ssent pas, ils ne fuiront pas devant moi. Alors, la mère lui donna un
cheval
, des provisions et une négresse pour l’accompagne
fille promit de faire son profit de tous ces bons conseils et monta à
cheval
. Elle se mit donc en route, suivie de la négresse
ne des noires, y but et s’y plongea. Puis, comme elle allait monter à
cheval
, elle perdit le Grain Magique. A mesure qu’elle s
tourna vers sa compagne et lui dit avec arrogance : — Descends de ton
cheval
I Mais la jeune fille refusa. Dès qu’elle eut att
un moment après, impatiente, excédée, elle dit encore : — Descends de
cheval
, te dis-je ! La jeune fille appela vainement sa m
e la dépouilla de ses vêtements pour s’en habiller. Puis elle monta à
cheval
et prit une pose digne. La pauvre jeune fille dut
expliquées et je suis partie à votre recherche. Ma mère m’a donné un
cheval
, un Grain Magique et une négresse. En chemin j’ai
rt I Proverbe A celui qui est monté sur un âne Dis : ‹ Bravo pour ton
cheval
! » LA VACHE DES ORPHELINS Que mon conte so
hambre, ordonna qu’on lui préparât des provisions et qu’on sellât son
cheval
. Puis il prit congé de ses parents. Le roi et la
outeau lorsque Mehend, fils de roi, s’interposa et dit : — Prends mon
cheval
et donne-moi ce poisson. Le pêcheur crut à une pl
rut à une plaisanterie. Il se mit à rire : — Qui donc échangerait son
cheval
contre un poisson aussi gros fût-il? Mais le prin
re un poisson aussi gros fût-il? Mais le prince répéta : — Prends mon
cheval
et donne-moi ce poisson. Alors le pêcheur libéra
poisson. Alors le pêcheur libéra le poisson et s'éloigna, emmenant le
cheval
par la bride. Mehend s’étendit sur le sable, près
de ses parents ; il avait épuisé toutes ses provisions et troqué son
cheval
contre ce poisson. Et il ne possédait plus que ce
evait sur moi quand survint ce jeune homme que tu vois. Il offrit son
cheval
au pêcheur et m’obtint en échange. Puis il s’endo
couteau, quand j’offris en échange le seul bien qui me restait : mon
cheval
. Et je demeurai seul sur le rivage, avec mon pois
endide et d’innombrables présents. Et Mehend, bercé par le pas de son
cheval
noir, savourait en chemin la joie qu’il apportait
ne de la poudre tandis que Mehend, embrasé d'impatience, pressait son
cheval
noir, criant à son interminable escorte de se hât
la poudre emplissait tout le ciel. Et la terre tremblait du galop des
chevaux
. Près de l’arbre magique, elle peignait gravement
Dieu, n'aurez-vous pas pitié ? La Grande Mosquée est dévastée. LES
CHEVAUX
D’ÉCLAIRS ET DE VENT Que mon conte soit beau e
mère, sur notre maison et sur nos biens. Et je partirai seul sur mon
cheval
d'éclairs et de vent. Je prendrai ma carabine, mo
moi. Il prit son sabre, sa carabine, son lévrier et il partit sur son
cheval
d’éclairs et de vent. Il voyageait depuis peu lor
s il leur dit : — Gardez-la moi, je reviendrai. Et il remonta sur son
cheval
d’éclairs et de vent. Il parcourait de grands esp
raient : — Gardez-la moi jusqu’à mon retour : Et il s’éloigna sur son
cheval
d’éclairs et de vent. Mais des chameliers l’arrêt
ameliers : — Gardez-la moi, je reviendrai. Et puis il se confia à son
cheval
d’éclairs et de vent et se laissa emporter. Il vo
t plus lumineux. Il l’éleva dans les airs, l’assit devant lui sur son
cheval
d’éclairs et de vent, et la ramena au palais. Les
andation. Il partait dès l’aurore, accompagné de son lévrier, sur son
cheval
d’éclairs et de vent. Il chassait tout le jour et
e je la voie ? › Il se leva dès l’aube, emmena son lévrier, monta son
cheval
d’éclairs et de vent et s’éloigna dans la directi
qui je m’approche de la forêt 1... Il avançait avec lenteur, sur son
cheval
d’éclairs et de vent, s’émerveillant de tant de r
et que je t’attends ! Elle le saisit et l’avala. Elle avala aussi le
cheval
d’éclairs et de vent et le lévrier. Alors, les fe
isions de route et que tes bénédictions m’accompagnent I Il monta son
cheval
d’éclairs et de vent, appela son lévrier, prit so
répondit : — Laissez-moi, je reviendrai. Et il alla, il alla sur son
cheval
d'éclairs et de vent. Mais des bouviers l'aperçur
cria : — Je reviendrai ! Il leur fit signe de s’écarter et passa. Son
