lustrer tes récits, et ces chants que ta voix m'a appris patiemment à
chanter
sur ces monodies vénérables, qui se meurent aujou
monodies berbères au nombre de quatre-vingt-quinze sur lesquelles se
chantent
, dans la langue, les poèmes (toute poésie chez no
s se chantent, dans la langue, les poèmes (toute poésie chez nous est
chantée
, et non récitée), ces monodies millénaires, au di
jeune fille refusa. Dès qu’elle eut atteint un rocher, elle se mit à
chanter
d’une voix plaintive : ‹ Elève-toi, élève-toi, ro
e d’orge. A peine arrivée sur la hauteur, la jeune fille se mettait à
chanter
d’une voix plaintive, entourée des sept chameaux
as mangées et qui formaient une pile sur une pierre. Et il l'entendit
chanter
d’une voix plaintive : ‹ Elève-toi, élève-toi roc
e-toi sur le mur d’enceinte Et conte-lui ma peine Dis-lui : ‹ Ta mire
chante
et pleure. » Oiseau, sois vif comme le vent. Toi
il déçoit. Marche en suivant tes pieds Non en suivant tes yeux. Qui a
chanté
tes louanges, ô jeune épousée ? — C’est ma mère,
lle et le Crapaud dînèrent paisiblement. Quand ils eurent fini, l’eau
chantait
. La Grenouille y jeta de la cendre et mit la lain
iseaux des îles firent leur apparition à toutes les fenêtres. Le ciel
chantait
à pleine voix : « Soumicha, notre princesse, est
eine porta-t-il la flûte à sa bouche qu’une voix cristalline sc mit à
chanter
: ‹ O berger, pourquoi me réveiller?... Depuis di
de son triste destin. Mais le pays tout entier, informé par la flûte,
chanta
la mort tragique d’Hacène, l’adolescent que Dieu
nt-ils jusqu’ au printemps. L’abeille se mit à bourdonner, l’oiseau à
chanter
; c’était la saison des fèves. Le père dit aux en
oiseau qui s’échappa du linge, un matin, pour se poser sur le toit et
chanter
: Ma mère m’a égorgé, égorgé... Mon père m’a mang
voix sombre. C'est alors que l'oiseau se posa sur le toit et se mit à
chanter
: Ma mère m’a égorgé, égorgé... Mon père m’a mang
t. Il se leva, terrible, et marcha vers la femme. Mais alors l’oiseau
chanta
à nouveau, avec la douce voix de l’enfant : Garde
dans sa gorge. Au bout de deux jours, l’Ogre se rendit à la masure et
chanta
: — Ouvre-moi la porte, ô mon père Inoubba, ô mon
n jardin, un jardin de montagne où poussaient toutes les fleurs et où
chantaient
, sur des arbres fruitiers, tous les oiseaux. Dans
ui font mûrir les figues I Proverbe Et toi, mon cœur, comment oses-tu
chanter
Qui te trouves sur un tas de fumier ? Chant de mé
de hâte à atteindre ce village de leur mère, derrière la montagne, où
chantaient
les flûtes et battaient les tambours. Que de verg
de douceur), Noël (Sâdi le petit oiseau), qui par leur mort ont fait
chanter
ma mère, Marguerite Fadhma Aith Mansour, lui donn
ines mûriront les blés Et les fellahs n'auront plus faim. Les oiseaux
chanteront
encore Dans les arbres, entre les feuilles. Les a
lle flexible ; Sâdi, le petit oiseau Qui sur les branches d’un pêcher
Chantait
du matin à la nuit, Et Mohand, le lion Qui a emme