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1 (1966) Le grain magique
puisée à la fontaine des blanches. Elle se baigna. Son visage et son corps redevinrent aussi clairs qu’avant. Les sept frère
t à vivre à leur façon, à se nourrir de chair et de sang. Mais si son corps était celui d’un serpent, son coeur et son esprit
à l’entrée de la caverne, un arbrisseau aussi vivant et souple qu’un corps humain : il ondulait, il frémissait sous la lune
qu’elle aimait et le bonheur qui l’avait fuie. Mais voyant tomber le corps bien-aimé, elle jura, la sournoise, de retirer jo
pierres, au fond d’un ravin. Abderahman descendit recouvrir le pauvre corps de terre et attendit la fin de l’orage pour rentr
puis longtemps les pluies avaient entraîné la terre qui recouvrait le corps d’Hacène, laissant ses os à nu. Le soleil les ava
haut d’un rocher Dans le précipice. La terre éboulée A recouvert mon corps . » Le berger se rendit au village pour faire ente
faut que je les tue I › Et il acheva les Sept Ogres. Et il jeta leurs corps dans la fosse. Le lendemain, dès le lever du jour
. Il le coupa et se mit à le sculpter face à la lune, à lui donner un corps de femme et un visage. A son tour le tailleur s’é
e lui cette poupée habillée. Il se dit : ‹Le menuisier lui a donné un corps , le tailleur une robe. Je vais, moi, prier Dieu d
, le menuisier dit : ‹ Cette femme est ià moi, car je lui ai donné le corps . › Le tailleur dit : Elle est à moi, car je lui a
ments. Je crèverai ce boyau de mon sabre. Le sang se répandra sur ton corps : alors, toi, fais le mort et laisse-toi tomber.
nt la victime, il dit d’une grande voix : — Cet homme est mort et son corps me revient. Que personne n'en approche ! Impatien
mour Complainte de la femme adultère J’appelle à moi le bel aiglon Au corps modelé dans la grâce Je suis cernée par des démon
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
: l’image de la mort s’y presentoit par tout, et ce n’estoit que des corps étendus d’hommes et d’animaux qui paroissoient mo
toit tout couvert de sang caillé, et que dans ce sang se miroient les corps de plusieurs femmes mortes et attachées le long d
u’il pust gagner le perron. Ils luy passerent leur épée au travers du corps , et le laisserent mort. La pauvre femme estoit pr
ualitez de son ame et de son esprit, ne vit plus la difformité de son corps ny la laideur de son visage ; que sa bosse ne lui
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