ment, la sacoche de légumes et la corbeille de fruits à ses pieds. Le
Chevrier
vint à passer : — Qu'as-tu, mon oncle le Crapaud?
épondit-elle, irritée. Des débris tombent sur mon dîner. — Je suis le
Chevrier
. Viens, Dieu veuille t’inspirer. Retourne auprès
d’éclairs et de vent. Il voyageait depuis peu lorsqu'il rencontra des
chevriers
. Ils étaient fort ennuyés et agités. Ils lui dire
vous, déclara le jeune homme. — Si tu nous en délivres, reprirent les
chevriers
, nous te donnerons une chèvre. Il tua le chacal v
acal vers le milieu de la nuit, choisit au matin sa chèvre et dit aux
chevriers
: — Gardez-la moi jusqu’à ce que je revienne. Et
bine et, à son tour, s’éloigna. A peine sortait-il du village que des
chevriers
l’appelèrent : — Ta chèvre s’est multipliée, vien
recroquevillée sur elle-même. Le tas de fumier s’effondre ! Passe le
Chevrier
, précédé de son troupeau, n voit la Puce : — Qu’a
scendu aux enfers. Il est tombé dans la marmite et il a disparu ! •Le
Chevrier
jette au loin sa houlette. Ses chèvres se dispers
s-tu, Dame Puce? — Ce que j’ai ? Hou I hou I Que n’est-il arrivé ! Le
Chevrier
sans houlette, le tas de fumier effondré. Le seig
ou ! Ce que j'ai ? Que n’est-il arrivé I Le Porteur aux deux bâts, le
chevrier
sans houlette, le tas de fumier effondré. Le seig
! Ce que j’ai ? La voisine aux galettes, le Porteur aux deux bâts, le
Chevrier
sans houlette, le tas de fumier effondré. Le seig
aison écroulée, la voisine aux galettes, le Porteur aux deux bâts, le
Chevrier
sans houlette, le tas de fumier effondré. Le seig
aison écroulée, la voisine aux galettes, le Porteur aux deux bâts, le
Chevrier
sans houlette, le tas de fumier effondré ! Le sei
aison écroulée, la voisine aux galettes, le Porteur aux deux bâts, le
Chevrier
sans houlette, le tas de fumier effondré ! Le sei
aison écroulée, la voisine aux galettes, le Porteur aux deux bâts, le
Chevrier
sans houlette, le tas de fumier effondré t Le sei
aison écroulée, la voisine aux galettes, le Porteur aux deux bâts, le
Chevrier
sans houlette, le tas de fumier effondré 1 Le sei
aison écroulée, la voisine aux galettes, le Porteur aux deux bâts, le
Chevrier
sans houlette, le tas de fumier effondré I Le sei
aison écroulée, la voisine aux galettes, le Porteur aux deux bâts, le
Chevrier
sans houlette, le tas de fumier effondré ! Le sei
bis dépouillée, la voisine aux galettes, le Porteur aux deux bâts, le
Chevrier
sans houlette. Et elle engloutit le tas de fumier