ez nous ont lancée vers le ciel, à ton intention, comme une graine de
bonheur
: ‹ Va, ma fille, Dieu fasse que ton soleil perce
sa forme humaine et que sa sœur et lui connurent enfin la paix et le
bonheur
. Mon conte est comme un ruisseau, je l’ai conté à
ée. Et la femme-arbrisseau pleura le jeune homme qu’elle aimait et le
bonheur
qui l’avait fuie. Mais voyant tomber le corps bie
e le pigeon et la colombe. Quand le ciel leur donna un héritier, leur
bonheur
ne connut plus de bornes. Mehend choisit le jour
r tes chevreaux I Il répondit : — Je reviendrai. Et il pensa : ‹ Quel
bonheur
! mon frère est donc passé par là. › Plus loin, i
aujourd'hui est le jour de nos noces I Ils vécurent un temps dans le
bonheur
et la prospérité. Mais un jour que Mehend était a
l’abandonner à la grande joie de Mehend qui put croire la paix et le
bonheur
définitivement revenus. Mais un matin que le jeun
sœur vivaient unis et heureux. Mais la sœur voulut pour son frère un
bonheur
encore plus parfait. Elle le maria et la jeune ép
a pensait, en promenant ses regards autour d’elle : ‹ Quel va être le
bonheur
de mes sœurs lorsque je leur révélerai l’existenc
ée vers l’Orient. Mais voilà qu’un beau jour, il voulut associer à ce
bonheur
son père le sultan. Voilà qu’il voulut lui offrir
ce que tu n’as pas craint de venir à moi par ce temps, j’ai voulu ton
bonheur
et je t’ai emmenée. Tu vas vivre au cœur même du
journées lui semblaient longues. Elle n’avait plus conscience de son
bonheur
. Elle errait aussi belle que lune en plein ciel,
pas. Il se pencha et dit dans un souffle : — Pourquoi pleures-tu ? Ce
bonheur
ne te suffit-il plus ?... — Je voudrais revoir ma
ois, jour pour jour, je viendrai te chercher. Je te ramènerai vers ce
bonheur
qu’aujourd’hui tu dédaignes mais que, demain, tu
temps bienheureux de l’enfance. Durant trente jours, Yamina connut le
bonheur
d’autrefois sans regretter un instant les délices