la maison des sept frères. La jeune fille dut la servir et mener les
chameaux
au pâturage. La négresse lui donnait chaque matin
ne fille se mettait à chanter d’une voix plaintive, entourée des sept
chameaux
confiés à sa garde : ‹ Elève-toi, élève-toi roche
arents I La négresse & la maison demeure Moi, je suis gardeuse de
chameaux
, Pleurez, chameaux, comme je pleure ! › Elle posa
e & la maison demeure Moi, je suis gardeuse de chameaux, Pleurez,
chameaux
, comme je pleure ! › Elle posait sur une pierre l
t sur une pierre la galette d’orge et se laissait mourir de faim. Six
chameaux
l'imitaient et pleuraient avec elle. Le septième
ème seul, qui était sourd, se nourrissait et profitait. Aussi les six
chameaux
devinrent-ils maigres comme des dous. Un jour, le
? Depuis que cette servante est là, elle ne fait que dépérir. Et les
chameaux
dépérissent comme elle. Il doit y avoir une raiso
écéder la jeune fille un matin, de gagner l’endroit où paissaient les
chameaux
et de se cacher non loin de là. H vit alors la je
es parents I La négresse à la maison demeure Moi, je suis gardeuse de
chameaux
, Pleurez, chameaux, comme je pleure I › Le plus j
resse à la maison demeure Moi, je suis gardeuse de chameaux, Pleurez,
chameaux
, comme je pleure I › Le plus jeune des frères sor
. Us consultèrent donc le Vieux Sage. Ils lui racontèrent comment les
chameaux
dépérissaient et comment ils pleuraient ; comment
dras. Le jeune homme tua le fauve (c’était une panthère), choisit une
chamelle
et dit aux chameliers : — Gardez-la moi, je revie
age. Des chameliers s’élancèrent pour lui annoncer joyeusement : — Ta
chamelle
et tes chamelons t’attendent I Mais il passa deva
virent les monts. Et puis des chameliers les aperçurent : — Où est ma
chamelle
? leur cria Mehend. Us la lui amenèrent, entourée