gé de la braise J’ai avalé du feu En pleine inconscience. Le tabac de
Cheikh
Amar Réveille et cingle Et sauve qui le prise. Ma
hé de la braise J'ai avalé du feu En pleine inconscience. Le tabac de
Cheikh
Amar Ranime et fouette Et rend faciles les proues
its Elle ne peut rien pour toi Dieu soit avec elle et avec toi l › Le
Cheikh
de la Mosquée pouvait seul les entendre, car lui
its Elle ne peut rien pour toi Dieu soit avec elle et avec toi ! › Le
Cheikh
de la Mosquée alla trouver le sultan revenu de vo
Le lendemain, le sultan se leva au point du jour et alla rejoindre le
Cheikh
au jardin. Ils virent la gazelle pencher sa petit
rent la méchante rivale. Le sultan la fit décapiter. Un beau jour, le
Cheikh
de la Mosquée demanda au sultan : — Et cette gaze
ais ce qu'il a bu ou mangé qui l’a ainsi changé en gazelle. Alors, le
Cheikh
prit de l’eau (car il était aussi magicien), pron
te devance ? Il geint mais il se prête aux coups. Chant religieux Le
Cheikh
Mohand Quel Houssine Ramier nourri sur les rempar
i et maintenant te voici la proie des démons. Elle envoya chercher le
Cheikh
de la Mosquée. Mais le Cheikh en dépit de toute s
oie des démons. Elle envoya chercher le Cheikh de la Mosquée. Mais le
Cheikh
en dépit de toute sa science se déclara impuissan
our d’été ils se trouvèrent devant les murs d’une puissante ville. Le
Cheikh
, du haut de son minaret, appelait les fidèles à l
épit du verglas. (Il n'est pas d’autre Dieu qu’Allah.) Allons révérer
Cheikh
Mohand Aux yeux de faucon bienveillant. (Il n’est
Laisse-moi m’en retourner. Trovbrbbs Que Dieu prolonge ta maladie, ô
Cheikh
, Jusqu’à ce que ma poule se remette à pondre Et q
rut l’ange, parmi la foule médusée. Il dit : — L’enfant s’appellera «
Cheikh
Smaïn ›. Et l’ange disparut. Le petit prinee s'ap
ellera « Cheikh Smaïn ›. Et l’ange disparut. Le petit prinee s'appela
Cheikh
Smain et grandit dans le bien. Devenu un adolesce
bée de la nuit, les serviteurs arrivèrent avec leur gibecière pleine.
Cheikh
Smain avait la sienne vide. Ils la lui remplirent
Ils la lui remplirent et revinrent avec iui au palais. Le lendemain.
Cheikh
Smain voulut encore chasser.. Ce fut au tour de d
votre côté tandis que j’irai du mien et ce soir, retrouvons-nous ici.
Cheikh
Smain fit quelques pas et aperçut un perdreau qui
donné l'âme. » Bougie, toi qui sais, dis-nous à qui est cette femme.
Cheikh
Smain alors se dressa et dit, excédé, au jeune sa
a jeune fille plus belle que lune et que rose. Le sultan leur dit : —
Cheikh
Smain, mon fils, a résolu d’épouser votre sœur ou
tambours et les flûtes annoncèrent à tout le pays les fiançailles de
Cheikh
Smain et de la fille la plus belle qui se puisse
ttoute seule verdissait de jalousie (la vieille sorcière en voulait à
Cheikh
Smain depuis ce jour où, rendant la justice, il n
Et elle s’en retourna légère, heureuse d’avoir pu enfin se venger de
Cheikh
Smaïn. —• Puisque c’est ainsi, se dirent mortifié
re docilement ses frères. Ce message disait : ‹ La paix soit sur toi,
Cheikh
Smaïn. Si tu veux encore de moi pour femme, viens
romettre Roundja à un prince infiniment plus valeureux et fortuné que
Cheikh
Smaïn. Touché au vif, le sultan interdit que le p
coup : — Le tour qui m’arrive ressemble fort à celui que Ton a joué à
Cheikh
Smaïn ! Or, Cheikh Smaïn était à sa fenêtre. Il s
i m’arrive ressemble fort à celui que Ton a joué à Cheikh Smaïn ! Or,
Cheikh
Smaïn était à sa fenêtre. Il se penche et crie au
el est ce bon tour que Ton m’a joué, veux-tu me le dire ? Car je suis
Cheikh
Smaïn. — Eh bien, ta fiancée a quitté le pays. Se
essage que lui avait laissé Roundja. Il lut : ‹ La paix soit sur toi,
Cheikh
Smaïn. Si tu veux encore de moi pour femme, viens
n’as-tu pas remarqué une caravane emmenant une jeune fille ? lui cria
Cheikh
Smaïn. — 11 y a deux jours est passée une femme p
ment les remparts de la capitale. Le cheval fit un bond prodigieux et
Cheikh
Smaïn se trouva à l’intérieur de la ville. De la
que c’est moi qui ai ruiné cette cité ? — Prends ton sabre, répondit
Cheikh
Smaïn avec calme. Prends ton sabre, et battons-no
meilleur gardien que moi, car je me battrai pour toi jusqu’à la mort.
