/ 2
1 (1966) Le grain magique
ssent pas, ils ne fuiront pas devant moi. Alors, la mère lui donna un cheval , des provisions et une négresse pour l’accompagne
fille promit de faire son profit de tous ces bons conseils et monta à cheval . Elle se mit donc en route, suivie de la négresse
ne des noires, y but et s’y plongea. Puis, comme elle allait monter à cheval , elle perdit le Grain Magique. A mesure qu’elle s
tourna vers sa compagne et lui dit avec arrogance : — Descends de ton cheval I Mais la jeune fille refusa. Dès qu’elle eut att
un moment après, impatiente, excédée, elle dit encore : — Descends de cheval , te dis-je ! La jeune fille appela vainement sa m
e la dépouilla de ses vêtements pour s’en habiller. Puis elle monta à cheval et prit une pose digne. La pauvre jeune fille dut
expliquées et je suis partie à votre recherche. Ma mère m’a donné un cheval , un Grain Magique et une négresse. En chemin j’ai
rt I Proverbe A celui qui est monté sur un âne Dis : ‹ Bravo pour ton cheval ! » LA VACHE DES ORPHELINS Que mon conte so
hambre, ordonna qu’on lui préparât des provisions et qu’on sellât son cheval . Puis il prit congé de ses parents. Le roi et la
outeau lorsque Mehend, fils de roi, s’interposa et dit : — Prends mon cheval et donne-moi ce poisson. Le pêcheur crut à une pl
rut à une plaisanterie. Il se mit à rire : — Qui donc échangerait son cheval contre un poisson aussi gros fût-il? Mais le prin
re un poisson aussi gros fût-il? Mais le prince répéta : — Prends mon cheval et donne-moi ce poisson. Alors le pêcheur libéra
poisson. Alors le pêcheur libéra le poisson et s'éloigna, emmenant le cheval par la bride. Mehend s’étendit sur le sable, près
de ses parents ; il avait épuisé toutes ses provisions et troqué son cheval contre ce poisson. Et il ne possédait plus que ce
evait sur moi quand survint ce jeune homme que tu vois. Il offrit son cheval au pêcheur et m’obtint en échange. Puis il s’endo
couteau, quand j’offris en échange le seul bien qui me restait : mon cheval . Et je demeurai seul sur le rivage, avec mon pois
endide et d’innombrables présents. Et Mehend, bercé par le pas de son cheval noir, savourait en chemin la joie qu’il apportait
ne de la poudre tandis que Mehend, embrasé d'impatience, pressait son cheval noir, criant à son interminable escorte de se hât
la poudre emplissait tout le ciel. Et la terre tremblait du galop des chevaux . Près de l’arbre magique, elle peignait gravement
Dieu, n'aurez-vous pas pitié ? La Grande Mosquée est dévastée. LES CHEVAUX D’ÉCLAIRS ET DE VENT Que mon conte soit beau e
mère, sur notre maison et sur nos biens. Et je partirai seul sur mon cheval d'éclairs et de vent. Je prendrai ma carabine, mo
moi. Il prit son sabre, sa carabine, son lévrier et il partit sur son cheval d’éclairs et de vent. Il voyageait depuis peu lor
s il leur dit : — Gardez-la moi, je reviendrai. Et il remonta sur son cheval d’éclairs et de vent. Il parcourait de grands esp
raient : — Gardez-la moi jusqu’à mon retour : Et il s’éloigna sur son cheval d’éclairs et de vent. Mais des chameliers l’arrêt
ameliers : — Gardez-la moi, je reviendrai. Et puis il se confia à son cheval d’éclairs et de vent et se laissa emporter. Il vo
t plus lumineux. Il l’éleva dans les airs, l’assit devant lui sur son cheval d’éclairs et de vent, et la ramena au palais. Les
andation. Il partait dès l’aurore, accompagné de son lévrier, sur son cheval d’éclairs et de vent. Il chassait tout le jour et
e je la voie ? › Il se leva dès l’aube, emmena son lévrier, monta son cheval d’éclairs et de vent et s’éloigna dans la directi
qui je m’approche de la forêt 1... Il avançait avec lenteur, sur son cheval d’éclairs et de vent, s’émerveillant de tant de r
et que je t’attends ! Elle le saisit et l’avala. Elle avala aussi le cheval d’éclairs et de vent et le lévrier. Alors, les fe
isions de route et que tes bénédictions m’accompagnent I Il monta son cheval d’éclairs et de vent, appela son lévrier, prit so
répondit : — Laissez-moi, je reviendrai. Et il alla, il alla sur son cheval d'éclairs et de vent. Mais des bouviers l'aperçur
cria : — Je reviendrai ! Il leur fit signe de s’écarter et passa. Son cheval l’emportait si vite qu’Ahmed distinguait à peine
rait. Tout à l'espoir de retrouver son frère, Ahmed s'abandonna à son cheval d’éclairs et de vent, franchit les fleuves, parco
son frère avait délivré du dragon. Le lévrier ralentit son allure. Le cheval l’imita et le jeune homme vit s’avancer vers lui
uceur le ventre de l’ogresse et à l’en retirer. Ahmed remonta sur son cheval d’éclairs et de vent, appela son lévrier et se di
