son corsage, et elle lui fit cette suprême recommandation : — Sur ton
chemin
, tu rencontreras deux fontaines. L’une est celle
he. Ma mère m’a donné un cheval, un Grain Magique et une négresse. En
chemin
j’ai rencontré deux fon taines : je me suis tromp
teint était blanc comme neige et vermeil comme sang. — J'ai perdu mon
chemin
, dit le jeune homme, et je ne sais où aller. Ne p
. Elle se mit à courir, à courir comme une démente en clamant par les
chemins
: — Loundja, Loundja tu m’as trahie. Tu m’as aban
des figues. Le Crapaud se saisit d’une sacoche et d’un sac et prit le
chemin
du marché. La Grenouille, elle, courut à la fonta
acoche en bandoulière et le battoir à la main, sortirent à l’aube. Le
chemin
qui menait à la rivière était en pente. Ils s’y e
its des maisons. Mais la Grenouille, exténuée, s’assit sur le bord du
chemin
et déclara : — Pars seul si tu veux. Je ne puis p
ouves bien. Survint le Chacal : — Qu’as-tu, Crapaud, à surveiller les
chemins
? — La jouvencelle du jouvenceau m’a délaissé. — J
d’un ravin? Le Lion vint à passer : — Qu’as-tu, Crapaud, à garder les
chemins
? — O mon seigneur, c’est la beauté de l’iMiivers
a-t-il, mon oncle le Crapaud ? A pareille heure, que fais-tu par les
chemins
? — La grâce du monde m’a délaissé I — Sois sans
u, mon oncle le Crapaud? La nuit est venue ; que fais-tu seul par les
chemins
? — Le sel de l’univers a fui. La femme m’a aband
s ronces et les buissons. Revenir en arrière?... Elle avait perdu son
chemin
. Alors elle marcha au hasard sur ses petites jamb
et finit par dire : — Tu resteras ici jusqu’à ce que Dieu t’ouvre un
chemin
. J'épouse ta faim et ta soif : tu seras mon enfan
’une torche en plein vent qui courait, qui courait en clamant par les
chemins
: ‹ La mare où éteindre ces flammes, ô Aïcha ma f
’eux un jet de fiel et de sang. Elle s’en revint en vomissant par les
chemins
. Alors, sa mère furieuse prit un vieux plat ébréc
charité de village en village. Ils rencontrèrent une source sur leur
chemin
: le petit garçon y but et fut changé en gazelle.
ait reconnu. Settoute, la vieille sorcière, fut seule à lui barrer le
chemin
. Comme Mehend la bousculait, elle s’écria : — Dis
Mehend devenu pâle, ne me quitte pas, toi que j’ai rencontré sur mon
chemin
alors que j’étais seul et loin de mon pays. Souvi
poulain était fougueux). Settoute seule eut l’audace de me barrer le
chemin
. Elle me dit : «Serais-tu l’époux de Soumicha, fi
résents. Et Mehend, bercé par le pas de son cheval noir, savourait en
chemin
la joie qu’il apportait à ses parents et à son pe
éé plein de grâce : ‹ sa beauté se rit des parures, elle illumine les
chemins
. » La mère dans son aveuglement ne se doutait pas
aie. Chant du .berceau L’enfant que j'ai élevé avec peine Dort sur le
chemin
. Sa couverture glisse, Veillez à ce qu’elle ne tr
r les champs I Le chrétien leur donne la chasse Et les égorge par les
chemins
. O Dieu, n'aurez-vous pas pitié ? La Grande Mosqu
erts, lorsque des gardeurs de juments s’élancèrent pour lui barrer le
chemin
: — Ta renommée est venue jusqu’à nous, s’écrière
illage lui apparut ; il y pénétra. Un crieur public y clamait par les
chemins
: — Le sultan fait savoir : ‹ A celui qui délivre
ena un berger et son troupeau pour attirer le dragon. Et il suivit le
chemin
de la fontaine, accompagné des vieillards et des
iries, les mêmes montagnes, les mêmes bois, de repasser par les mêmes
chemins
. Il se dit un soir, dans son cœur : ‹ Pourquoi le
ant des espaces découverts. Comme ils longeaient un pré en bordure du
chemin
, une belle vache rousse, suivie de ses veaux, dél
Le soleil baissait. Des champs de figuiers et d’oliviers bordaient le
chemin
qu’ils suivaient : une chèvre noire les y attenda
ant à moi, je pars avec toi O jeune oiseau, fils de ramier. Parmi les
chemins
qui t'agréent Choisis en hâte lequel suivre. Où t
es enfants se mirent en route. Ils jouèrent, jouèrent tout le long du
chemin
en croquant les fèves (elles étaient presque tend
ssi vite : il soufflait. Il haletait. Une grosse pierre encombrait le
chemin
. Le Subtil la contourna et cria à son frère : — V
rsqu'ils eurent traversé la rivière. Ils purent aisément retrouver le
chemin
de leur village. Des gens étaient à leur recherch
sur sa jument bleue, Il était tout joyeux. Les cavaliers suivaient un
chemin
de montagne, Et sa beauté rejaillissait sur eux.
