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1 (1966) Le grain magique
t pour les laisser passer et se referma derrière eux. Ils se mirent à courir , à courir de toutes leurs forces. Mais une rivièr
laisser passer et se referma derrière eux. Ils se mirent à courir, à courir de toutes leurs forces. Mais une rivière tumulteu
es pieds furent déchirés et ses habits mis en lambeaux. Elle se mit à courir , à courir comme une démente en clamant par les ch
urent déchirés et ses habits mis en lambeaux. Elle se mit à courir, à courir comme une démente en clamant par les chemins : —
sacoche et d’un sac et prit le chemin du marché. La Grenouille, elle, courut à la fontaine chercher de l’eau ; à la forêt rapp
nt : — Nous allons enfoncer les montants dans la terre. Toi, tu feras courir la laine entre nous. Te voici grande, tu pourras
? La mère savait bien ce qu’elle faisait. La fillette se mit à faire courir la laine : — Plus vite I plus vite ! lui dit sa m
s'écria : — J’ai oublié mon peigne I Elle descendit de sa monture et courut vers la caverne où elle surprit le serpent en tra
étaient ne fut plus que flammes. Elle s’élança au dehors et se mit à courir , poursuivie par tous les chiens du voisinage. Le
usqu'à ses pieds. Elle ne fut bientôt qu’une torche en plein vent qui courait , qui courait en clamant par les chemins : ‹ La ma
eds. Elle ne fut bientôt qu’une torche en plein vent qui courait, qui courait en clamant par les chemins : ‹ La mare où éteindr
eux plat ébréché qu’elle remplit de braise, ramassa des branchages et courut au cimetière pour brûler la tombe. Pour frustrer
village. Il enjoignit à ses sujets de la lui attraper. Aîcha se mit à courir , à courir comme le vent. Son frère-gazelle la sui
l enjoignit à ses sujets de la lui attraper. Aîcha se mit à courir, à courir comme le vent. Son frère-gazelle la suivait de pr
res, à peine adolescents, abandonnèrent un jour le toit paternel pour courir le monde. Ils s'aimaient d’amour très tendre. Ava
ère se réjouissait dans son cœur de ce que l’envie de le quitter pour courir le monde ne pût me venir jamais I II ne savait pa
re. Au bout de la huitième année, deux grenades se formèrent. La mère courut annoncer la nouvelle au sultan : — Notre fils a r
lait s’en aperçut aussitôt. H pensa : ‹ Mon frère est en danger. › Il courut vers sa mère et lui dit : — Un malheur est arrivé
le jour, les yeux attachés sur son lévrier qui semblait voler tant il courait . Tout à l'espoir de retrouver son frère, Ahmed s'
de raisins secs, de dattes, d’amandes et de noix. Il s’en réjouit et courut retrouver son frère au jardin. Il le souleva, le
aits ! Tu es aussi valeureux que ton frère ! s’écria le sultan. Et il courut porter l’heureuse nouvelle à sa fille. La princes
et de vent. Et les voyageurs s’éloignèrent. Le bruit de leur passage courut comme le vent et les précéda au village natal. Bi
r prendre sur son dos un buisson d’épines. Il faisait nuit. Le Subtil courait droit devant lui sans se retourner. Mais il ne ce
de répéter à son frère : — Cours, cours I Mais l'Innocent ne pouvait courir aussi vite : il soufflait. Il haletait. Une gross
erre ! Mais l’Innocent abandonna le buisson pour la pierre. Le Subtil courait , courait toujours. Il rencontra un olivier : — Ve
is l’Innocent abandonna le buisson pour la pierre. Le Subtil courait, courait toujours. Il rencontra un olivier : — Veille à l’
pierre pour déraciner l’olivier et le charger sur son dos. Le Subtil courait toujours. Il atteignit à l’aube la rivière mais n
’Innocent aperçurent de loin leur vieux père appuyé sur un bâton. Ils coururent vers lui et lui avouèrent n’avoir jamais semé de
goisse, Ali, son petit garçon, poussa la porte et entra. Il venait de courir dans les champs et de boire à la source. Il était
ruits et du café à ses hôtes. Et puis 11 les reconduisit. Et la femme courut rapporter un tamis qu’une voisine lui avait prêté
sa sur le chemin la galette et le plat de couscous qu’elle tenait, et courut au village alerter ses parents. — L’Ogre a mangé
ne entendit-elle son pas que sa femme referma la trappe sur l’Ogre et courut se jeter sur son lit. Le jeune époux s’approcha d
le déserter pour toujours. Il se leva dès l'aube, monta son cheval et courut vers son ~mi fidèle : — Voici maintenant qu’elle
