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1 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
soit d’en approcher. Ces deffenses n’estoient pas necessaires, car il crut dans un quart d’heure, tout au tour du parc, une
de se faire un passage au travers du bois. Le prince ne sçavoit qu’en croire , lors qu’un vieux paysan prit la parole et luy di
eservée. » Le jeune prince, à ce discours, se sentit tout de feu ; il crut , sans balancer, qu’il mettroit fin à une si belle
u pain noir et du fromage. Le roi, son pere, qui estoit bon-homme, le crut ; mais sa mere n’en fut pas bien persuadée, et, v
oussailles, et vous verez que vous n’êtes pas si mal partagé que vous croyez . » Quoique le maistre du Chat ne fist pas grand f
ien peur. « On m’a assuré encore, dit le Chat, mais je ne sçaurois le croire , que vous aviez aussi le pouvoir de prendre la fo
t deux gros diamans. « Que voy-je là ? dit sa mere tout estonnée ; je crois qu’il luy sort de la bouche des perles et des dia
l n’y a rien, Madame, qui marque davantage qu’on a de l’esprit que de croire n’en pas avoir, et il est de la nature de ce bien
voir, et il est de la nature de ce bien-là que, plus on en a, plus on croit en manquer. — Je ne sçay pas cela, dit la princes
à la Houppe, où elle brilla d’une telle force que Riquet à la Houppe crut luy avoir donné plus d’esprit qu’il ne s’en estoi
itié de nous, si vous voulez bien l’en prier. La femme de l’Ogre qui crut qu’elle pourroit les cacher à son mary jusqu’au l
dormoit bien fort, et qu’ils ne se missent point en peine de luy. Ils crurent son conseil, et gagnerent viste la maison. Le pet
sept lieuës que voilà pour faire diligence, et aussi afin que vous ne croyez pas que je sois un affronteur. La bonne femme fo
2 (1966) Le grain magique
ces histoires si spécifiques du génie berbère où le réalisme le plus cru et l’humour constrastent avec le fantastique et l
de ses frères et leur répéta ce qu'il venait d’apprendre. Mais ils ne crurent pas un mot de l’histoire et lui dirent : — A quoi
t chaud l’hiver et passait-elle ses veillées à tisser. Une nuit, elle crut sentir dans l’air comme l’odeur des olives et de
posa et dit : — Prends mon cheval et donne-moi ce poisson. Le pêcheur crut à une plaisanterie. Il se mit à rire : — Qui donc
e des fontaines d’abondance. Les pauvres prirent part au festin et se crurent les égaux des privilégiés de ce monde. Le sultan
la joie qu’il apportait à ses parents et à son peuple. «Sans doute me croient -ils mort, se disait-il par moment avec quelle tri
Il a volé, j’étais témoin Il a juré (qu’il était innocent) et je l’ai cru I SI l’homme de bien est inquiet, Que sera-ce de
ideux t'a épousée. Aussi, dès qu'il renifle et que sa morve coule, Tu crois devenir folle et tu fuis de dégoût Pour t'abattre
ba, ô mon père Inoubba 1 — Sauve-toi, maudit ! lui répondit le vieux. Crois -tu que je ne te reconnaisse pas ? L'Ogre revint à
eurent fait quelques pas : — Nous ne sommes qu’un, toi et moi. Car il croyait être aimé de la jeune fille. Il ne savait pas qu’
ent les monts ! Le Sage le considéra longuement avant de répondre : — Crois -moi, je te le jure par cette barbe toute blanche
nner. La fièvre parut l’abandonner à la grande joie de Mehend qui put croire la paix et le bonheur définitivement revenus. Mai
s mes recommandations, rien ne nous séparera désormais. Il m'est dur, crois -moi, de dormir seul toutes les nuits dans cette f
mort et qu’ils sont deux à la vouloir? Jusqu’où ira ton aveuglement? Crois -moi, quelqu’un l'inspire et la guide ! Mais le je
e ? — Très bien, poursuivit la jeune femme. Puisque tu ne veux pas me croire , demain dis à ta sœur : ‹ Je sens une démangeaiso
sement de la vie. » Ce sont les serpents qu’il sentit frémir, mais il crut à autre chose... Et c'est ainsi qu’il entraîna sa
ait nonchalamment sur la peau de panthère. Chaque fois, Aïcha pouvait croire que la veillée serait paisible et que le chat ne
rut vers lui : — O ma fille, lui dit-il d’une voix humble, je n’osais croire que la joie de te revoir et de revoir tes sœurs p
. Où conduire mes pas et dans quelle eau laver ma honte ? Car je vous croyais mortes, mes filles f Un autre était-il plus misér
us le soleil. Le prince nageait dans la joie et le sultan qui l'avait cru malade à mourir, en était fort aise. Settoute seu
inaret. Et le sultan, réveillé en sursaut par une inquiétante rumeur, crut à quelque ennemi devant les remparts de sa ville
ense. — Tu te ris de moi, reprit le sultan. Comment veux-tu que je te croie ? — Essaye. Quand tu m'auras attaché avec cette ch
é, le sultan donna au guerrier le cheval et le sabre de ce fils qu’il croyait mort depuis longtemps. Cheikh Smaïn, monté sur le
it dans un éclat de rire : — Que me veux-tu, maman-grand’mère ? As-tu cru vraiment que tu attacherais ma tête avec des feui
patte lorsqu'il s’esclaffa : —Oh I elle a attrapé une racine et elle croit que c’est mon pied ! Comme elle était aveugle, el
t du sommeil de l’enfance. Elle se réveilla très tard le lendemain et crut rêver quand elle se vit seule, dans un immense li
Je ne sais comment il est car je ne l’ai jamais vu ! Ses sœurs ne la crurent pas tout d'abord. Yamina poursuivit : — Je ne l'a
ation O mon frère que tu es pâle, O mon frère que tu es blême I Tu as cru ce que t’ont dit les autres. Tu as suivi ce que t
son cou est si clair Qu'il devient transparent quand elle boit. L’on croit y voir l’eau courir. Ses mains sont toutes menues
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