t pour les laisser passer et se referma derrière eux. Ils se mirent à
courir
, à courir de toutes leurs forces. Mais une rivièr
laisser passer et se referma derrière eux. Ils se mirent à courir, à
courir
de toutes leurs forces. Mais une rivière tumulteu
es pieds furent déchirés et ses habits mis en lambeaux. Elle se mit à
courir
, à courir comme une démente en clamant par les ch
urent déchirés et ses habits mis en lambeaux. Elle se mit à courir, à
courir
comme une démente en clamant par les chemins : —
sacoche et d’un sac et prit le chemin du marché. La Grenouille, elle,
courut
à la fontaine chercher de l’eau ; à la forêt rapp
nt : — Nous allons enfoncer les montants dans la terre. Toi, tu feras
courir
la laine entre nous. Te voici grande, tu pourras
? La mère savait bien ce qu’elle faisait. La fillette se mit à faire
courir
la laine : — Plus vite I plus vite ! lui dit sa m
s'écria : — J’ai oublié mon peigne I Elle descendit de sa monture et
courut
vers la caverne où elle surprit le serpent en tra
étaient ne fut plus que flammes. Elle s’élança au dehors et se mit à
courir
, poursuivie par tous les chiens du voisinage. Le
usqu'à ses pieds. Elle ne fut bientôt qu’une torche en plein vent qui
courait
, qui courait en clamant par les chemins : ‹ La ma
eds. Elle ne fut bientôt qu’une torche en plein vent qui courait, qui
courait
en clamant par les chemins : ‹ La mare où éteindr
eux plat ébréché qu’elle remplit de braise, ramassa des branchages et
courut
au cimetière pour brûler la tombe. Pour frustrer
village. Il enjoignit à ses sujets de la lui attraper. Aîcha se mit à
courir
, à courir comme le vent. Son frère-gazelle la sui
l enjoignit à ses sujets de la lui attraper. Aîcha se mit à courir, à
courir
comme le vent. Son frère-gazelle la suivait de pr
res, à peine adolescents, abandonnèrent un jour le toit paternel pour
courir
le monde. Ils s'aimaient d’amour très tendre. Ava
ère se réjouissait dans son cœur de ce que l’envie de le quitter pour
courir
le monde ne pût me venir jamais I II ne savait pa
re. Au bout de la huitième année, deux grenades se formèrent. La mère
courut
annoncer la nouvelle au sultan : — Notre fils a r
lait s’en aperçut aussitôt. H pensa : ‹ Mon frère est en danger. › Il
courut
vers sa mère et lui dit : — Un malheur est arrivé
le jour, les yeux attachés sur son lévrier qui semblait voler tant il
courait
. Tout à l'espoir de retrouver son frère, Ahmed s'
de raisins secs, de dattes, d’amandes et de noix. Il s’en réjouit et
courut
retrouver son frère au jardin. Il le souleva, le
aits ! Tu es aussi valeureux que ton frère ! s’écria le sultan. Et il
courut
porter l’heureuse nouvelle à sa fille. La princes
et de vent. Et les voyageurs s’éloignèrent. Le bruit de leur passage
courut
comme le vent et les précéda au village natal. Bi
r prendre sur son dos un buisson d’épines. Il faisait nuit. Le Subtil
courait
droit devant lui sans se retourner. Mais il ne ce
de répéter à son frère : — Cours, cours I Mais l'Innocent ne pouvait
courir
aussi vite : il soufflait. Il haletait. Une gross
erre ! Mais l’Innocent abandonna le buisson pour la pierre. Le Subtil
courait
, courait toujours. Il rencontra un olivier : — Ve
is l’Innocent abandonna le buisson pour la pierre. Le Subtil courait,
courait
toujours. Il rencontra un olivier : — Veille à l’
pierre pour déraciner l’olivier et le charger sur son dos. Le Subtil
courait
toujours. Il atteignit à l’aube la rivière mais n
’Innocent aperçurent de loin leur vieux père appuyé sur un bâton. Ils
coururent
vers lui et lui avouèrent n’avoir jamais semé de
goisse, Ali, son petit garçon, poussa la porte et entra. Il venait de
courir
dans les champs et de boire à la source. Il était
ruits et du café à ses hôtes. Et puis 11 les reconduisit. Et la femme
courut
rapporter un tamis qu’une voisine lui avait prêté
sa sur le chemin la galette et le plat de couscous qu’elle tenait, et
courut
au village alerter ses parents. — L’Ogre a mangé
ne entendit-elle son pas que sa femme referma la trappe sur l’Ogre et
courut
se jeter sur son lit. Le jeune époux s’approcha d
le déserter pour toujours. Il se leva dès l'aube, monta son cheval et
courut
vers son ~mi fidèle : — Voici maintenant qu’elle
s’écrier: «Seigneur, ne le tue pas, au nom de Dieu I › •Le serviteur
courut
indiquer au roi la ruse qui devait faire éclater
, mon frère est un petit homme : il pourrait être un berger ! › Et il
courra
tout autour de toi. « O joie, mon frère est un ad
frère est un petit homme, il pourrait être un berger ! Et elle le vit
courir
autour des arbres. Elle l’appela. Ils s'étendiren
sèchent tes mocassins. Quand ils seront bien secs, alors lève-toi. Tu
courras
comme jamais tncore tu n’as couru, et tu te senti
ont bien secs, alors lève-toi. Tu courras comme jamais tncore tu n’as
couru
, et tu te sentiras des ailes. Tu ne sauras commen
ue j’ai ta queue dans ma patte I lui dit calmement le lion. Le chacal
courut
comme le feu rassembler une centaine de ses frère
lles. Que celui qui veut se régaler me suive I Les chacals, alléchés,
coururent
plus vite que lui et montèrent à l’arbre. Tandis
de temps. Laissant les petites filles au comble de la surprise, elle
courut
apprendre la nouvelle au village et emprunter, de
oudra de sucre roux. Elle s’empara aussi d’une corbeille de figues et
courut
vers ses sœurs avec ces nourritures inespérées. E
flot de soleil balaya le repaire et les sept filles s’échappèrent et
coururent
comme des gazelles par tout le verger. Puis elles
portes du palais. Il tenait dans sa main le bâton des pèlerins. Aïcha
courut
vers lui : — O ma fille, lui dit-il d’une voix hu
che d’eau. Cheikh Smaïn lui tendit une poignée de pièces d’or et elle
courut
au village acheter des légumes, de la viande et d
la ville, sous peine de mort. Ni même demain. Alors, la vieille femme
courut
comme le vent vers Cheikh Smaïn et le bon nègre q
lui tout ce qu'elle espérait entendre. Puis elle se sépara de lui et
courut
comme le feu chez le sultan. — Cheikh Smaïn, ton
attirer vers lui les rats. Il demeura quelques jours invisible et fit
courir
la rumeur qu’il était allé en pèlerinage. Un beau
parti de sa mère, l'épouse rassemblait en un éclair son trousseau et
courait
chercher refuge chez ses parents, laissant l’homm
rd’hui Regorge de peines O mon frère, anneau d’argent clair. Partons,
courons
vers la rivière, Viens, nous suivrons la rivière.
lainte : ‹ Le pain de Dieu, ô hommes de bonne volonté ›, qu’un enfant
courait
porter à l’envoyé de Dieu sa part de galette, de
ir Qu'il devient transparent quand elle boit. L’on croit y voir l’eau
courir
. Ses mains sont toutes menues Comme celles d'un e