cette parole que les vieilles femmes de chez nous ont lancée vers le
ciel
, à ton intention, comme une graine de bonheur : ‹
des frères lui arracha son foulard. Et une chevelure dressée vers le
ciel
, épineuse, apparut. Les sept garçons cernèrent la
n ramiers et la jeune fille en colombe. Et tous s’envolèrent en plein
ciel
. Mon conte est comme un ruisseau, je l’ai conté à
sse, marchait pesamment : Tseriel touchait à la.fois à la terre et au
ciel
. Sa tête était un vrai buisson d’épines. Elle ent
: — Ton fils, un aigle l’a pris sous son aile et l’a enlevé en plein
ciel
! * Le père attendit quelques jours dans l’espoir
hes, se parait de tous ses bijoux et sortait. Pour mieux découvrir le
ciel
, elle gagnait une hauteur. Et là, elle levait son
une fille à la chevelure d’or, une fille plus belle que lune en plein
ciel
. On l’appela Jedjigha : Fleur. Chaque jour augmen
; devenue adolescente, elle connut l’ennui. Elle eut la nostalgie du
ciel
, du soleil. Elle voulut découvrir le monde. Le se
la tête touchait le toit de chaume. Les cheveux se dressaient vers le
ciel
comme un buisson d’épines. C’était Tseriel. Elle
dattier géant leur apparut : un dattier qui touchait à la terre et au
ciel
. La gazelle s’étendit au pied de l’arbre tandis q
etirée, la plus secrète, celle qui ouvrait non sur la rue mais sur le
ciel
, et il chargea ses serviteurs les plus fidèles de
les monts. Il tua des serpents dans les champs, des oiseaux en plein
ciel
et des fauves dans les forêts. A tous les passant
tons. Le soleil venait juste de se retirer derrière les montagnes. Le
ciel
, le sable et l'eau en étaient tout roses. Le prin
s comblé des hommes. Il avait une fille aussi belle que lune en plein
ciel
, aussi douce que l'herbe et le souffle des fleurs
blait dormir. Il lui dit : — O Soumicha, plus belle que lune en plein
ciel
, puisses-tu te dresser devant nous comme un pommi
Des oiseaux des îles firent leur apparition à toutes les fenêtres. Le
ciel
chantait à pleine voix : « Soumicha, notre prince
onfins du royaume et les youyous comme des fusées éclatèrent en plein
ciel
. Durant ces jours et ces nuits, les mains du sult
i l’avait sauvée lui dit : — Jeune fille plus belle que lune en plein
ciel
, je ne puis être ton époux car je suis le Génie d
Mehend et Soumicha s’aimèrent comme le pigeon et la colombe. Quand le
ciel
leur donna un héritier, leur bonheur ne connut pl
a plus secrète (celle dont toutes les fenêtres ouvraient sur le plein
ciel
). Nul ne devait m'approcher hormis ma mère et nos
’apporta un gigot d’agneau non désossé ! Le soleil était haut dans le
ciel
. L'ennui, une nostalgie indéfinissable m’alanguis
révenue de son retour. (Mais pouvait-il deviner que par une faveur du
ciel
, sa mère l’avait suivi d’étape en étape, en dépit
une belle confiance ; «Ils seront là demain.» Et elle interrogeait le
ciel
et la route, tandis que Soumicha se laissait empo
là, s’était vêtue de pourpre. La voix de la poudre emplissait tout le
ciel
. Et la terre tremblait du galop des chevaux. Près
urde de petit lait. Et ils passaient dans les montagnes, tout près du
ciel
, leurs journées. L’aîné, Abderahman, avait poussé
vent, en dépit des éclairs et du tonnerre. La violence et la folie du
ciel
avaient-elles fini par gagner le cœur sombre de l
le soir, des champs à la maison, non I Je suis las des prairies et du
ciel
d’ici. Je veux découvrir le monde. — Oh I mon frè
ude où les bergers se reposent sous les arbres, un aigle descendit du
ciel
. Comme il allait fondre sur un agneau, il reçut u
e son voyage, il avait semé le bien, tué un chacal, un aigle en plein
ciel
, un tigre, un lion, une panthère. Lorsque Dieu no
lus lentement. Us atteignaient l’endroit où Mehend avait tué en plein
ciel
un oiseau de proie, lorsqu’ils virent, le long d’
rions, Avec les oiseaux nous nous envolerions Et nous atteindrions le
ciel
. — Quant à moi, je pars avec tôt Jeune homme à la
èrent Mehend et vécurent les yeux fixés sur lui. Dieu régnait dans le
ciel
et l'enfant sur la terre : Mehend se plaignait-il
u trouveras, et égorge-la dans la montagne. Les aigles descendront du
ciel
pour s'en repaître et le plus âgé te viendra en a
vers le Septième Mont, de tous le plus majestueux et le plus près du
ciel
. Il attendit que le jeune homme eût rempli son ou
ns doucement T’étendre près de lui. Proberbb N’ayez confiance dans le
ciel
de mars qui rit Ni en la femme si même elle prie.
