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1 (1966) Le grain magique
in et aspira l’air. Elle jeta un regard sur le lit de Loundja et elle comprit . Elle s’écria : — Loundja ma fille m’a trahie. Lo
aveugle ne sortait plus. Mais le coupable, qui passait là par hasard, comprit que son crime était découvert. Il quitta sur le c
grâces. Le cafard s’est marié : Il a épousé la grenouille. Le subtil comprend avec un signe du sourcil. L’amour d’Imizi ce sont
rouvaient et toutes les fleurs et tous les oiseaux. Il s’écria : — Je comprends maintenant pourquoi le sultan craignait qui je m’
t, nous plantâmes un arbre. Ses feuilles s’étant mises à jaunir, j’ai compris qu’il fallait me mettre immédiatement à la recher
ime, lorsque rentra l’aînée, une fillette silencieuse et douce. Zaïna comprit mais ne dit mot, craignant sans doute le même sor
é... Mon père m’a mangé, mangé... Ma sœur a rassemblé mes os. Le père comprit . Il se leva, terrible, et marcha vers la femme. M
onner tes petits bracelets, ô Aïcha ma fille 1 L’Ogre se dit : ‹ J’ai compris . Demain je reviendrai, je répéterai les mots de l
isit l’anneau et tira : une fosse profonde apparut. Il y descendit et comprit brusquement qu’il était dans la maison des Sept O
de deux poils -rrachés à la moustache du lion I dit-il accablé. — Ne comprends -tu pas, malheureux, qu’elle veut trois fois ta mo
endrez ni n’achèterez, vous n’achèterez ni ne vendrez que vous n’ayez compris ces devinettes. La première : Quel est l’étre qui
hèterez ni ne vendrez, vous ne vendrez ni n'achèterez que vous n’ayez compris le sens de ce que je vais dire. › — Et que vous a
averser la rivière ou je te la ferai traverser. Le surveillant qui ne comprenait rien ne répondit pas. Us arrivèrent en vue de la
t’ai pris, Et je t'ai emporté dans un coffre. ■Le roi et la reine se comprirent . Ils revinrent au palais pour y vivre heureux jus
frère est un homme I › Et tu le découvriras derrière toi. Tu as bien compris ?... Va, et que Dieu soit avec toi. Reskia serra s
durant des heures. La marâtre et le père, la ;ugeant trop jeune pour comprendre , ne se gênaient pas devant elle et parlaient à cœ
Aïcha s’approcha de la pierre, la toucha, en fit le tour lentement et comprit qu’elle était mobile. Elle en trouva le secret et
il était dit qu'il entrerait à nouveau dans les tourments. Cela il le comprit le jour où il vit son père adoptif extraire d'un
s au dedans il est miné. Pose la main sur ton cœur : il te dira Et tu comprendras . LE FOIE DU CAPUCHON ‹ Au temps de ma jeune
CHON ‹ Au temps de ma jeunesse, me dit l’admirable conteuse, je ne comprenais pas pourquoi les mères aimaient leurs enfants plu
erai toujours près de moi. Yamina qui était une enfant ne pouvait pas comprendre . Elle dit : — Je m’appelle Yamina. Mais toi, comm
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