la tête. Elle chavira et s’écroula lourdement. Alors, il descendit de cheval , prit un fin poignard et fendit doucement, très d
rd le lévrier qu’il étendit au soleil. Et puis son frère. Et enfin le cheval d’éclairs et de vent. Ils étaient devenus tous tr
à la vie, ouvrir doucement les yeux. De la même manière, il ranima le cheval d’éclairs et de vent et le lévrier. Et puis il tr
ines et plus colorées : il s’en réjouit et ressortit pour chercher le cheval d’éclairs et de ver t et le lévrier qui l’attenda
nant de la jeune princesse et du sultan son père, ils montèrent leurs chevaux d’éclairs et de vent. Précédés de leurs lévriers,
dans les bras, sortit du palais. Les jumeaux la suivirent, sur leurs chevaux d’éclairs et de vent, accompagnés de leurs lévrie
lui amenèrent, entourée de ses chamelons. Elle se rangea derrière les chevaux d'éclairs et de vent. Et les voyageurs s’éloignèr
odeur de la terre natale. Ils allaient, ils allaient joyeux sur leurs chevaux d’éclairs et de vent et la princesse, sur sa jume
n peu. Proverbes Il n’emporte avec ses pieds que poussière, Comme les chevaux qui battent le henné. J’allais mourir, et il y av
ept Ogres. Toutes leurs richesses nous appartiennent : nous avons des chevaux . Nous avons des vaches, des chèvres et des volail
t la joie le déserter pour toujours. Il se leva dès l'aube, monta son cheval et courut vers son ~mi fidèle : — Voici maintenan
ière une haie d’aloès. Mehend et son ami attachèrent à un arbre leurs chevaux et traversèrent sans bruit le jardin. La lumière
i revenait d’un marché voisin. Il l'entendit pleurer. Il descendit de cheval et chercha d’où pouvait provenir ces lamentations
regarda longuement en silence. Et puis il l’assit devant lui sur son cheval et l’emmena. II lui ouvrit sa maison et lui décla
e. Le prince paya les oranges du perdant. Puis il prit son fusil, son cheval , et partit en hâte vers la forêt. Mais où était l
is sans perdre de temps, remplit un sac de pièces d'or et, tenant son cheval par la bride, annonça à ses parents qu’il était r
’éloigna. Elle le suivit longtemps des yeux. Il alla. Il alla sur son cheval noir. Un berger le rencontra : — Berger, n’as-tu
sur des piques, ornaient sinistrement les remparts de la capitale. Le cheval fit un bond prodigieux et Cheikh Smaïn se trouva
: ils n’aspiraient qu’à se reposer de leur interminable voyage, et le cheval aussi. Une vieille femme, vêtue pauvrement les re
t la porte et tu n’auras qu’à la prendre au vol et à la confier à ton cheval noir. Roundja plus belle que lune et que rose ne
pas à passer. Cheikh Smaïn s’élança, il la prit dans ses bras, et le cheval plus vif que l’éclair, les emporta tous deux. A q
Parvenus au sommet d’une colline, le prince et Rondja descendirent de cheval pour se reposer. Cheikh Small posa la tête sur le
fuyards. Cheikh Smaïn put remonter paisiblement avec Roundja sur son cheval noir, suivi du nègre qui faisait bonne garde. Ils
l’emmener. Cheikh Smaïn parut, la fit asseoir près de Roundja sur son cheval noir, et poursuivit son voyage, toujours accompag
jours. ■Le prince, maintenant, approchait de son royaume. A peine son cheval noir en eût-il foulé le sol, que le nègre reprit
une éblouissante beauté. Tandis qu’il les tenait toutes trois sur son cheval noir, entrant avec elles dans sa ville natale, la
nègre soit terrassé, donnez à ce jeune homme valeureux l’armure et le cheval de Cheik Smaïn, car il mérite cet honneur. Et vou
il tuera le nègre indomptable. Alerté, le sultan donna au guerrier le cheval et le sabre de ce fils qu’il croyait mort depuis
fils qu’il croyait mort depuis longtemps. Cheikh Smaïn, monté sur le cheval fameux qui lui avait valu tant de victoires, alla
     55 La princesse Soumicha      65 La flûte d’os      79 Les chevaux d’éclairs et de vent      85 'Le subtil et l’in
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
, gardes, suisses, pages, valets de pied ; elle toucha aussi tous les chevaux qui estoient dans les Ecuries, avec les palefreni
lorsque le roi, qu’on n’attendoit pas si tost, entra dans la cour, à cheval : il estoit venu, en poste et demanda, tout eston
de ſa baguette, & la ſouris eſtoit auſſi-toſt changée en un beau cheval ; ce qui fit un bel attelage de ſix chevaux d’un
ſi-toſt changée en un beau cheval ; ce qui fit un bel attelage de ſix chevaux d’un beau gris de ſouris pommelé : Comme elle eſt
au bal un moment davantage, ſon caroſſe redeviendroit citroüille, ſes chevaux des ſourils, ſes laquais des lezards, et que ſes
/ 2