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1 (1966) Le grain magique
lité, devait frapper Léo Frobenius, le grand africaniste allemand qui déclare en effet ne point connaître de littérature orale
s qu’ils sont partis et que nous ne savons rien d’eux. La jeune fille déclara : — Je vais me mettre à leur recherche et les ram
chait l’entrée du souterrain. Dès qu'elle eut fini de manger, Tseriel déclara : — Je m’en vais, ce soir, enduire de henné tous
l était auparavant. Alors le jeune homme alla trouver son père et lui déclara : — Je veux épouser la négresse. — Comment oseron
isons. Mais la Grenouille, exténuée, s’assit sur le bord du chemin et déclara : — Pars seul si tu veux. Je ne puis plus faire u
rtout ! Et elle rentra. Le prince s'en alla trouver son père ; il lui déclara : •— Je veux épouser la fille du serpent. Le roi
le I Le soir, lorsque le père rentra, la marâtre s'avança vers lui et déclara : — La vache qui a frappé ma fille ne saurait viv
é. Mais il ne trouva personne pour la lui acheter. Alors sa femme lui déclara : — Puisque tu ne parviens pas à la vendre, tu l’
yeux pleins de larmes. Le domestique revint vers sa maîtresse et lui déclara : — Je ne puis la tuer : cette gazelle n’est pas
Cheikh de la Mosquée. Mais le Cheikh en dépit de toute sa science se déclara impuissant. Alors le prince murmura : — Si Settou
le I Alors le jeune homme à la taille imposante et aux yeux de faucon déclara : — Je guérirai la jeune princesse. — O mon frère
s nos bêtes. Cette nuit nous le guetterons. — Je veillerai avec vous, déclara le jeune homme. — Si tu nous en délivres, reprire
in, au point du jour, vous me mènerez vers le dragon- aux-sept-têtes, déclara Mehend. Le lendemain, il se leva dès l’aube. H pr
de moi tu l’obtiendras. N’as-tu pas triomphé du dragon et n’ai-je pas déclaré : ‹ Que celui qui nous en délivrera parle et il a
par pleines charges sur des ânes. — Les nôtres sont sûrement mûres ! déclarèrent à nouveau les deux vieux. Vous irez demain les cu
lez-vous manger? du couscous de blé ou du couscous de cendre ? — Moi, déclara l’Innocent, je veux du couscous de blé. L’Ogresse
sit à ses parents, elle, une passante que nul ne connaissait. Il leur déclara : — C’est elle que je veux ou je mourrai. Le père
nétrèrent dans une contrée que pas une âme n’habitait. La jeune fille déclara : — Je suis très lasse. 118 C’est alors qu’apparu
a belle jeune fille se reposer dans une chambre. Et l’aîné des frères déclara au jeune homme : — Nous allons toi et moi nous me
lui soit impossible de revenir. Demain, ne manque surtout pas de lui déclarer : ‹ Je veux que tu me donnes à boire l’eau des pl
Ma fille, répondit le surveillant, le fils du roi est venu et nous a déclaré : «Vous n'achèterez ni ne vendrez, vous ne vendre
llant répondit : — Bien, seigneur. Et ils partirent à pied. Le prince déclara : — Je me suis enfui du paradis de Dieu. J’ai ref
ils du roi se tourna alors vers la jeune fille pleine d’esprit et lui déclara : — Pour que tu m’aies dit : « Ma mère est allée
tier. La jeune fille répondit : — Lorsque tu t’es mis en route, tu as déclaré à mon père : ‹ Je me suis enfui du paradis de Die
eront. Dès le lendemain le prince alla trouver le roi son père et lui déclara : — Moi, je veux épouser la fille du surveillant
de ce que nous étions convenus le jour de nos épousailles?... Je t'ai déclaré : «Le jour où ton savoir se révélera plus grand q
es du palmier, mais qui montera pour le découvrir ? — Moi, seigneur I déclara la fourmi. Elle grimpa et piqua la mère à la jamb
jeune homme s’éveilla le premier. H alla vers la vieille femme et lui déclara : — Ma sœur et moi nous voudrions vivre dans ce p
ses côtés, il l’interrogea et elle parla. Elle dit : — Mon frère m’a déclaré à l’aube : ‹ Allons couper du bois, nous n’en avo
devant lui sur son cheval et l’emmena. II lui ouvrit sa maison et lui déclara , dès qu’elle s’y fut bien reposée : — Toi et moi,
la mort. Les enfants marchèrent d’un bon pas. Mais vers midi elles se déclarèrent fatiguées. Il faisait chaud, le père leur étendit
on du Pou. Il se rendit sur l’heure chez la Puce avec dix sous et lui déclara : — Voici toute ma fortune. Mettons-nous en ménag
jetèrent dans la marmite. Ils garnirent le foyer de bûches et la Puce déclara : — Je n’ai plus d’eau. Je cours à la fontaine. T
ikh Smaïn s’avança : — Tout ce lait que tu vois va devenir du beurre, déclara-t -il. Il jeta dans la barratte une des feuilles qu’
ervaient par le judas. Alors, Roundja plus belle que lune et que rose déclara : — Voici une pomme. Lance-la lui : s’il la porte
ndemain les Notables de la ville : — J’ordonne, leur dit-il, que vous déclariez devant mes sujets qu’il n’y a aucun sacrilège à c
stiques de le rouer de coups. Par sept fois les six premiers Notables déclarèrent : — La loi de Dieu permet l’union du père avec se
joudh mon fils I Il lui offrit le manche d’une cognée. Mais l’ogresse déclara : — Je t’accorde encore huit jours. C’est tout ce
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
oit la maistresse sur le choix d’un époux, et qu’elle n’avoit qu’à se déclarer . Comme, plus on a d’esprit, et plus on a de peine
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