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1 (1966) Le grain magique
Une chose n’a pu se transformer chez la vraie négresse : ce sont ses cheveux . Sa peau aura beau être devenue blanche comme lai
t ses cheveux. Sa peau aura beau être devenue blanche comme lait, ses cheveux seront restés crépus. La jeune fille dont les che
comme lait, ses cheveux seront restés crépus. La jeune fille dont les cheveux sont lisses, c'est elle votre sœur. Mais la négre
urd’hui c’est fête. Nous désirons que, devant nous, vous teigniez vos cheveux au henné. › Les sept frères apportèrent le henné.
x deux jeunes filles d'enlever leur foulard. La servante obéit et ses cheveux se répandirent en écheveaux de soie jusqu’à la ta
r ma tête? J’aurais honte I Lorsque vous serez sortis, j'enduirai mes cheveux de henné. Le'plus jeune des frères lui arracha so
les nuits de pleine lune, se fardait, peignait et parfumait ses longs cheveux , revêtait ses habits les plus riches, se parait d
l’entrée de la caverne. La nappe d’or qui l’habillait, c’étaient ses cheveux . Et c’est tout ce que virent d'elle le prince et
ande joie de toute la famille royale, elle mit au monde un enfant aux cheveux d’or, un enfant à sa ressemblance. Elle garda le
e la caverne, le prince et la princesse virent six petits garçons aux cheveux d'or qui jouaient et se poursuivaient de façon ch
charmante. Un vieillard élevait dans ses bras le septième enfant aux cheveux d’or. La princesse cherchait des yeux le serpent.
enfants... Je te les rends. Et il poussa vers lui les six enfants aux cheveux d’or. Mon conte est comme un ruisseau, je l’ai co
ient le sol de terre battue ; la tête touchait le toit de chaume. Les cheveux se dressaient vers le ciel comme un buisson d’épi
la partie incandescente du brandon qu’elle appliqua sur sa tête. Ses cheveux prirent feu en un éclair et le buisson épineux qu
pit a ses pieds et lui dit : — Regarde ce qu’il peut y avoir dans mes cheveux , j’ai une démangeaison à la tête. Comme Aïcha se
n enfant si beau qu’il répandait autour de lui de la lumière, car ses cheveux étaient d’or et d’argent. Le sultan s’écria : — C
sèrent ainsi. Mehend était un beau jeune homme aux yeux limpides, aux cheveux couleur de maïs. Son compagnon était brun et de t
s chevaux. Près de l’arbre magique, elle peignait gravement ses longs cheveux de soie. L’espoir l’avait gardée aussi jeune que
ussi verts et luisants que l’herbe des prés. Mais c’était surtout ses cheveux que l’aîné abhorrait, les cheveux doux et brillan
des prés. Mais c’était surtout ses cheveux que l’aîné abhorrait, les cheveux doux et brillants que la mère se plaisait encore
toutes les filles du royaume. Blanche et rose, gracieuse et sage, ses cheveux sont soyeux et cuivrés comme ceux du maïs. Combie
i ce qu’il demandera. J› Il en triompha et je lui donnai ma fille aux cheveux de soie, mon unique fille aussi chère à mes yeux
Proverbes La puce s’est mariée avec le pou malade. Ses propos ont des cheveux . Celui qui rit, qu'il craigne de pleurer. Les mai
lui amener. Qu’allait-elle leur présenter? Comme elle s’arrachait les cheveux d’angoisse, Ali, son petit garçon, poussa la port
’avait créée. Elle était blanche et rose, lumineuse, et ses abondants cheveux la couvraient d’or jusqu’à la taille. Il fut éblo
ses noces. Son petit front étincelait durement comme un miroir et ses cheveux défaits la couvraient d’or jusqu’à la taille. L’O
sait : — Il est mon fils ! Elles en vinrent à crier. A se prendre aux cheveux . Le roi était perplexe. La reine, intriguée, se r
ux de ses genoux. Elle, tout naturellement, se mit à lui caresser les cheveux . Il demeura là, immobile, jusqu’à ce qu’il eût se
e la grenade se remit à rire. Elle retrouva ses yeux brillants et ses cheveux soyeux, ses yeux que nul ne pouvait voir sans en
ses yeux que nul ne pouvait voir sans en rêver ensuite et ses lourds cheveux qui la couvraient jusqu’à la taille. Le cavalier
assaient lorsque Reskia bondit vers son frère. Elle le saisit par les cheveux , le dégagea, tandis qu’elle laissait sa belle- sœ
cha aimait à se tenir près du feu, si près que la cendre poudrait ses cheveux et que ses sœurs la surnommaient : Aïcha- Cendrin
t elle entendait parer les orphelines. Elle leur teignit au henné les cheveux , les mains et les pieds. Elle entreprit de moudre
oignées, comme lorsqu'elle était enfant et que la cendre poudrait ses cheveux . Qu’était devenu son père?... Etait-il mort? Avai
ada ma fille O toi ma très chère Que de fois ai-je teint au henné Tes cheveux , tes mains et tes pieds. Ahdada, Ahdada ma fille
rait chez elle plus furieuse que de coutume, elle teignit en hâte ses cheveux et ses mains au henné. Elle revêtit ses plus beau
e nous est plus cher au monde que notre sœur au visage de lait et aux cheveux couleur de maïs. — Demain, promit Cheikh Smaïn, n
pays riant s’ouvrit un matin devant eux, celui de la jeune fille aux cheveux couleur de maïs et au visage de lait que le princ
osait à partir, le lendemain, sa jeune femme au visage de lait et aux cheveux couleur de mais l’arrêta : — Maître, lui dit-elle
mbrables oiseaux, la fraîcheur de son épouse au visage de lait et aux cheveux couleur de maïs, la fidélité et l'amour de son pe
l mirait d» près son visage, Arrachant un à un les fils blancs De ses cheveux et de sa barbe. Aussi je fais vœu de ne jamais te
mon enfant qui vient vers vous Etendez sur elle votre protection, Ses cheveux sont comme l’aile du corbeau Ses prunelles et ses
'est assombri, Je suis la feuille jaunie qui se détache et tombe. Mes cheveux sont semblables à une toison blanche, Mon sourire
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
a Barbe-Bleuë ; il faut mourir. » Puis, la prenant d’une main par les cheveux , et de l’autre levant le coutelas en l’air, il al
rmé. J’oubliois de dire qu’il vint au monde avec une petite houppe de cheveux sur la teste, ce qui fit qu’on le nomma Riquet à
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