avisèrent un palmier dattier si haut qu’il touchait à la terre et au
ciel
. Elles grimpèrent le long de son tronc et se cach
s-tu, ô notre roi, un malheur t’est-il arrivé? demandèrent du haut du
ciel
les perdrix. Et le lion leur conta sa triste aven
ns notre grotte comme chez Moche ; nous pourrions entrevoir un peu de
ciel
et nous serions plus heureuses. Voici bientôt l’é
vers les arbres glorieux qui riaient de toutes leurs feuilles dans le
ciel
clair, et de tous leurs fruits. Aîcha se trouvait
est tombé dans la marmite et il a disparu I Des éclairs déchirent le
ciel
. Les nuages crèvent en pluie diluvienne. — Qu’as-
de enfin la mer. — Ce que j’ai ? Hou ! hou I Que n’est-il arrivé ! Le
ciel
bouleversé, le soleil en'fui, le rocher éboulé, l
qui a levé la main, C’est comme s’il avait frappé. Il ne touche ni au
ciel
ni ù la terre. La nuit de mauvais rêves, Le jour
— 11 y a deux jours est passée une femme plus belle que lune en plein
ciel
. Elle m’a lancé cette bague avec ces mots : ‹ Don
leur sabre les cavaliers du sultan. Sans doute les anges guerriers du
ciel
furent-ils de leur côté, car de cette belle armée
d’un instant, la lune ronde lui apparaîtra parmi les étoiles, dans le
ciel
, et demain la lumière du jour l’éblouira au révei
Quand il les rouvrit, l’instant d’après, la lune le regardait dans le
ciel
fleuri d’étoiles. Cheikh Smaïn remercia le vieil
’éleva : c’étaient six, parmi les Notables, qui criaient à la face du
ciel
: — Oui, bonnes gens, il est permis, il est digne
ouper la tête aux six Notables qui avaient osé proclamer à la face du
ciel
: ‹ Dieu permet l’union du père avec ses brus. ›
mais géante; sa chevelure, comme une broussaille, se dressait vers le
ciel
. Tseriel dit : — C’est justement toi que je cherc
jusqu'à la plus haute branche et, regardant non pas ses pieds mais le
ciel
, il se mit à clamer : — Qui veut manger des figue
ctions et d'injures s'abattait sur lui : sa mère, prenant à témoin le
ciel
, l’accablait, le raillait d’une voix inexorable c
conscience de son bonheur. Elle errait aussi belle que lune en plein
ciel
, À travers tant de merveilles, sans plus s'étonne
. Il attendit que la nuit fût très obscure. Alors, il s’éleva dans le
ciel
, tenant Yamina endormie sur son cœur. On eût dit
eut embrassé ses parents. Le mendiant s’est envolé avec moi en plein
ciel
et m’a déposée dans un paradis où ne m’a manqué q
, Sur la roche le plus haut dressée. Il passe ses nuits à observer le
ciel
Espérant découvrir, parmi les étoiles, Le visage
r recherche Et nous mêlant aux oiseaux, Nous nous élèverions en plein
ciel
Vers mes enfants bien-aimés. Qu’on aimerait suivr
is trop longtemps Nous étions sur le versant d’ombre. Mais la lune au
ciel
vient d'éclore Déjà sa clarté nous inonde. Chant