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1 (1966) Le grain magique
Il remercia Dieu dans son cœur. L’enfant tremblait. Il lui dit : — Ne crains rien, je ne te ferai aucun mal. Mais dis-moi, pet
Et rend faciles les prouesses I Le chat qui souille le blé Et qui ose craindre Dieu ! Mieux vaut que je m'endorme sur mon souper
uve toujours trop gros Le morceau de galette aux mains de l’orphelin. Craignais -tu que je te devance ? Il geint mais il se prête
t peut-on en tirer ? CHANT satirique Laisse-moi la paix, mon fils, Je crains mon mari, mon fils. — S'il te bat, je te défendra
ens-toi que sans toi je ne saurais trouver celle que je cherche. — Ne crains rien, répondit le jeune homme aux yeux de faucon.
es oiseaux. Il s’écria : — Je comprends maintenant pourquoi le sultan craignait qui je m’approche de la forêt 1... Il avançait av
: ‹ Sans doute a-t-il eu la nostalgie de son pays?... Maintenant, je crains qu’il ne soit allé du côté de la forêt et qu’il n
avec le pou malade. Ses propos ont des cheveux. Celui qui rit, qu'il craigne de pleurer. Les mains, qu’on les fasse travailler
ieu ›. C’est la pluie qui, pour la terre, est le paradis de Dieu : Tu craignais donc de te mouiller? Et puis tu as dit : « J’ai r
geuse parce qu’elle avait laissé derrière elle la forêt et qu’elle ne craignait plus les fauves. Elle ne consentit à se reposer q
à cœur ouvert. Aicha ne s'éloignait du feu qu’à regret, comme si elle craignait que lui échappât quelque grave révélation. Car Aï
lever matin et de t’accompagner dans la forêt chercher du bois. Et ne crains pas de t’enfoncer avec elles profondément dans le
e coutume. Il flottait dans l’air une odeur de neige précoce et Moche craignait les premiers froids. Il fit un grand feu, s’en ap
dans la marmite, La louche le ramène à la surface ! Les mouches ne me craignent plus, tant j’ai dépéri ; Elles m'assaillent par m
ouché au vif, le sultan interdit que le prince en fût informé, car il craignait de le voir en perdre à nouveau le boire et le man
Ils vont me ramener au sultan I Cheikh Smaïn était déjà debout : — Ne crains rien, dit-il tendrement à la jeune fille. Avec l’
ne fontaine, dans son admirable jardin, répondit simplement : — Je ne crains ni le plomb, ni le fer, ni les liens. Tous les fu
r en nègre, maître je vois du sang parmi tes proches et cette fois je crains que rien ne puisse te sauver I Et il avait été as
ue à travers les pays, Et cheminer dans les ténèbres. Aujourd'hui, je crains d’avoir honte En présence de mes amis : La vieill
Nous pourrons entrer et sortir à notre guise car nous n’aurons plus à craindre , désormais, notre seul ennemi ! Pour faire honneu
gumes et de viande et dit : — Qui va porter cela au malheureux qui ne craint pas de sortir par ce temps ? — Moi I dit Yamina,
termes : — Parce que tu es charitable et bonne, parce que tu n’as pas craint de venir à moi par ce temps, j’ai voulu ton bonhe
qui n’est plus : Je ne me résignerai jamais. Il m'a dit : « Mère, ne crains rien, Tu peux me confier mes frères, Auprès de ch
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
tier, afin que la princesse, pendant qu’elle dormiroit, n’eust rien à craindre des curieux. Au bout de cent ans, le fils du roi
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