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1 (1966) Le grain magique
les sept frères : on leur indiqua leur maison. Us étaient allés à la chasse ... Elles attendirent leur retour. Le soir, lorsqu
vant. Les sept frères purent retourner à leur passe-temps favori : la chasse . Leur sœur préparait les repas et tenait la maiso
plat qu’elle présenta à ses sept frères, lorsqu’ils rentrèrent de la chasse . Tous mangèrent de grand appétit. Les sept garçon
is la fille de Tseriel. La fille de l’ogresse. Ma mère est allée à la chasse ; elle ne reviendra qu'au coucher du soleil. Si t
ramiers se sont dispersés par les champs I Le chrétien leur donne la chasse Et les égorge par les chemins. O Dieu, n'aurez-vo
champ miraculeux était celui de l’Ogresse Tseriel. Elle revint de la chasse dans l’après-midi et trouva l’âne qu’elle avala,
eux clairs. Toi pioche, et moi je halèterai. Le mari est un bâton qui chasse les chiens, Une barrière qui arrête les voleurs.
u mal, de la laideur et du danger, mais avec un goût prononcé pour la chasse . Devenu adolescent, il alla de champ en champ et
son mari avait coutume de rentrer. Mehend revenait tout joyeux de la chasse . Il rapportait beaucoup de gibier. Mais il trouva
n enjouement et persuada son époux de retourner dès le lendemain à la chasse . Et elle s’ingénia à l’y faire aller plusieurs ma
urtant laissée bien portante et joyeuse lorsque je suis parti pour la chasse . Elle répondit dans un souffle : — Si tu m’aimes,
tivement revenus. Mais un matin que le jeune mari était retourné à la chasse , l’Ogre dit à sa belle compagne : — Ecoute, toi e
animal avait pour habitude de se lever dès l’aube et de partir ià la chasse pour ne rentrer qu’à la nuit. Alors, il ranimait
son père : — Noble sultan, mon père, j’aimerais sortir et aller à la chasse . — C’est bien, mon fils, répondit le sultan. Et i
te. Il approcha de la tente et dit d’une voix forte : — Donnez-moi ma chasse I Une jeune fille se montra, plus belle que lune
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
stoit d’une autre famille que la princesse endormie, estant allé à la chasse de ce costé-là, demanda ce que c’estoit que des t
s bien persuadée, et, voyant qu’il alloit presque tous les jours à la chasse , et qu’il avoit toûjours une raison en main pour
emeura huit jours entiers. Ce n’estoit que promenades, que parties de chasse et de pesche, que danses et festins, que collatio
deux ou trois mois, à porter de temps en temps au roy du gibier de la chasse de son maistre. Un jour qu’il sceut que le roy de
e sauver dans la forest prochaine. Le fils du roi, qui revenoit de la chasse , la rencontra, et, la voyant si belle, luy demand
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