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1 (1966) Le grain magique
çon, nous nous exilerons. Nous nous enfuirons. Le jour où devait être délivrée leur mère, ils s’éloignèrent du village et ils at
ux beugler, l’âne braire et les poules caqueter. Elle en profita pour délivrer le jeune homme et lui dire : — Vite, elle dort. P
l est certain que s’il l’a mis sous son aile, il ne l’a pas tué. Pour délivrer ton fils voici ce que tu feras : tu monteras sur
nt des lames Pour Ali-Gazelle-le-pauvre O Aïcha ma sœur, fille de ma mère Délivre -moi ! › Et sa sœur lui répondait : Aïcha, ta sœu
lames Pour Ali-gazelle-le-pauvre O Aïcha, ma sœur, fille de ma mère, Délivre -moi I › C’est ainsi qu'il entendit le puits répon
lames Pour Ali-gazelle-le-pauvre O Aïcha, ma sœur, fille de ma mère. Délivre -moi ! › Ils entendirent le puits répondre à la ga
. Le sultan s’écria : — C’est Aïcha 1 Qui a pu la conduire là ? Il la délivra . Les domestiques dénoncèrent la méchante rivale.
. Ils accoururent pour lui dire : — C’est Dieu qui t’envoie pour nous délivrer d’un tigre monstrueux qui, chaque nuit, dévore un
c y clamait par les chemins : — Le sultan fait savoir : ‹ A celui qui délivrera mon royaume du dragon-aux-sept-têtes qui interdit
s triomphé du dragon et n’ai-je pas déclaré : ‹ Que celui qui nous en délivrera parle et il aura ce qu’il voudra ›. Je n’ai qu’un
levait. Un grand village lui apparut, le village que son frère avait délivré du dragon. Le lévrier ralentit son allure. Le che
re entra dans ce village comme j'y faisais crier : « A celui qui nous délivrera du dragon-aux-sept-têtes, je donnerai ce qu’il de
visage sautait hors de son lit et se précipitait vers la trappe. Elle délivrait l’Ogre et passait tout le jour en sa compagnie, c
nt l'un à l’autre entre deux rires : «Mehend, le lion nous en a enfin délivrés , ô chance, le lion nous a délivrés de Mehend !› E
: «Mehend, le lion nous en a enfin délivrés, ô chance, le lion nous a délivrés de Mehend !› Et l’Ogre et la jeune femme de rire
ura fait manger des œufs de serpent. — Et que puis-je faire pour l'en délivrer ? demanda le cavalier. — Donne-lui à manger force
qui revenait d’un marché voisin : c’est Dieu qui le lui envoyait. Il délivra la jeune fille. Il l’emmena dans sa demeure. Il l
ville et même le pays. Loué soit Dieu mille fois qui nous en a enfin délivrés , mes filles I Les sept filles retournèrent à leur
haîne qui a fait de moi le plus misérable des êtres ? Le serviteur le délivra et se retira tout penaud. Et le pauvre prince s'a
iction. Prisonnière d'un homme indigne. L’issue me paraît incertaine, Délivre -moi, ô Créateur ! Proverbes H nous le donne par q
as, car il faut que je te demeure invisible jusqu’au jour où je serai délivré du sort qu’un esprit méchant m’a jeté. Jusque-là,
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