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1 (1966) Le grain magique
nt vers leur sœur pour lui demander : — Qu’est-ce qui soulagerait ton cœur ? Elle répondit : — Je voudrais sa Tête pour chen
sa racine. Guéris ou emporte ! Chant satirique Que te sert d'épier 0 coeur jaloux ? De soucis, de veilles Tu t’es épuisé. Le
gues mûres Nous les avons mangées. Il te reste les feuilles jaunies O coeur jaloux I Proverbes Si tu rencontres deux être qui
uisseau, je l’ai conté à des Seigneurs. Proverbes Lorsque manquent le cœur et le foie, Mange le mou qui voudra. La pleine lu
ntait le poignard de la jalousie la transpercer. Elle se dit dans son cœur : — Lorsque cette enfant sera devenue adolescente
ent ; tant de grâce et de faiblesse l'émut. Il remercia Dieu dans son cœur . L’enfant tremblait. Il lui dit : — Ne crains rie
de chair et de sang. Mais si son corps était celui d’un serpent, son coeur et son esprit étaient restés ceux d’un homme. Il
à la vue de son visage de rose et de ses petits membres fatigués, le cœur du serpent se fondit de tendresse. L’enfant s’éta
— Je reviendrai avec Soumicha pour compagne ou je mourrai. Alors, le cœur navré, ils le laissèrent s'éloigner et le suivire
r ainsi soustrait aux tentations, et mon père se réjouissait dans son cœur de ce que l’envie de le quitter pour courir le mo
entends encore sa voix sifflante). M’ayant planté cette épine dans le cœur , elle disparut et je revins au palais malade d’am
tristesse, et il est des surprises trop fortes qui peuvent briser un coeur de mère usé par le chagrin et l’attente... › Car
e. Ses pêches mûrissent à l’automne. Le pêcher du champ à l’ombre, Le coeur refuse de l'oublier. Le pêcher au bord du fleuve,
t en murmurant les tendres berceuses qui prenaient naissance dans son cœur . Dehors, le vent soufflait, entassant contre port
par lui. Or, voici qu’à l’insu de la mère, la jalousie germa dans le cœur de l’aîné et grandit comme une méchante plante ép
rre. La violence et la folie du ciel avaient-elles fini par gagner le cœur sombre de l’aîné?... Car c’est ce jour-là que Abd
bois, de repasser par les mêmes chemins. Il se dit un soir, dans son cœur : ‹ Pourquoi le sultan m’a-t-il interdit l’approc
eriel, l’ogresse, l’épiait mais il ne la voyait pas. Lorsqu’il fut au coeur du jardin, elle se montra et lui dit : — Bienvenu
nt. Ils étaient devenus tous trois d’une faiblesse d’oiseau mais leur cœur battait. Ils gardaient encore un souffle de vie.
age tout entier : Où s'est-il réfugié ? C'est un rameau d’oranger, Au cœur de l'hiver, Qui se couvre au printemps de fleurs.
