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1 (1966) Le grain magique
son corsage, et elle lui fit cette suprême recommandation : — Sur ton chemin , tu rencontreras deux fontaines. L’une est celle
he. Ma mère m’a donné un cheval, un Grain Magique et une négresse. En chemin j’ai rencontré deux fon taines : je me suis tromp
teint était blanc comme neige et vermeil comme sang. — J'ai perdu mon chemin , dit le jeune homme, et je ne sais où aller. Ne p
. Elle se mit à courir, à courir comme une démente en clamant par les chemins : — Loundja, Loundja tu m’as trahie. Tu m’as aban
des figues. Le Crapaud se saisit d’une sacoche et d’un sac et prit le chemin du marché. La Grenouille, elle, courut à la fonta
acoche en bandoulière et le battoir à la main, sortirent à l’aube. Le chemin qui menait à la rivière était en pente. Ils s’y e
its des maisons. Mais la Grenouille, exténuée, s’assit sur le bord du chemin et déclara : — Pars seul si tu veux. Je ne puis p
ouves bien. Survint le Chacal : — Qu’as-tu, Crapaud, à surveiller les chemins ? — La jouvencelle du jouvenceau m’a délaissé. — J
d’un ravin? Le Lion vint à passer : — Qu’as-tu, Crapaud, à garder les chemins ? — O mon seigneur, c’est la beauté de l’iMiivers
a-t-il, mon oncle le Crapaud ? A pareille heure, que fais-tu par les chemins ? — La grâce du monde m’a délaissé I — Sois sans
u, mon oncle le Crapaud? La nuit est venue ; que fais-tu seul par les chemins ? — Le sel de l’univers a fui. La femme m’a aband
s ronces et les buissons. Revenir en arrière?... Elle avait perdu son chemin . Alors elle marcha au hasard sur ses petites jamb
et finit par dire : — Tu resteras ici jusqu’à ce que Dieu t’ouvre un chemin . J'épouse ta faim et ta soif : tu seras mon enfan
’une torche en plein vent qui courait, qui courait en clamant par les chemins : ‹ La mare où éteindre ces flammes, ô Aïcha ma f
’eux un jet de fiel et de sang. Elle s’en revint en vomissant par les chemins . Alors, sa mère furieuse prit un vieux plat ébréc
charité de village en village. Ils rencontrèrent une source sur leur chemin : le petit garçon y but et fut changé en gazelle.
ait reconnu. Settoute, la vieille sorcière, fut seule à lui barrer le chemin . Comme Mehend la bousculait, elle s’écria : — Dis
Mehend devenu pâle, ne me quitte pas, toi que j’ai rencontré sur mon chemin alors que j’étais seul et loin de mon pays. Souvi
poulain était fougueux). Settoute seule eut l’audace de me barrer le chemin . Elle me dit : «Serais-tu l’époux de Soumicha, fi
résents. Et Mehend, bercé par le pas de son cheval noir, savourait en chemin la joie qu’il apportait à ses parents et à son pe
éé plein de grâce : ‹ sa beauté se rit des parures, elle illumine les chemins . » La mère dans son aveuglement ne se doutait pas
aie. Chant du .berceau L’enfant que j'ai élevé avec peine Dort sur le chemin . Sa couverture glisse, Veillez à ce qu’elle ne tr
r les champs I Le chrétien leur donne la chasse Et les égorge par les chemins . O Dieu, n'aurez-vous pas pitié ? La Grande Mosqu
erts, lorsque des gardeurs de juments s’élancèrent pour lui barrer le chemin : — Ta renommée est venue jusqu’à nous, s’écrière
illage lui apparut ; il y pénétra. Un crieur public y clamait par les chemins : — Le sultan fait savoir : ‹ A celui qui délivre
ena un berger et son troupeau pour attirer le dragon. Et il suivit le chemin de la fontaine, accompagné des vieillards et des
iries, les mêmes montagnes, les mêmes bois, de repasser par les mêmes chemins . Il se dit un soir, dans son cœur : ‹ Pourquoi le
ant des espaces découverts. Comme ils longeaient un pré en bordure du chemin , une belle vache rousse, suivie de ses veaux, dél
Le soleil baissait. Des champs de figuiers et d’oliviers bordaient le chemin qu’ils suivaient : une chèvre noire les y attenda
ant à moi, je pars avec toi O jeune oiseau, fils de ramier. Parmi les chemins qui t'agréent Choisis en hâte lequel suivre. Où t
es enfants se mirent en route. Ils jouèrent, jouèrent tout le long du chemin en croquant les fèves (elles étaient presque tend
ssi vite : il soufflait. Il haletait. Une grosse pierre encombrait le chemin . Le Subtil la contourna et cria à son frère : — V
rsqu'ils eurent traversé la rivière. Ils purent aisément retrouver le chemin de leur village. Des gens étaient à leur recherch
sur sa jument bleue, Il était tout joyeux. Les cavaliers suivaient un chemin de montagne, Et sa beauté rejaillissait sur eux.
