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1 (1966) Le grain magique
e vis sortir de terre une créature, une créature... une nappe d’or la couvrait jusqu’aux pieds. La lumière qui en émanait m’éblo
e emporte son cadavre vers la mer 1 — Dieu te bénisse, mon fils et te couvre de ses bienfaits ! Tu es aussi valeureux que ton
st-il réfugié ? C'est un rameau d’oranger, Au cœur de l'hiver, Qui se couvre au printemps de fleurs. Depuis qu'en songe je t’a
e. Elle était blanche et rose, lumineuse, et ses abondants cheveux la couvraient d’or jusqu’à la taille. Il fut ébloui et pensa :
t front étincelait durement comme un miroir et ses cheveux défaits la couvraient d’or jusqu’à la taille. L’Ogre semblait occuper t
uelques jours son ventre enfler, son teint se ternir et son visage se couvrir de taches. Si Reskia ne se doutait de rien, par c
répondit Zahoua. Nous ne pouvons plus la garder chez nous : elle nous couvrirait de honte. Elle nous salirait aux yeux des voisins
ul ne pouvait voir sans en rêver ensuite et ses lourds cheveux qui la couvraient jusqu’à la taille. Le cavalier l'aimait. Il l'épo
Demande au jeune homme Si je suis oubliée. Haut palmier-dattier Sois couvert de fruits I Dis-moi, le jeune homme S'est-il emba
aine de ses frères et leur annonça joyeusement : — Je sais un figuier couvert de figues mûres à point, de figues aussi grosses
son doigt pour que d’innombrables tables en bois précieux surgissent, couvertes de grands plats d'argent remplis de mets succulen
ainte : c’était un aigle tout déplumé qui suppliait ses enfants de le couvrir de leurs ailes car il tremblait de froid. — Nous
ec ses brus ! Et par sept fois, cet homme juste, fut roué de coups et couvert d’injures. Cheikh Smain enfin laissa tomber le ma
a prière Quand un sommeil perfide endormit ma conscience. Le démon me couvrait d'épaisses couvertures, Et je riais sous cape de
emporta à travers la pluie et les éclairs. Yamina parla, mais le vent couvrit sa voix. L’Oiseau de l’Orage déchirait la nuit de
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
avoit un grand festin pour les fées. On mit devant chacune d’elles un couvert magnifique, avec un estui d’or massif où il y avo
our, et qu’on la croyoit morte ou enchantée. Le roi lui fit donner un couvert ; mais il n’y eut pas moyen de lui donner un estu
rés quelques momens, elle commença à voir que le plancher estoit tout couvert de sang caillé, et que dans ce sang se miroient l
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