tous les passants il
demandait
inlassablement : — Connaissez-vous le pays de Sou
aient soif. Ils avaient faim. Ils s’arrêtèrent à la première porte et
demandèrent
au nom de Dieu une cruche d’eau et un morceau de
l’assiéger. — Que viennent faire ici ces oiseaux de mauvais présage?
demandèrent
à un passant les deux amis. — Vous ne savez donc
i, le visage tourné vers l’Orient. A tous ceux que je rencontrais, je
demandais
inlassablement: «Connaissez-vous le pays de Soumi
la fontaine, qui les condamne à mourir de soif, j’accorderai ce qu’il
demandera
. › Mehend se rendit à l’endroit où se réunissaien
réunissaient les vieillards et les notables. Il s’avança vers eux et
demanda
: — Renseignez-moi : quel est ce dragon qui conda
lair, il ne reste rien de lui. Le jeune homme réfléchit et, à nouveau
demanda
: — Parmi toutes les richesses du sultan, quelle
muets d’admiration, conduisirent Mehend au sultan. — Mon fils, que me
demanderas
-tu ? lui dit le sultan. Ce que tu exigeras de moi
e et il aura ce qu’il voudra ›. Je n’ai qu’une parole. — Ce que je te
demanderai
, tu me l’accorderas? insista le jeune homme. — Je
end les regarda passer. Chaque fois que l’une apparaissait, le sultan
demandait
: — Est-ce celle-là ? Et le jeune homme répondait
absence d’un garçon. Le sultan lui-même survint : — D’où reviens-tu ?
demanda-t
-il. J’étais si inquiet pour toi ! C’est alors qu’
lui qui nous délivrera du dragon-aux-sept-têtes, je donnerai ce qu’il
demandera
. J› Il en triompha et je lui donnai ma fille aux
e son frère sans même s'être reposé. H alla voir le Vieux Sage et lui
demanda
dès le seuil : — Pourquoi le sultan a-t-il interd
ur âne, emportant un tamis et deux grands couffins. Alors, l’Innocent
demanda
au Subtil : — Qu’allons-nous faire? Tu sais bien
ger sur leur âne, ils ne trouvèrent de l’âne que les oreilles I Us se
demandaient
que faire lorsque survint Tseriel. Elle leur dit
out près, cachée par de grands arbres. Tseriel les fit entrer et leur
demanda
: — Qu’allez-vous manger? du couscous de blé ou d
ur la veillée. C’est alors que le Subtil prit sa plus douce voix pour
demander
à Tseriel : — Maman-grand’mère, comment entre en
e mon père quand il entendra ? › se dit-elle. Car chaque jour le père
demandait
: — Où est le petit ? Et la femme répondait, de p
is puisque tu as bu de mon lait, que puis-je pour toi?» Alors, tu lui
demanderas
de te laisser cueillir la Pomme Enchantée. Va, et
frison- nant et claquant des dents. Il s'assombrit : — Qu’as-tu? lui
demanda-t
-il, atterré. Ne t’ai-je pas apporté la pomme ench
près de son vieil ami et lui dit d’un air penaud : — Voici qu’elle me
demande
l’eau pour laquelle se battent les monts ! Le Sag
sais celui qui nous a donné pareille fête, je ferais tout ce qu’il me
demanderait
. Mehend se montra et dit : — C’est moi. Je voudra
sout. Une semaine tourna. Le jour de marché ramena le fils du roi. Il
demanda
: — Avez-vous trouvé des réponses à mes devinette
vous n’ayez compris le sens de ce que je vais dire. › — Et que vous a
demandé
de deviner le prince ? reprit la jeune fille. — I
s a demandé de deviner le prince ? reprit la jeune fille. — Il nous a
demandé
quel est l’être qui, le matin, marche sur quatre
passa. En ramenant le jour de marché, elle ramena le fils du roi. Il
demanda
: — Et aujourd'hui, avez-vous deviné? Le surveill
ur, je ne revendiquerai rien de la mère. Si tu le veux bien, je ne te
demanderai
que l’enfant qu’elle porte en elle. Prends-le dél
lle était si fatiguée qu’elle s’arrêta devant la première maison pour
demander
l’hospitalité. On lui servit un bon repas et on l
a avait de l'influence sur son frère qui n’entreprenait rien sans lui
demander
conseil et l’entourait de mille prévenances. Zaho
anger des œufs de serpent. — Et que puis-je faire pour l'en délivrer?