Cheikh
Smaïn prit le nègre par la main et s'éloigna avec
rons l’hospitalité. Si ce sont des malfaiteurs, nous nous défendrons.
Cheikh
Smaïn et le nègre entrèrent. Une adolescente au d
ur au visage de lait et aux cheveux couleur de maïs. — Demain, promit
Cheikh
Smaïn, nous assisterons au combat sans être vus.
e. Les sept frères, qui n’étaient pas des ingrats, se tournèrent vers
Cheikh
Smaïn pour lui dire : — Grâce à toi et à ton vail
nds notre sœur, elle te revient. — Je la prendrai avec joie, répondit
Cheikh
Smaïn, mais seulement à mon retour, car j’ai affa
nt à mon retour, car j’ai affaire au loin. Suivi de son nègre fidèle,
Cheikh
Smaïn prit le chemin des Indes. Durant des jours
t le cheval aussi. Une vieille femme, vêtue pauvrement les rencontra.
Cheikh
Smaïn lui parla doucement, du haut de sa monture
a de n’avoir à leur offrir qu’une galette d’orge et une cruche d’eau.
Cheikh
Smaïn lui tendit une poignée de pièces d’or et el
nt morts, dit-on. — Ne voudrais-tu pas la voir de notre part? supplia
Cheikh
Smaïn. — Mon fils, Dieu m’est témoin que je ne de
as prête à te faire du mal, et elle te recevra, j'en suis sûr, ajouta
Cheikh
Smaïn. La vieille s’habilla décemment et s’en all
la tour, elle fit briller dans le soleil l’anneau que lui avait remis
Cheikh
Smaïn et le lui lança. Roundja l’attrapa au vol,
ans tous les sens et n'entends être vue par personne. Et recommande à
Cheikh
Smaïn de se tenir prêt à m’enlever dès que je pas
rt. Ni même demain. Alors, la vieille femme courut comme le vent vers
Cheikh
Smaïn et le bon nègre qui l’attendaient avec impa
noir. Roundja plus belle que lune et que rose ne tarda pas à passer.
Cheikh
Smaïn s’élança, il la prit dans ses bras, et le c
colline, le prince et Rondja descendirent de cheval pour se reposer.
Cheikh
Small posa la tête sur les genoux de sa fiancée e
est moi qu’ils cherchent à reprendre. Ils vont me ramener au sultan I
Cheikh
Smaïn était déjà debout : — Ne crains rien, dit-i
resta bientôt que des morts, des blessés et quelques pauvres fuyards.
Cheikh
Smaïn put remonter paisiblement avec Roundja sur
ndait que son époux veuille bien la prendre par la main et l’emmener.
Cheikh
Smaïn parut, la fit asseoir près de Roundja sur s
e. Parti pour reconquérir sa fiancée plus belle que lune et que rose,
Cheikh
Smaïn revenait donc avec trois femmes d’une éblou
’à dessein elle avait posé à l’envers sur le feu. Les trois femmes de
Cheikh
Smaïn l'observaient de leur fenêtre. — Retourne t
te soucies de la pauvre maladroite que je suis. — Je suis la femme de
Cheikh
Smaïn. Et mes deux compagnes qui te sourient du b
es deux compagnes qui te sourient du balcon sont aussi les épouses de
Cheikh
Smaïn • Si tu n'étais aveugle, tu les verrais. —
es épouses de Cheikh Smaïn • Si tu n'étais aveugle, tu les verrais. —
Cheikh
Smaïn ! s’exclama Settoute, tu as bien dit Cheikh
, tu les verrais. — Cheikh Smaïn ! s’exclama Settoute, tu as bien dit
Cheikh
Smaïn ? Mais c’est le fils de ma sœur chérie que
. Puis elle se sépara de lui et courut comme le feu chez le sultan. —
Cheikh
Smaïn, ton fils, est revenu ! lui annonça-t-elle,
•Le sultan ressentit un grand dépit d’être éclipsé en toutes choses.
