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1 (1966) Le grain magique
mine de dormir. En réalité, elle épiait le moment où elle entendrait crier toutes les bêtes que sa mère avait avalées dans l
dja avait changé de maître I La rivière arrêta l’ogresse. Tseriel lui cria furieusement : — Rivière d’immondices, je veux pa
me voici trahie à mon tour I Mais le jeune homme eut le temps de lui crier : — Va devant toi. Tu rencontreras une fontaine.
?... Ce n’est pas grave. Il prit son vol. —Qui donc est sur mon toit? cria la Grenouille. Des débris tombent sur mon repas I
pa des mains de l’enfant et se mit à rouler. — Cours et rattrape-la ! cria la mère. L’enfant s’élança. La mère coupa le fil
t se lamentèrent. Lorsqu’il fut arrivé sur la place, le père se mit à crier : — Qui veut acheter la vache des orphelins ? A c
re tandis que Mehend, embrasé d'impatience, pressait son cheval noir, criant à son interminable escorte de se hâter, car les f
econnaître ma fille parmi elles, emmène-là, elle est à toi. Et il fit crier par tout le royaume : — Que quatre-vingt-dix-neuf
e voici enfin revenu ! Emmène ta jument et ses poulains. Mais il leur cria : — Je reviendrai ! Il leur fit signe de s’écarte
vancer vers lui une foule énorme. — Te voici donc enfin, Mehend ! lui criait -on de toutes parts. Tu as été absent si longtemps
t à mourir de soif. Ton frère entra dans ce village comme j'y faisais crier : « A celui qui nous délivrera du dragon-aux-sept
eux jardin : — Bienvenu sois-tu, sois le bienvenu Ahmed mon fils, lui cria-t -elle joyeuse. Depuis si longtemps j’espérais ta v
. Et puis des chameliers les aperçurent : — Où est ma chamelle ? leur cria Mehend. Us la lui amenèrent, entourée de ses cham
poules caqueter et toutes les bêtes que j’ai avalées dans la journée crier , alors sois sûr que je dors. — Bien, maman-grand'
e dormir. En réalité il épiait Tseriel. Il attendait que se missent à crier toutes les bêtes qu'elle avait mangées pour se sa
it. Une grosse pierre encombrait le chemin. Le Subtil la contourna et cria à son frère : — Veille à la pierre ! Mais l’Innoc
t, courait toujours. Il rencontra un olivier : — Veille à l’olivier ! cria-t -il encore à son frère. L’Innocent qui avançait av
i-je dit cela ? T'ai-je dit de prendre l’olivier sur ton dos? Je t’ai crié : ‹ Prends garde à la pierre, prends garde à l’ar
ez elle. Le Subtil ajouta : — J'ai épié le moment oit se mettraient à crier toutes les bêtes que l’Ogresse avait avalées dans
a ! Mais le vieillard le reconnut encore. — Eloigne-toi, maudit 1 lui cria-t -il. Je sais qui tu es. L’Ogre s’en retourna chez
mé sur lui la porte. Et maintenant qu’allons- nous faire? Le père fit crier la nouvelle sur la place publique. Alors, chaque
mon fils I Et l'autre disait : — Il est mon fils ! Elles en vinrent à crier . A se prendre aux cheveux. Le roi était perplexe.
. Alors, il défît sa longue ceinture de laine et la lui lança, en lui criant : — Attache-la bien autour de tes reins ! Et il s
la queue. Quand il eut fixé les cent queues, il s’éloigna et se mit à crier comme un brûlé : — Sauve qui peut ! le propriétai
ent pour lui ses parents ? Proverbe Dire : « tais-toi », c'est encore crier ! Et Dieu lui a dit ; ‹ Puisque tu n’es pas las d
, le peuple voulut qu’il eût un nom, le peuple se rendit au palais et cria de loin au sultan : — La paix soit sur toi, sulta
à Cheikh Smaïn ! Or, Cheikh Smaïn était à sa fenêtre. Il se penche et crie au jeune garçon : — Et quel est ce bon tour que T
ger, n’as-tu pas remarqué une caravane emmenant une jeune fille ? lui cria Cheikh Smaïn. — 11 y a deux jours est passée une
bon nègre qui l’attendaient avec impatience. — Prépare-toi à partir, cria-t -elle joyeusement au prince : la jeune fille plus
Cheikh Smaïn l'observaient de leur fenêtre. — Retourne ton plat, lui cria l’une d’elles : Ta galette ne cuira jamais I — Je
minait vers la fontaine où l’attendait son père : — Maître, lui avait crié l’épouse qui avait le pouvoir de se transformer e
Une immense clameur s’éleva : c’étaient six, parmi les Notables, qui criaient à la face du ciel : — Oui, bonnes gens, il est pe
au ruisseau qui arrosait le pied du figuier. Elle entendit Velâjoudh crier : ‹ Qui veut manger des figues?... › Tseriel étai
terre I A l’heure chaude, survint l’ogresse. Elle entendit Velâjoudh crier : ‹ Qui veut des figues ? »... Elle avança la mai
! Velâjoudh prit alors une poignée de poivre et sauta sur le toit en criant : — Tseriel a mangé sa fille 1 Tseriel s’était dé
l était allé en pèlerinage. Un beau matin il sortit, se montra et fit crier sur la place publique et hors du village : — Je s
observait. Il attendait de voir sortir ceux qu'il avait vu entrer. Il cria au Chat-pèlerin : — Je n'ai pas eu confiance en t
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
perça la main et tomba évanouie. La bonne vieille, bien embarrassée, crie au secours : on vient de tous costez ; on jette d
qui estoit dans son lit, à cause qu’elle se trouvoit un peu mal, luy cria : « Tire la chevillette, la bobinette cherra. » L
tte et un petit pot de beurre, que ma mere vous envoye. » Le Loup luy cria , en adoucissant un peu sa voix : « Tire la chevil
r fais signe tant que je puis de se haster. » La Barbe-Bleuë se mit à crier si fort que toute la maison en trembla. La pauvre
le temps qu’il se baignoit, le roy vint à passer, et le Chat se mit à crier de toute sa force : « Au secours ! au secours ! v
toit venu des voleurs qui avoient emporté ses habits, quoy qu’il eust crié au voleur de toute sa force : le drosle les avoit
un serpent, ou un crapau. » D’abord que sa mere l’aperceut, elle luy cria : « Hé bien ! ma fille ! — Hé bien ! ma mere ? lu
sentier détourné. Lors que ces enfans se virent seuls, il se mirent à crier et à pleurer de toute leur force. Le petit Poucet
crier et à pleurer de toute leur force. Le petit Poucet les laissoit crier , sçachant bien par où il reviendroit à la maison;
ut que les enfans, qui étoient à la porte l’ayant entendu se mirent à crier tous ensemble, nous voyla, nous voyla. Elle cour
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