créé plein de grâce, Sa beauté se rit des parures, Elle illumine les
chemins
. Proverbes Mauvais mariage est comme le crépuscul
ne reconnut pas dans cette voix celle de son grand-père, posa sur le
chemin
la galette et le plat de couscous qu’elle tenait,
. Mais, te laisser épouser une vagabonde rencontrée par hasard sur le
chemin
et de qui nous ne savons rien, je ne puis le tolé
Il ne savait pas qu’elle l’avait ensorcelé. Ils parcoururent un long
chemin
et entrèrent en pleine campagne. Ils atteignirent
que la lumière, quittèrent un matin l’ermitage et poursuivirent leur
chemin
. Ils allèrent droit devant eux, en demandant la c
cueillit autant de pommes que put en contenir son panier et reprit le
chemin
de sa demeure. A peine entendit-elle son pas que
’outre de lait et le cadavre de l’Ogre, Mehend reprit avec son ami le
chemin
de la forêt. Mon conte est comme un ruisseau, je
me suis enfui du paradis de Dieu. J’ai refusé ce que voulait Dieu. Le
chemin
est long ; porte-moi ou je te porterai. Parle ou
ns, mais nous, nous ne voulons pas. Tu as dit enfin à mon père : ‹ Le
chemin
est long, porte-moi ou je te porterai ; parle ou
ong, porte-moi ou je te porterai ; parle ou je parlerai», pour que le
chemin
te semble plus court. Tout comme tu lui as dit, l
rte, mais voici ton frère Ali. Emporte-le : il est 'à toi. Le long du
chemin
que tu devras parcourir, d’étape en étape, nourri
ns son corsage pour en ramener des noyaux qu’elle égrenait le long du
chemin
. Le père et ses filles atteignirent vers midi le
père nous a abandonnées à cause de notre marâtre. Mais j’ai marqué le
chemin
de noyaux d’olives. Aïcha ouvrit la marche. Et à
ès le seuil par une étrange odeur. Prise d’inquiétude, elle rebroussa
chemin
. Elle épia vainement durant quelques jours le ret
mouches du remords, j'allais vers le désert, les yeux brûlés par les
chemins
crayeux et les larmes vaines. C’est alors que se
u loin sa houlette. Ses chèvres se dispersent et se répandent par les
chemins
. Passe le Porteur d’eau qui revenait de la fontai
scète Retranché sur son rocher. Pitié, maître des deux, Frayez-moi le
chemin
I Proverbe Les blessures se creusent et guérissen
fidèles d’escorter le jeune chasseur. A peine arrivé à la croisée des
chemins
, le prince se tourna vers ses compagnons : — Sépa
viteurs de l’accompagner. Le prince se sépara d’eux, à la croisée des
chemins
et leur dit, la main tendue : — Allez de votre cô
j’ai affaire au loin. Suivi de son nègre fidèle, Cheikh Smaïn prit le
chemin
des Indes. Durant des jours et des jours, ils all
ntendre et te venir en aide I soupira le sultan. Et il lui indiqua le
chemin
de la tour. La jeune fille était à sa fenêtre mon
un peu. Un vieillard, poussant un troupeau le remarqua sur le bord du
chemin
et le regarda avec bonté. — Mon père, lui dit le
je riais sous cape de tous ceux qui priaient. Le démon m’a montré le
chemin
de l'ablme, Et du haut d’un pic, il m'a précipité
es. Un beau jour, il grimpa sur le figuier qui poussait en bordure du
chemin
et se mit à clamer : — Qui veut manger des figues
sseau, je l'ai conté à des Seigneurs. Proverbe Dieu ne montre pas son
chemin
à l’orphelin. Chant satirique J'ai trouvé le vieu
qu’à ensevelir sa mère, ce qu’il fit en grande hâte. Mais voici qu’en
chemin
deux fils du mal l’assaillirent. Intrigués par l’