re un homme heureux : il possédait une maison, une femme, de nombreux
champs
et toutes sortes de biens et de richesses. Mais u
épouse sa fille. Tombe la pluie Dans la brume et le vent O maître du
champ
, Œil de tourterelle ! Proverbes Le travail à troi
l’orge et le blé, à l'époque des moissons, et elle allait glaner aux
champs
. L’été, ceux qui possédaient des jardins de monta
nts. Quelques-uns la secondaient et venaient parfois la retrouver aux
champs
. Les autres, elle les laissait à la garde de l'aî
— Suis-les demain, et reviens me dire ce qu’ils auront mangé dans les
champs
. Elle remit à l'enfant deux œufs durs et une gale
ils se reposèrent un peu. Et puis ils jouèrent à cache-cache dans les
champs
. A l’heure du déjeuner, Djohra tira d’un petit co
traversa les fleuves, gravit les monts. Il tua des serpents dans les
champs
, des oiseaux en plein ciel et des fauves dans les
elui qui a un agneau lui prépare un lien. Chant de danse Le pêcher du
champ
à l’ombre, Ensemble allons cueillir ses fruits. L
her au bord du fleuve. Ses pêches mûrissent à l’automne. Le pêcher du
champ
à l’ombre, Le coeur refuse de l'oublier. Le pêche
à par hasard, comprit que son crime était découvert. Il quitta sur le
champ
le village pour n'y plus jamais revenir. Nul ne c
religieux Abdel Kader Djilali, Tes ramiers se sont dispersés par les
champs
I Le chrétien leur donne la chasse Et les égorge
vait laissé des biens. Dès qu'ils le purent, les enfants allèrent aux
champs
et gardèrent les troupeaux. Us vécurent sans souc
autre : — Cette vie me déplaît. Me rendre, le matin, de la maison aux
champs
et, le soir, des champs à la maison, non I Je sui
éplaît. Me rendre, le matin, de la maison aux champs et, le soir, des
champs
à la maison, non I Je suis las des prairies et du
homme alors prit son sabre à deux mains et la fit voler au loin. Les
champs
furent à nouveau irrigués. Et les femmes purent s
ain, Ahmed dit : — Ma mère m’appelle. Je la sens dans la peine et nos
champs
et nos bêtes m’attendent. — Moi aussi j’ai le mal
e, sur sa jument bleue, partageait leur joie. Le soleil baissait. Des
champs
de figuiers et d’oliviers bordaient le chemin qu’
: — Maintenant, c’est vous qui travaillerez pour nous. Vous irez aux
champs
à notre place et vous sèmerez des petits pois et
remit des pioches et leur dit : — Vous connaissez où se trouve notre
champ
?... Vous le piocherez d’abord et puis vous le fu
ent aussi les petits pois. Et puis ils s’étendirent au soleil dans le
champ
. Quand il ne leur resta plus une seule fève ni un
ez-vous fait ? 'Us répondirent : — Nous avons commencé par le haut du
champ
. Nous avons tracé des sillons, et nous descendron
us les jours un peu plus vers la rivière. Les enfants se rendirent au
champ
plusieurs matins en suivant. Mais au lieu de le p
répondirent : — Des fèves ? Nous en avons semé jusqu'à la rivière. Le
champ
de fèves atteindra sûrement la riv'ère. Quant à c
s. Le père dit aux enfants : — Nos fèves doivent être mûres. Allez au
champ
nous en rapporter quelque peu. Us y allèrent mais
rent mais pour dire au retour : — Elles ne sont pas encore mûres : le
champ
est exposé à l'ombre. Au mois de mai, toutes les
er, à rouler. Us le suivirent et se trouvèrent bientôt au milieu d’un
champ
, un champ I... Jamais, non, jamais ils n’avaient
er. Us le suivirent et se trouvèrent bientôt au milieu d’un champ, un
champ
I... Jamais, non, jamais ils n’avaient vu pareill
ngeant, de pleins tamis qu’ils déversaient dans leurs couffins. Or ce
