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1 (1966) Le grain magique
u monde je vous avais chassés de notre maison. Settoute — que Dieu la brûle I — vous a trompés. Et maintenant me voici ! Dois
Sa main pour pelle à cendre. Ils égorgèrent donc la négresse. Ils la brûlèrent et répandirent ses cendres dehors. Puis ils rappo
nfants dormaient. La hutte était plongée dans la pénombre. Le feu qui brûlait au centre l’éclairait faiblement et la lampe posé
remplit de braise, ramassa des branchages et courut au cimetière pour brûler la tombe. Pour frustrer les orphelins de ce que l
es orphelins de ce que la providence leur avait octroyé. Aîcha la vit brûler la tombe. Aicha avait grandi ; elle était mainten
tir de l’adolescence. Elle dit à son jeune frère • — Puisqu’on nous a brûlé la tombe de notre mère, il ne nous reste plus que
un bâton, pénétra dans la pièce où était le malade. Au centre un feu brûlait sur lequel une marmite ne tarda pas à bouillir. E
e un autre... Elle mangeait avec tant de fièvre et si vite qu’elle se brûlait les doigts et la langue. Et si au moins sa gourma
Il pesa de toute sa force sur la porte qui résista. C’est ainsi qu'il brûla . L’année suivante, à l’endroit même où l'Ogre fut
t ainsi qu'il brûla. L’année suivante, à l’endroit même où l'Ogre fut brûlé , un chêne s'élança. On l’appela le ‹ Chêne de l’O
arni d’ailes et de cuisses de poulets. Autour d’eux, plusieurs lampes brûlaient . La jeune femme au cœur noir s’était parée pour c
vain, Comme qui flatterait un chat. Chant d’amour Voici que mon cœur brûle , D'un feu inextinguible, Et les eaux sont loin de
il eut fixé les cent queues, il s’éloigna et se mit à crier comme un brûlé : — Sauve qui peut ! le propriétaire de l'arbre e
n trou minuscule. L’enfant y colla vivement son œil et vit un feu qui brûlait au centre d’une grande pièce. Près de ce feu, sur
audacieuse qui s’introduisait chez lui pour manger ses provisions et brûler son bois. Lui, plus que jamais, exigeait de sa qu
oche est mort ! annoncèrent les sept filles d'une voix forte. Moche a brûlé vif dans son repaire I — Loué soit Dieu I s’écria
ssoupir qu'à l'aube. Cheminer sous la grêle et la pluie Et le gel qui brûle Quand on a, comme moi, connu tant de douceur I Je
nt à ses pieds, ordonna-t-il d'une voix sombre, afin que lentement il brûle et se souvienne de ses forfaits. « Père indigne,
s ? L’amour d'un garçon au teint clair Creuse et fait des ravages, Il brûle comme un tison. Que l'élu donc se révèle, Qu'il a
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