demanda
le cavalier. — Donne-lui à manger force grillades
il l’aimait d’une tendresse infinie. Cet enfant était sa vie. Il lui
demanda
: — Vouïedhmim, mon fils, qu’as-tu? Tu n’es pas m
. Nous frapperons à la première maison que nous rencontrerons et nous
demanderons
qu’on nous permette d’y passer la nuit. Mais toi,
. Chant de danse Branche de laurier-rose. Toi qui te nourris d'ombre,
Demande
au jeune homme Si je suis oubliée. Haut palmier-d
mme S'est-il embarqué? Mûrier chargé de mûres Que mon cœur l'oublie I
Demande
au bien-aimé S’il revient au pays. Proverbes La f
bles pour que je les endure. Dieu m'a fait une nature chagrine, Je ne
demanderais
qu'à l'échanger, Mais c’est Dieu qui me l'impose.
es jolies ailes. — Qu’as-tu, ô notre roi, un malheur t’est-il arrivé?
demandèrent
du haut du ciel les perdrix. Et le lion leur cont
galettes, sort de sa maison, une galette crue dans chaque main. Elle
demande
à son tour : — Qu’as-tu, Dame Puce? — Hou I hou !
haie d'épines et y accroche sa toison. La haie d’épines se penche et
demande
: — Qu’as-tu, Dame Puce? — Hou ! hou I Ce que j’a
a disparu t Le fleuve déborde et s’étale. La terre tremble. Un rocher
demande
: — Qu’as-tu, Dame Puce ? — Hou ! hou ! Ce que j’
ciel. Les nuages crèvent en pluie diluvienne. — Qu’as-tu, Dame Puce?
demande
enfin la mer. — Ce que j’ai ? Hou ! hou I Que n’e
r : — A celui qui guérira l’héritier du royaume, je donnerai ce qu’il
demandera
. ■C’est alors que se présenta un tout jeune homme
cé cette bague avec ces mots : ‹ Donne cette bague au cavalier qui te
demandera
de mes nouvelles ›. Le prince mit l’anneau à son
Au cours de la veillée, le prince se tournant vers la vieille femme,
demanda
: — Notre mère, sais-tu si des étrangers sont ven
e part? supplia Cheikh Smaïn. — Mon fils, Dieu m’est témoin que je ne
demanderais
qu’à vous donner de la joie, car vous avez été gé
mparts de sa ville : « Qui va pouvoir me renseigner habilement ? › se
demandait
-il avec anxiété. C’est alors que se présenta Sett
s lourds anneaux qui ornaient ses chevilles. — Qui es-tu, mon enfant?
demanda
Settoute du ton le plus engageant. Si j’en juge p
érait. Un matin, de guerre lasse, il alla trouver Cheikh Smain et lui
demanda
: — De grâce, qu’est-ce qui pourrait venir à bout
onc ? Mieux vaut celles qui économisent Que celles qui produisent. Ne
demande
pas à l’orphelin s’il connaît les larmes. Chant d
et nous ne connaîtrons pas la joie. H nous faut donc la tuer. Demain,
demande
-lui de t’accompagner à la forêt : vous ramasserez
ur sa bonne humeur que pour son esprit de charité. Lorsqu’un mendiant
demandait
l’aumône, nul ne faisait la sourde oreille ni ne
e légère annonçait l’Oiseau de l’Orage. Il était là, tout près, et il
demandait
d'une voix tendre et basse : — Es-tu heureuse ? P
quelques jours avant le retour de l’Oiseau de l’Orage, ses sœurs lui
demandèrent
: — Yamina pourquoi ne nous parles-tu que des spl