Elle ne peut te rendre heureux car elle ne porte pas le bien dans son cœur . Comment oses-tu lui sacrifier tes parents, tes v
Ne t’ai-je pas dit que du bien ne pouvait te venir de cette femme au cœur noir? Comment peux-tu être encore ébloui par son
poulets. Autour d’eux, plusieurs lampes brûlaient. La jeune femme au cœur noir s’était parée pour cette fête : Elle avait r
ir près de lui ; Que le mal ne l'atteigne Et que le bien règne en son cœur . 126 Viens, viens sommeil T'endormir près de lui
eil T'endormir près de lui ; Frère du repos C’est toi qu’a épousé son cœur . Sommeil viens doucement T’étendre près de lui. P
a tête de la maison. A ma mère, tu as donné la poitrine : elle est le cœur de la maison. A nous, les filles, tu as donné les
e put le supporter. Un jour de printemps, la haine accumulée dans son cœur ne put plus être contenue. C’était un matin. La j
mour n’oubliait pas son frère car, près de lui, elle avait laissé son cœur . Reskia fut enceinte. Elle mit au monde un garçon
moi, le jeune homme S'est-il embarqué? Mûrier chargé de mûres Que mon cœur l'oublie I Demande au bien-aimé S’il revient au p
st en vain, Comme qui flatterait un chat. Chant d’amour Voici que mon cœur brûle, D'un feu inextinguible, Et les eaux sont l
ont les boyaux qui font éclater les marmites. Chant de méditation Mon cœur est ulcéré Par de venimeuses paroles Trop innombr
Les grosses gouttes Qui font mûrir les figues I Proverbe Et toi, mon cœur , comment oses-tu chanter Qui te trouves sur un ta
chanter Qui te trouves sur un tas de fumier ? Chant de méditation Le cœur qui rêve de figues fraîches, Que lui importent le
jeune pour comprendre, ne se gênaient pas devant elle et parlaient à cœur ouvert. Aicha ne s'éloignait du feu qu’à regret,
it le long du chemin. Le père et ses filles atteignirent vers midi le cœur de la forêt. Ils s’arrêtèrent pour déjeuner près
eurît en elle l’idée maléfique qu’elle poursuivait, car la marâtre au cœur noir n’avait pas désarmé. Un matin, elle se leva
reconnaissaient plus leur marâtre et s’accusaient naïvement dans leur cœur de l’avoir si mal jugée. Seule Aïcha était clairv
secret et de parer à ce nouveau danger, Aïcha tenait à deux mains son cœur , n’osant regarder vers le pauvre homme qui les me
rroux de la marâtre. En le voyant sans la mule, les mains vides et le cœur plein de tristesse, elle éclaterait et l’éclabous
irent le tour de tous leurs biens et rendirent grâce à Dieu dans leur cœur : que de tapis, de couvertures et d’étoffes sompt
x clous de cuivre. Le silence, l’aspect désert des rues leur serra le cœur . Quelle était cette cité morte qui s’étendait sou
e il l’entend et fixe leur destin. Mais notre prince maudit n’avait à coeur que le malheur du pays : il sema le mal à longueu
he avec justice et amour. Mais elle ne pouvait, le soir, empêcher son cœur de s’emplir de mélancolie. L’hiver, elle aimait t
a attendait contre toute sc gesse, pour se marier à son tour? Car son cœur lui disait qu'il cheminait vers elle. Un soir d'é
et lui dit : — Donne les épluchures de cette pomme à ta jument et le coeur à ta femme. La sultane sera enceinte et mettra au
amp, afin que je sois la première à le saluer et à le presser sur mon cœur ! La jeune femme la prit par la main et la condui
ssi ne manquait-il pas chaque matin d’en rendre grâce à Dieu dans son cœur , la face tournée vers l’Orient. Mais voilà qu’un
turait au contraire. Aussi, dès cet instant, résolut-il en son vilain cœur de supprimer Cheikh Smaïn son fils, et de lui rav
pleine forêt pour que les fauves le dévorent. Dès qu’il fut arrivé au cœur de la forêt, Cheikh Smain dit au serviteur qui l’
Cheikh Smaïn remercia le vieil aigle et rendit grâce à Dieu dans son cœur . Et puis il s'enveloppa étroitement de son burnou
ndja et sa compagne au visage de lait. Et un grand espoir emplit leur coeur . Cheikh Smaïn, maintenant se trouvait devant le n
