in et aspira l’air. Elle jeta un regard sur le lit de Loundja et elle
comprit
. Elle s’écria : — Loundja ma fille m’a trahie. Lo
aveugle ne sortait plus. Mais le coupable, qui passait là par hasard,
comprit
que son crime était découvert. Il quitta sur le c
grâces. Le cafard s’est marié : Il a épousé la grenouille. Le subtil
comprend
avec un signe du sourcil. L’amour d’Imizi ce sont
rouvaient et toutes les fleurs et tous les oiseaux. Il s’écria : — Je
comprends
maintenant pourquoi le sultan craignait qui je m’
t, nous plantâmes un arbre. Ses feuilles s’étant mises à jaunir, j’ai
compris
qu’il fallait me mettre immédiatement à la recher
ime, lorsque rentra l’aînée, une fillette silencieuse et douce. Zaïna
comprit
mais ne dit mot, craignant sans doute le même sor
é... Mon père m’a mangé, mangé... Ma sœur a rassemblé mes os. Le père
comprit
. Il se leva, terrible, et marcha vers la femme. M
onner tes petits bracelets, ô Aïcha ma fille 1 L’Ogre se dit : ‹ J’ai
compris
. Demain je reviendrai, je répéterai les mots de l
isit l’anneau et tira : une fosse profonde apparut. Il y descendit et
comprit
brusquement qu’il était dans la maison des Sept O
de deux poils -rrachés à la moustache du lion I dit-il accablé. — Ne
comprends
-tu pas, malheureux, qu’elle veut trois fois ta mo
endrez ni n’achèterez, vous n’achèterez ni ne vendrez que vous n’ayez
compris
ces devinettes. La première : Quel est l’étre qui
hèterez ni ne vendrez, vous ne vendrez ni n'achèterez que vous n’ayez
compris
le sens de ce que je vais dire. › — Et que vous a
averser la rivière ou je te la ferai traverser. Le surveillant qui ne
comprenait
rien ne répondit pas. Us arrivèrent en vue de la
t’ai pris, Et je t'ai emporté dans un coffre. ■Le roi et la reine se
comprirent
. Ils revinrent au palais pour y vivre heureux jus
frère est un homme I › Et tu le découvriras derrière toi. Tu as bien
compris
?... Va, et que Dieu soit avec toi. Reskia serra s
durant des heures. La marâtre et le père, la ;ugeant trop jeune pour
comprendre
, ne se gênaient pas devant elle et parlaient à cœ
Aïcha s’approcha de la pierre, la toucha, en fit le tour lentement et
comprit
qu’elle était mobile. Elle en trouva le secret et
il était dit qu'il entrerait à nouveau dans les tourments. Cela il le
comprit
le jour où il vit son père adoptif extraire d'un
s au dedans il est miné. Pose la main sur ton cœur : il te dira Et tu
comprendras
. LE FOIE DU CAPUCHON ‹ Au temps de ma jeune
CHON ‹ Au temps de ma jeunesse, me dit l’admirable conteuse, je ne
comprenais
pas pourquoi les mères aimaient leurs enfants plu
erai toujours près de moi. Yamina qui était une enfant ne pouvait pas
comprendre
. Elle dit : — Je m’appelle Yamina. Mais toi, comm