mine de dormir. En réalité, elle épiait le moment où elle entendrait
crier
toutes les bêtes que sa mère avait avalées dans l
dja avait changé de maître I La rivière arrêta l’ogresse. Tseriel lui
cria
furieusement : — Rivière d’immondices, je veux pa
me voici trahie à mon tour I Mais le jeune homme eut le temps de lui
crier
: — Va devant toi. Tu rencontreras une fontaine.
?... Ce n’est pas grave. Il prit son vol. —Qui donc est sur mon toit?
cria
la Grenouille. Des débris tombent sur mon repas I
pa des mains de l’enfant et se mit à rouler. — Cours et rattrape-la !
cria
la mère. L’enfant s’élança. La mère coupa le fil
t se lamentèrent. Lorsqu’il fut arrivé sur la place, le père se mit à
crier
: — Qui veut acheter la vache des orphelins ? A c
re tandis que Mehend, embrasé d'impatience, pressait son cheval noir,
criant
à son interminable escorte de se hâter, car les f
econnaître ma fille parmi elles, emmène-là, elle est à toi. Et il fit
crier
par tout le royaume : — Que quatre-vingt-dix-neuf
e voici enfin revenu ! Emmène ta jument et ses poulains. Mais il leur
cria
: — Je reviendrai ! Il leur fit signe de s’écarte
vancer vers lui une foule énorme. — Te voici donc enfin, Mehend ! lui
criait
-on de toutes parts. Tu as été absent si longtemps
t à mourir de soif. Ton frère entra dans ce village comme j'y faisais
crier
: « A celui qui nous délivrera du dragon-aux-sept
eux jardin : — Bienvenu sois-tu, sois le bienvenu Ahmed mon fils, lui
cria-t
-elle joyeuse. Depuis si longtemps j’espérais ta v
. Et puis des chameliers les aperçurent : — Où est ma chamelle ? leur
cria
Mehend. Us la lui amenèrent, entourée de ses cham
poules caqueter et toutes les bêtes que j’ai avalées dans la journée
crier
, alors sois sûr que je dors. — Bien, maman-grand'
e dormir. En réalité il épiait Tseriel. Il attendait que se missent à
crier
toutes les bêtes qu'elle avait mangées pour se sa
it. Une grosse pierre encombrait le chemin. Le Subtil la contourna et
cria
à son frère : — Veille à la pierre ! Mais l’Innoc
t, courait toujours. Il rencontra un olivier : — Veille à l’olivier !
cria-t
-il encore à son frère. L’Innocent qui avançait av
i-je dit cela ? T'ai-je dit de prendre l’olivier sur ton dos? Je t’ai
crié
: ‹ Prends garde à la pierre, prends garde à l’ar
ez elle. Le Subtil ajouta : — J'ai épié le moment oit se mettraient à
crier
toutes les bêtes que l’Ogresse avait avalées dans
a ! Mais le vieillard le reconnut encore. — Eloigne-toi, maudit 1 lui
cria-t
-il. Je sais qui tu es. L’Ogre s’en retourna chez
mé sur lui la porte. Et maintenant qu’allons- nous faire? Le père fit
crier
la nouvelle sur la place publique. Alors, chaque
mon fils I Et l'autre disait : — Il est mon fils ! Elles en vinrent à
crier
. A se prendre aux cheveux. Le roi était perplexe.
. Alors, il défît sa longue ceinture de laine et la lui lança, en lui
criant
: — Attache-la bien autour de tes reins ! Et il s
la queue. Quand il eut fixé les cent queues, il s’éloigna et se mit à
crier
comme un brûlé : — Sauve qui peut ! le propriétai
ent pour lui ses parents ? Proverbe Dire : « tais-toi », c'est encore
crier
! Et Dieu lui a dit ; ‹ Puisque tu n’es pas las d
, le peuple voulut qu’il eût un nom, le peuple se rendit au palais et
cria
de loin au sultan : — La paix soit sur toi, sulta
à Cheikh Smaïn ! Or, Cheikh Smaïn était à sa fenêtre. Il se penche et
crie
au jeune garçon : — Et quel est ce bon tour que T
ger, n’as-tu pas remarqué une caravane emmenant une jeune fille ? lui
cria
Cheikh Smaïn. — 11 y a deux jours est passée une
bon nègre qui l’attendaient avec impatience. — Prépare-toi à partir,
cria-t
-elle joyeusement au prince : la jeune fille plus
Cheikh Smaïn l'observaient de leur fenêtre. — Retourne ton plat, lui
cria
l’une d’elles : Ta galette ne cuira jamais I — Je
minait vers la fontaine où l’attendait son père : — Maître, lui avait
crié
l’épouse qui avait le pouvoir de se transformer e
Une immense clameur s’éleva : c’étaient six, parmi les Notables, qui
criaient
à la face du ciel : — Oui, bonnes gens, il est pe
au ruisseau qui arrosait le pied du figuier. Elle entendit Velâjoudh
crier
: ‹ Qui veut manger des figues?... › Tseriel étai
terre I A l’heure chaude, survint l’ogresse. Elle entendit Velâjoudh
crier
: ‹ Qui veut des figues ? »... Elle avança la mai
! Velâjoudh prit alors une poignée de poivre et sauta sur le toit en
criant
: — Tseriel a mangé sa fille 1 Tseriel s’était dé
l était allé en pèlerinage. Un beau matin il sortit, se montra et fit
crier
sur la place publique et hors du village : — Je s
observait. Il attendait de voir sortir ceux qu'il avait vu entrer. Il
cria
au Chat-pèlerin : — Je n'ai pas eu confiance en t