s’approcher de la fontaine. Elle la laissa remplir ses outres et les
charger
sur les ânes. Et puis elle s'avança pour la tuer
Nous reviendrons quand tu voudras, répondit le Crapaud. La Grenouille
chargea
en soupirant le couffin de laine sur son dos et i
ut, portant des légumes, des fruits et du gibier car, lorsqu'il était
chargé
, il ne rampait pas I Le serpent déjeuna, fit la s
, l’envoyaient leur cueillir des légumes et des fruits. Elle revenait
chargée
de raisins, de figues, de pêches et de poires et
lus secrète, celle qui ouvrait non sur la rue mais sur le ciel, et il
chargea
ses serviteurs les plus fidèles de veiller jalous
la chambre nuptiale, assise sur de moelleux tapis, ses mains blanches
chargées
de bagues. Ce fut Mehend qui apparut, suivi du je
sultan lui donna une escorte de choix et une longue caravane de mules
chargées
d’un trousseau splendide et d’innombrables présen
l'ai conté à des Seigneurs. Chant d'bxil Le train parcourt la plaine,
Chargé
de vin et de salades. Ma mère, ma mère, je suis u
suis un exilé, Laisse-moi m’en retourner. Le train longe la rivière,
Chargé
de vin et de pavots. Ma mère, ma mère, je suis un
se mais leurs couffins étaient pleins. Comme ils se disposaient à les
charger
sur leur âne, ils ne trouvèrent de l’âne que les
orte ! recommanda-t-il à son frère. L’Innocent arracha la porte et la
chargea
sur son dos. Us traversèrent la cour et se trouvè
e en soufflant, se sépara de la pierre pour déraciner l’olivier et le
charger
sur son dos. Le Subtil courait toujours. Il attei
lle prie. Chant de méditation Je suis semblable, ma mère, A une veuve
chargée
d'enfants. Eux, comme des grappes, sont pendus à
couvert de fruits I Dis-moi, le jeune homme S'est-il embarqué? Mûrier
chargé
de mûres Que mon cœur l'oublie I Demande au bien-
s. Dans son ivresse de cueillir, elle en mit jusque dans son corsage.
Chargée
comme un baudet, Aîcha atteignit avec peine le re
asse le Porteur d’eau qui revenait de la fontaine entre ses deux ânes
chargés
. Il dit : — Qu’as-tu, Dame Puce? — Ce que j’ai ?
l s’était efforcé de rompre désespérément. Le sultan ordonna qu’on le
chargeât
sur un mulet et qu’on le menât en pleine forêt po
ger tout à Theure, est-il si lourd maintenant? › Elle réussit enfin à
charger
l’outre sur son dos. Elle fit quelques pas, mais
rent du bois et firent deux fagots. Comme la mère se baissait pour en
charger
un sur son dos, le fils l’assomma d'un coup de co
ais le mendiant prit l’écuelle encore chaude qu’il posa sur le seuil,
chargea
sur ses épaules la fillette et s’envola avec elle
avec moi de tant de délices t Yamina rentra dans son palais les bras
chargés
de fleurs, abandonnant le jardin au crépuscule. E
pplia mais en vain. Il la prit une dernière fois dans ses bras. Il la
chargea
sur son épaule et l’emporta à travers la pluie et