les sept frères : on leur indiqua leur maison. Us étaient allés à la
chasse
... Elles attendirent leur retour. Le soir, lorsqu
vant. Les sept frères purent retourner à leur passe-temps favori : la
chasse
. Leur sœur préparait les repas et tenait la maiso
plat qu’elle présenta à ses sept frères, lorsqu’ils rentrèrent de la
chasse
. Tous mangèrent de grand appétit. Les sept garçon
is la fille de Tseriel. La fille de l’ogresse. Ma mère est allée à la
chasse
; elle ne reviendra qu'au coucher du soleil. Si t
ramiers se sont dispersés par les champs I Le chrétien leur donne la
chasse
Et les égorge par les chemins. O Dieu, n'aurez-vo
champ miraculeux était celui de l’Ogresse Tseriel. Elle revint de la
chasse
dans l’après-midi et trouva l’âne qu’elle avala,
eux clairs. Toi pioche, et moi je halèterai. Le mari est un bâton qui
chasse
les chiens, Une barrière qui arrête les voleurs.
u mal, de la laideur et du danger, mais avec un goût prononcé pour la
chasse
. Devenu adolescent, il alla de champ en champ et
son mari avait coutume de rentrer. Mehend revenait tout joyeux de la
chasse
. Il rapportait beaucoup de gibier. Mais il trouva
n enjouement et persuada son époux de retourner dès le lendemain à la
chasse
. Et elle s’ingénia à l’y faire aller plusieurs ma
urtant laissée bien portante et joyeuse lorsque je suis parti pour la
chasse
. Elle répondit dans un souffle : — Si tu m’aimes,
tivement revenus. Mais un matin que le jeune mari était retourné à la
chasse
, l’Ogre dit à sa belle compagne : — Ecoute, toi e
animal avait pour habitude de se lever dès l’aube et de partir ià la
chasse
pour ne rentrer qu’à la nuit. Alors, il ranimait
son père : — Noble sultan, mon père, j’aimerais sortir et aller à la
chasse
. — C’est bien, mon fils, répondit le sultan. Et i
te. Il approcha de la tente et dit d’une voix forte : — Donnez-moi ma
chasse
I Une jeune fille se montra, plus belle que lune