s’écrier: «Seigneur, ne le tue pas, au nom de Dieu I › •Le serviteur courut indiquer au roi la ruse qui devait faire éclater
, mon frère est un petit homme : il pourrait être un berger ! › Et il courra tout autour de toi. « O joie, mon frère est un ad
frère est un petit homme, il pourrait être un berger ! Et elle le vit courir autour des arbres. Elle l’appela. Ils s'étendiren
sèchent tes mocassins. Quand ils seront bien secs, alors lève-toi. Tu courras comme jamais tncore tu n’as couru, et tu te senti
ont bien secs, alors lève-toi. Tu courras comme jamais tncore tu n’as couru , et tu te sentiras des ailes. Tu ne sauras commen
ue j’ai ta queue dans ma patte I lui dit calmement le lion. Le chacal courut comme le feu rassembler une centaine de ses frère
lles. Que celui qui veut se régaler me suive I Les chacals, alléchés, coururent plus vite que lui et montèrent à l’arbre. Tandis
de temps. Laissant les petites filles au comble de la surprise, elle courut apprendre la nouvelle au village et emprunter, de
oudra de sucre roux. Elle s’empara aussi d’une corbeille de figues et courut vers ses sœurs avec ces nourritures inespérées. E
flot de soleil balaya le repaire et les sept filles s’échappèrent et coururent comme des gazelles par tout le verger. Puis elles
portes du palais. Il tenait dans sa main le bâton des pèlerins. Aïcha courut vers lui : — O ma fille, lui dit-il d’une voix hu
che d’eau. Cheikh Smaïn lui tendit une poignée de pièces d’or et elle courut au village acheter des légumes, de la viande et d
la ville, sous peine de mort. Ni même demain. Alors, la vieille femme courut comme le vent vers Cheikh Smaïn et le bon nègre q
lui tout ce qu'elle espérait entendre. Puis elle se sépara de lui et courut comme le feu chez le sultan. — Cheikh Smaïn, ton
attirer vers lui les rats. Il demeura quelques jours invisible et fit courir la rumeur qu’il était allé en pèlerinage. Un beau
parti de sa mère, l'épouse rassemblait en un éclair son trousseau et courait chercher refuge chez ses parents, laissant l’homm
rd’hui Regorge de peines O mon frère, anneau d’argent clair. Partons, courons vers la rivière, Viens, nous suivrons la rivière.
lainte : ‹ Le pain de Dieu, ô hommes de bonne volonté ›, qu’un enfant courait porter à l’envoyé de Dieu sa part de galette, de
ir Qu'il devient transparent quand elle boit. L’on croit y voir l’eau courir . Ses mains sont toutes menues Comme celles d'un e
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
ce chemin-là ; et nous verrons qui plûtost y sera. » Le Loup se mit à courir de toute sa force par le chemin qui estoit le plu
lla par le chemin le plus long, s’amusant à cueillir des noisettes, à courir aprés des papillons, et à faire des bouquets des
— Ma mere-grand, que vous avez de grandes jambes ! — C’est pour mieux courir , mon enfant ! — Ma mere-grand, que vous avez de g
ssi tost on vit entrer deux cavaliers, qui, mettant l’épée à la main, coururent droit à la Barbe-Bleuë. Il reconnut que c’étoit l
ez voir. » Et en même temps il se changea en une souris, qui se mit à courir sur le plancher. Le Chat ne l’eut pas plus tost a
Chat, qui entendit le bruit du carosse qui passoit sur le pont levis, courut au-devant et dit au roy : « Vostre Majesté soit l
me jour, il épousa la princesse. Le Chat devint grand seigneur, et ne courut plus aprés les souris que pour se divertir.  
st sa sœur qui en est cause : elle me le payera. » Et aussi tost elle courut pour la battre. La pauvre enfant s’enfuit et alla
pre mere la chassa de chez elle ; et la malheureuse, aprés avoir bien couru sans trouver personne qui voulut la recevoir, all
’il venoit d’arriver une grande Princeſſe qu’on ne connoissoit point, courut la recevoir ; il luy donna la main à la deſcente
ntendu se mirent à crier tous ensemble, nous voyla, nous voyla. Elle courut viste leur ouvrir la porte, et leur dit en les em
doucement dans le Jardin, et sauterent par-dessus les murailles. Ils coururent presque toute la nuit, toûjours en tremblant et s
fin que j’aille les attrapper. Il se mit en campagne, et aprés avoir couru bien loin de tous costés, enfin il entra dans le
endre ses bottes de sept lieües, parce qu’il ne s’en servoit que pour courir aprés les petits enfans. Ces gens-là asseurent le
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