cheval
l’emportait si vite qu’Ahmed distinguait à peine
rait. Tout à l'espoir de retrouver son frère, Ahmed s'abandonna à son
cheval
d’éclairs et de vent, franchit les fleuves, parco
son frère avait délivré du dragon. Le lévrier ralentit son allure. Le
cheval
l’imita et le jeune homme vit s’avancer vers lui
uceur le ventre de l’ogresse et à l’en retirer. Ahmed remonta sur son
cheval
d’éclairs et de vent, appela son lévrier et se di
la tête. Elle chavira et s’écroula lourdement. Alors, il descendit de
cheval
, prit un fin poignard et fendit doucement, très d
rd le lévrier qu’il étendit au soleil. Et puis son frère. Et enfin le
cheval
d’éclairs et de vent. Ils étaient devenus tous tr
à la vie, ouvrir doucement les yeux. De la même manière, il ranima le
cheval
d’éclairs et de vent et le lévrier. Et puis il tr
ines et plus colorées : il s’en réjouit et ressortit pour chercher le
cheval
d’éclairs et de ver t et le lévrier qui l’attenda
nant de la jeune princesse et du sultan son père, ils montèrent leurs
chevaux
d’éclairs et de vent. Précédés de leurs lévriers,
dans les bras, sortit du palais. Les jumeaux la suivirent, sur leurs
chevaux
d’éclairs et de vent, accompagnés de leurs lévrie
lui amenèrent, entourée de ses chamelons. Elle se rangea derrière les
chevaux
d'éclairs et de vent. Et les voyageurs s’éloignèr
odeur de la terre natale. Ils allaient, ils allaient joyeux sur leurs
chevaux
d’éclairs et de vent et la princesse, sur sa jume
n peu. Proverbes Il n’emporte avec ses pieds que poussière, Comme les
chevaux
qui battent le henné. J’allais mourir, et il y av
ept Ogres. Toutes leurs richesses nous appartiennent : nous avons des
chevaux
. Nous avons des vaches, des chèvres et des volail
t la joie le déserter pour toujours. Il se leva dès l'aube, monta son
cheval
et courut vers son ~mi fidèle : — Voici maintenan
ière une haie d’aloès. Mehend et son ami attachèrent à un arbre leurs
chevaux
et traversèrent sans bruit le jardin. La lumière
i revenait d’un marché voisin. Il l'entendit pleurer. Il descendit de
cheval
et chercha d’où pouvait provenir ces lamentations
regarda longuement en silence. Et puis il l’assit devant lui sur son
cheval
et l’emmena. II lui ouvrit sa maison et lui décla
e. Le prince paya les oranges du perdant. Puis il prit son fusil, son
cheval
, et partit en hâte vers la forêt. Mais où était l
is sans perdre de temps, remplit un sac de pièces d'or et, tenant son
cheval
par la bride, annonça à ses parents qu’il était r
’éloigna. Elle le suivit longtemps des yeux. Il alla. Il alla sur son
cheval
noir. Un berger le rencontra : — Berger, n’as-tu
sur des piques, ornaient sinistrement les remparts de la capitale. Le
cheval
fit un bond prodigieux et Cheikh Smaïn se trouva
: ils n’aspiraient qu’à se reposer de leur interminable voyage, et le
cheval
aussi. Une vieille femme, vêtue pauvrement les re
t la porte et tu n’auras qu’à la prendre au vol et à la confier à ton
cheval
noir. Roundja plus belle que lune et que rose ne
pas à passer. Cheikh Smaïn s’élança, il la prit dans ses bras, et le
cheval
plus vif que l’éclair, les emporta tous deux. A q
Parvenus au sommet d’une colline, le prince et Rondja descendirent de
cheval
pour se reposer. Cheikh Small posa la tête sur le
fuyards. Cheikh Smaïn put remonter paisiblement avec Roundja sur son
cheval
noir, suivi du nègre qui faisait bonne garde. Ils
l’emmener. Cheikh Smaïn parut, la fit asseoir près de Roundja sur son
cheval
noir, et poursuivit son voyage, toujours accompag
jours. ■Le prince, maintenant, approchait de son royaume. A peine son
cheval
noir en eût-il foulé le sol, que le nègre reprit
une éblouissante beauté. Tandis qu’il les tenait toutes trois sur son
cheval
noir, entrant avec elles dans sa ville natale, la
nègre soit terrassé, donnez à ce jeune homme valeureux l’armure et le
cheval
de Cheik Smaïn, car il mérite cet honneur. Et vou
il tuera le nègre indomptable. Alerté, le sultan donna au guerrier le
cheval
et le sabre de ce fils qu’il croyait mort depuis
fils qu’il croyait mort depuis longtemps. Cheikh Smaïn, monté sur le
cheval
fameux qui lui avait valu tant de victoires, alla