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1 (1966) Le grain magique
l lui disait : ‹ Ne pleure plus, ma mère. Tourne tes regards vers ces cavaliers . En est-il un, parmi eux, Qui ne descende un jour
Le jour de son départ, sur sa jument bleue, Il était tout joyeux. Les cavaliers suivaient un chemin de montagne, Et sa beauté rej
précipita sans un mot. Elle appela et pleura d'abord en vain. Mais un cavalier vint & passer qui revenait d’un marché voisin
bien-aimé me jette dans ce trou en pleine forêt et m’y abandonne I Le cavalier la regarda, la regarda longuement en silence. Et
ufs de serpent. — Et que puis-je faire pour l'en délivrer? demanda le cavalier . — Donne-lui à manger force grillades que tu sale
uit de l’eau les serpents accourent et tombent l'un après l’autre. Le cavalier ramena Reskia chez lui et lui donna autant de gri
e eau à grand bruit. Sept serpents y tombèrent l’un après l’autre. Le cavalier continua d’agiter l’eau. Mais, ne voyant pas d'au
ensuite et ses lourds cheveux qui la couvraient jusqu’à la taille. Le cavalier l'aimait. Il l'épousa. Il était riche ; il posséd
s un mot. Elle pleura. Elle pleura et appela d'abord en vain. Mais un cavalier vint à passer qui revenait d’un marché voisin : c
el. Elle m’a lancé cette bague avec ces mots : ‹ Donne cette bague au cavalier qui te demandera de mes nouvelles ›. Le prince mi
n’es-tu pas heureuse auprès de moi? Mais elle lui montra au loin des cavaliers qui arrivaient et murmura craintivement : — Ils n
i qui ne le quittait ni jour ni nuit, attendaient avec leur sabre les cavaliers du sultan. Sans doute les anges guerriers du ciel
mendient. Ils sont repus : ils prennent un poignard. Regarde vers ces cavaliers : En est-il un, parmi eux, Qui ne descende un jou
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir ? — Je vois, répondit-elle, deux cavaliers qui viennent de ce costé-cy, mais ils sont bien l
euë s’arresta tout court. On ouvrit, et aussi tost on vit entrer deux cavaliers , qui, mettant l’épée à la main, coururent droit à
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