Cheikh
Smaïn se disait le plus comblé des hommes : il av
e. Aussi, dès cet instant, résolut-il en son vilain cœur de supprimer
Cheikh
Smaïn son fils, et de lui ravir et ses femmes et
hôte. Mais demain, tu voudras bien être le mien. Te lendemain, quand
Cheikh
Smaïn voulut se rendre chez son père, Roundja plu
un peu le sultan. H soupira et rêva à la ruse qui viendrait à bout de
Cheikh
Smaïn et de tous les anges qui veillaient sur lui
l y a si longtemps que je n’ai joui de ta compagnie charmante ! Comme
Cheikh
Smain se disposait à partir, le lendemain, sa jeu
le prince n’avait de regard que pour la chienne. Elle s’arrêta enfin.
Cheikh
Smain la prit alors sur ses genoux, s'assit à l’e
t, et la jalousie était en lui comme un feu dévorant. C’est ainsi que
Cheikh
Smain échappa à cette mort qui paraissait si sûre
de l’abattre s’exaspérait. Un matin, de guerre lasse, il alla trouver
Cheikh
Smain et lui demanda : — De grâce, qu’est-ce qui
joie, il appela ses serviteurs et leur commanda d’arracher les yeux à
Cheikh
Smain et de les lui mettre dans ses poches. Le pr
que les fauves le dévorent. Dès qu’il fut arrivé au cœur de la forêt,
Cheikh
Smain dit au serviteur qui l’accompagnait : — Et
ied d’un arbre et se mit à méditer. La nuit venait, une nuit fraîche.
Cheikh
Smaïn était seul avec le bruit ■des feuilles et d
les aiglons. Tu peux bien mourir de froid si tu veux. Ce qui arrive à
Cheikh
Smaïn nous enseigne trop qu'il ne faut pas attend
ces et l’a conduit dans la forêt pour servir de pâture aux fauves I —
Cheikh
Smaïn a ses yeux dans ses poches, répondit gravem
les, dans le ciel, et demain la lumière du jour l’éblouira au réveil.
Cheikh
Smaïn écouta le discours du vieil aigle et pria D
’instant d’après, la lune le regardait dans le ciel fleuri d’étoiles.
Cheikh
Smaïn remercia le vieil aigle et rendit grâce à D
re son beurre dans une courge évidée qui lui tenait lieu de barratte,
Cheikh
Smaïn s’avança : — Tout ce lait que tu vois va de
: elles accoururent par groupes pour constater le miracle et supplier
Cheikh
Smaïn de venir battre leur beurre. Le prince méri
nd qui bat le beurre ›, et sa popularité s'étendit à tout le royaume.
Cheikh
Smaïn connut la paix parmi ces gens simples qui l
mort. Malheur aux imprudents qui s’en approcheront ! — Mon père, dit
Cheikh
Smaïn, ta place n’est pas au combat. Je me battra
n yatagan, il fauchait à droite, fauchait à gauche. Dès qu’il aperçut
Cheikh
Smaïn qu’un masque rendait méconnaissable, le nèg
mourir que d’appartenir au père monstrueux de notre bien-aimé maître.
Cheikh
Smaïn, le sabre à la main, s’était frayé un passa
sa compagne au visage de lait. Et un grand espoir emplit leur coeur.
Cheikh
Smaïn, maintenant se trouvait devant le nègre. Il
sang un long boyau et l’enroula dès l’aube autour de sa poitrine nue.
Cheikh
Smaïn se battait comme un lion. Il accomplissait
le cheval et le sabre de ce fils qu’il croyait mort depuis longtemps.
Cheikh
Smaïn, monté sur le cheval fameux qui lui avait v
r sept fois, cet homme juste, fut roué de coups et couvert d’injures.
Cheikh
Smain enfin laissa tomber le masque qui le rendai
; Celui qui veut jouir Qu’il soit conciliant. Chant de procession Le
Cheikh
Mohand Quel Houssine Etait pieux déjà tout enfant
ves l'ont mangé. › (Il n’est pas d'autre Dieu qu’Allah.) Loué soit le
Cheikh
tout-puissant Qui ressuscite le bœuf égorgé. (U n