champ
miraculeux était celui de l’Ogresse Tseriel. Elle
— Nous avons échappé à Tseriel, dit l’Innocent. Nous étions dans son
champ
en train d’écosser de grosses fèves. Elle a mangé
petit garçon, poussa la porte et entra. Il venait de courir dans les
champs
et de boire à la source. Il était rose et tout es
s avec un goût prononcé pour la chasse. Devenu adolescent, il alla de
champ
en champ et de bois en bois, le fusil sur l’épaul
goût prononcé pour la chasse. Devenu adolescent, il alla de champ en
champ
et de bois en bois, le fusil sur l’épaule, au gré
laine, en plaine et en montagne. Ils firent une ■courte halte dans un
champ
de figuiers ; une source y coulait : ils s’en app
tiendra la maison tandis que tu soigneras les bêtes et cultiveras les
champs
. Ils restèrent et vécurent heureux et paisibles p
leur avait pourtant laissé tout ce qu'elle possédait : sa maison, ses
champs
d’oliviers et de figuiers, sa portion de forêt et
ait un matin. La jeune femme et la jeune fille se trouvaient dans les
champs
; elles traversaient un pré, lorsque chacune d’el
lier l'aimait. Il l'épousa. Il était riche ; il possédait de nombreux
champs
d’oliviers et de figuiers, des bois, des vignoble
Tu as bien entendu ? Reskia guetta son frère. Elle le vit revenir des
champs
à la tombée de la nuit et se diriger vers sa mais
la rendre Aussi folle que je suis fou, Et nous prendrons la voie des
champs
! Proverbes L’exil est frère de la mort. C'est ma
ucis, En retour t’en raconte un sac. Qui a bonne langue A mieux qu’un
champ
d'oliviers. HISTOIRE DU VIEUX LION ET DU VOL D
emi. Procure-toi une bête bien grasse, tue-la et abandonne-la dans un
champ
où les chacals ont coutume de venir. Cache-toi et
barrassât d’elles. Les plus grandes pourtant aidaient aux travaux des
champs
, menaient paître les troupeaux, ramassaient l’her
les tambours. Que de vergers de figuiers elles traversèrent et que de
champs
d’oliviers ! Que de troupeaux elles rencontrèrent
it qu’elle était mobile. Elle en trouva le secret et prit la clef des
champs
. Qui dira son émerveillement devant le petit ruis
dès l'aube en pèlerinage. Le lieu saint éblouissait parmi l'herbe des
champs
. Tandis qu’en approchait le sultan, un ange s'en
r de sa venue et nous traite sa ’.s ég rds, nous allons partir sur le
champ
. Et quand il arrivera, il trouvera du vent ! Roun
s de ma sœur chérie que tu viens de nommer I Mène-moi vers lui sur le
champ
, afin que je sois la première à le saluer et à le
avoir goûté à un reste de viande, un pauvre mendiant est mort sur le
champ
: nous l’avons vu devenir tout noir et tournoyer
rêt. Il marcha, il marcha longtemps. Lorsqu’il se vit devant de beaux
champs
labourés, il s’arrêta pour souffler un peu. Un vi
, c’est Dieu qui t’envoie, car nous sommes seuls ma femme et moi. Nos
champs
sont vastes, tu les cultiveras pour nous et à not
onte le miracle du Foie du Capuchon. Chant db méditation J’ai semé un
champ
dans la plaine Et non dans la pierraille, Et j'ai
é une raison de se tourmenter. Il a mangé la semence comme un mauvais
champ
. Il se plaignait d'un mal : Un plus grand mal fon
ns leur sagesse, ne s’en étaient pas plaints. Le père travaillait ses
champs
avec ardeur. La mère, pour habiller son monde, fi
aient le plus souvent les repas. Les garçons aidaient aux travaux des
champs
et menaient paître, l’été, les troupeaux dans la
les délices qu’elle venait de quitter. Elle prit part aux travaux des
champs
. Elle se rendit & la fontaine, la cruche sur