ue rose, réussirent à peine à endormir le mal secret qui rongeait son cœur . Mon conte est comme un ruisseau, je l’ai conté à
auterelle. Chant d’amour L’oiseau pleure L’été est fini pour lui. Mon cœur pleure L’hiver tombe sur lui. Je plains la gerbe
te les Aith Aissi ! Chant de méditation Cesse de te tourmenter, ô mon cœur , Et reconnais qu’à ma mère Nulle femme n'est préf
aient un énorme tas. Velâjoudh prit un tison enflammé et le glissa au cœur du tas de branchages pour y mettre le feu et s’en
I Proverbe Les durillons de mes mains Sont préférables à ceux de mon cœur . Chant d'amour J’ai écrit un message en français,
enfant. (U n’est pas d’autre Dieu qu’Allah.) Quand il s’est retiré au cœur de la forêt, Ses fidèles se sont dit : ‹ Les fauv
arence il est guéri, Mais au dedans il est miné. Pose la main sur ton cœur : il te dira Et tu comprendras. LE FOIE DU CAP
Gida Nana, dont les yeux clairs lisaient en toutes choses et dans les cœurs , me dit : « Ma fille, ignores-tu (mais tu es si j
approche ou s'éloigne De mon frère à la haute stature. Proverbes Mon cœur était paisible : Je lui ai cherché une raison de
es Le ventre prime le dos : Tous les membres travaillent pour lui. Le cœur est allé se délasser : Il a trouvé ses amis malad
ce temps, j’ai voulu ton bonheur et je t’ai emmenée. Tu vas vivre au cœur même du paradis terrestre. Il te suffira de tourn
ère ouvrait sur le plus inoubliable des jardins. Yamina était bien au cœur du paradis terrestre. Elle n’avait pas trop de se
euse ? Parle, y a-t-il une chose que tu désires dans le secret de ton cœur ? Et l’enfant, à demi endormie, répondait en se t
scure. Alors, il s’éleva dans le ciel, tenant Yamina endormie sur son cœur . On eût dit qu'il fendait de ses grandes ailes de
a sole qui l’enveloppait mais un vent méchant qui la glaçait jusqu’au cœur . Yamina était dans une forêt, offerte à l’orage e
« Elle n’en a eu qu’un seul Et il était mort-né ! » Chant d'amour Mon cœur pleure, des maux multiples l’accablent. Des cisea
blent. Des ciseaux le cisaillent : Fièvre, douleurs, mal au côté. Mon cœur pleure, il est égaré A cause de la tille svelte c
les deux je parcourrais Pour voir les bien-aimés Qui m’ont laissée le cœur blessé. Qui voudrait m'accompagner Au pays où se
Cheminant avec les étoiles, A la rencontre des bien-aimés Par qui mon cœur est endeuillé. O mon Dieu aie pitié de moi Toi qu
e-toi. Appuie la tête sur ses genoux, Prends toutes les peines de son cœur Pour les jeter du haut des deux Au fond des mers.
ême distinguer une épine. La mort de mes fils bien-aimés A laissé mon cœur meurtri. Me voici debout comme une ombre Ma taill
u seulement les revoir, Soleil, épouse ma tristesse, éloigne-toi. Mon cœur gémit, mon cœur pleure Les yeux de l’aigle qui n’
revoir, Soleil, épouse ma tristesse, éloigne-toi. Mon cœur gémit, mon cœur pleure Les yeux de l’aigle qui n’est plus : Je ne
t : Si j'ai un ami qu'il pleure ! Proverbe Les dents ont beau rire Le cœur sait la blessure qu’il porte. Appel a la joib Aub
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
ant d’ardeur Aspire à la foy conjugale Que je n’ay pas la force ny le cœur De luy prescher cette morale.         LE PETIT CH
r, belle et affligée comme elle estoit ; mais la Barbe-Bleuë avoit le cœur plus dur qu’un rocher. « Il faut mourir, Madame,
UTRE MORALITÉ Si le fils d’un meûnier avec tant de vitesse Gagne le cœur d’une princesse Et s’en fait regarder avec des ye
les, ce don vaut mieux que d’eſtre bien coëffées,   Pour engager un cœur , pour en venir à bout, La bonne grace eſt le vra
r. — Si la chose est ainsi, dit la princesse, je souhaite de tout mon cœur que vous deveniez le prince du monde le plus beau
’art ne sçauroit arriver, Tous ces dons pourront moins pour rendre un cœur sensible Qu’un seul agrément invisible Que l’amou
et que le Bucheron estoit auprés du feu avec sa femme, il luy dit, le cœur serré de douleur : Tu vois bien que nous ne pouvo
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