créé plein de grâce, Sa beauté se rit des parures, Elle illumine les chemins . Proverbes Mauvais mariage est comme le crépuscul
ne reconnut pas dans cette voix celle de son grand-père, posa sur le chemin la galette et le plat de couscous qu’elle tenait,
. Mais, te laisser épouser une vagabonde rencontrée par hasard sur le chemin et de qui nous ne savons rien, je ne puis le tolé
Il ne savait pas qu’elle l’avait ensorcelé. Ils parcoururent un long chemin et entrèrent en pleine campagne. Ils atteignirent
que la lumière, quittèrent un matin l’ermitage et poursuivirent leur chemin . Ils allèrent droit devant eux, en demandant la c
cueillit autant de pommes que put en contenir son panier et reprit le chemin de sa demeure. A peine entendit-elle son pas que
’outre de lait et le cadavre de l’Ogre, Mehend reprit avec son ami le chemin de la forêt. Mon conte est comme un ruisseau, je
me suis enfui du paradis de Dieu. J’ai refusé ce que voulait Dieu. Le chemin est long ; porte-moi ou je te porterai. Parle ou
ns, mais nous, nous ne voulons pas. Tu as dit enfin à mon père : ‹ Le chemin est long, porte-moi ou je te porterai ; parle ou
ong, porte-moi ou je te porterai ; parle ou je parlerai», pour que le chemin te semble plus court. Tout comme tu lui as dit, l
rte, mais voici ton frère Ali. Emporte-le : il est 'à toi. Le long du chemin que tu devras parcourir, d’étape en étape, nourri
ns son corsage pour en ramener des noyaux qu’elle égrenait le long du chemin . Le père et ses filles atteignirent vers midi le
père nous a abandonnées à cause de notre marâtre. Mais j’ai marqué le chemin de noyaux d’olives. Aïcha ouvrit la marche. Et à
ès le seuil par une étrange odeur. Prise d’inquiétude, elle rebroussa chemin . Elle épia vainement durant quelques jours le ret
mouches du remords, j'allais vers le désert, les yeux brûlés par les chemins crayeux et les larmes vaines. C’est alors que se
u loin sa houlette. Ses chèvres se dispersent et se répandent par les chemins . Passe le Porteur d’eau qui revenait de la fontai
scète Retranché sur son rocher. Pitié, maître des deux, Frayez-moi le chemin I Proverbe Les blessures se creusent et guérissen
fidèles d’escorter le jeune chasseur. A peine arrivé à la croisée des chemins , le prince se tourna vers ses compagnons : — Sépa
viteurs de l’accompagner. Le prince se sépara d’eux, à la croisée des chemins et leur dit, la main tendue : — Allez de votre cô
j’ai affaire au loin. Suivi de son nègre fidèle, Cheikh Smaïn prit le chemin des Indes. Durant des jours et des jours, ils all
ntendre et te venir en aide I soupira le sultan. Et il lui indiqua le chemin de la tour. La jeune fille était à sa fenêtre mon
un peu. Un vieillard, poussant un troupeau le remarqua sur le bord du chemin et le regarda avec bonté. — Mon père, lui dit le
je riais sous cape de tous ceux qui priaient. Le démon m’a montré le chemin de l'ablme, Et du haut d’un pic, il m'a précipité
es. Un beau jour, il grimpa sur le figuier qui poussait en bordure du chemin et se mit à clamer : — Qui veut manger des figues
sseau, je l'ai conté à des Seigneurs. Proverbe Dieu ne montre pas son chemin à l’orphelin. Chant satirique J'ai trouvé le vieu
qu’à ensevelir sa mère, ce qu’il fit en grande hâte. Mais voici qu’en chemin deux fils du mal l’assaillirent. Intrigués par l’
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
prochez dés qu’il avoit esté passé. Il ne laissa pas de continuer son chemin : un prince jeune et amoureux est toûjours vailla
ien ! dit le Loup, je veux l’aller voir aussi ; je m’y en vais par ce chemin icy, et toy par ce chemin-là ; et nous verrons qu
l’aller voir aussi ; je m’y en vais par ce chemin icy, et toy par ce chemin -là ; et nous verrons qui plûtost y sera. » Le Lou
ui plûtost y sera. » Le Loup se mit à courir de toute sa force par le chemin qui estoit le plus court, et la petite fille s’en
chemin qui estoit le plus court, et la petite fille s’en alla par le chemin le plus long, s’amusant à cueillir des noisettes,
yage dés le soir mesme, et dit qu’il avoit receu des lettres, dans le chemin , qui luy avoient appris que l’affaire pour laquel
ndroit à la maison; car en marchant il avoit laissé tomber le long du chemin les petits cailloux blancs qu’il avoit dans ses p
nt: ils le suivirent, et il les mena jusqu’à leur maison, par le même chemin qu’ils estoient venus dans la forest. Ils n’osere
de son pain au lieu de cailloux en le jettant par miettes le long des chemins où ils passeraient, il le serra donc dans sa poch
’en chagrina pas beaucoup, parce qu’il croyoit retrouver aisément son chemin par le moyen de son pain qu’il avoit semé par tou
et aprés avoir couru bien loin de tous costés, enfin il entra dans le chemin où marchoient ces pauvres enfans qui n’étoient pl
rs ce que l’Ogre deviendroit. L’Ogre qui se trouvoit fort las du long chemin qu’il avoit fait inutilement, (car les bottes de
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