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1 (1966) Le grain magique
lanches. Prends garde de te baigner dans la fontaine des noires ou de boire de son eau I Tu serais changée en négresse I La j
entrer, entre. Il dit : — J’y consens. Et il entra. Elle lui donna à boire et à manger. Et puis, comme la nuit tombait, elle
t des fruits : ils n’en laissèrent pas un seul dans la corbeille. Ils burent à une source, dans le creux de leur main. Et puis
pas revenir en arrière. Tu es revenue et tu m’as surpris en train de boire du sang. Tu m’as humilié et je t’ai dit : ‹ Tu t’
im. La fillette et le petit garçon emmenaient la vache au pâturage et buvaient de son lait. Chacun d’eux s’emparait d’une mamell
lins mangèrent leur galette de son. Puis ils allèrent à la vache pour boire de son lait. Djohra observa mais n’approcha pas.
man, je sais maintenant pourquoi ils sont si blancs et si roses : ils boivent le lait de la vache ! — Tu feras comme eux, répon
aussi. Le lendemain, Dophra attendit que Aîcha et Ali eussent fini de boire pour s'approcher à son tour de la vache. Mais la
use de mon frère que je me suis enfuie devant tes sujets. Mon frère a bu l’eau d’une source et a été changé en gazelle. Le
le frère de ma jeune femme, répondit le sultan. Je ne sais ce qu'il a bu ou mangé qui l’a ainsi changé en gazelle. Alors,
r il était aussi magicien), prononça quelques paroles magiques et fit boire un peu de cette eau à la gazelle. Et puis il l’en
ette de 'blé, des figues, des dattes et une gourde de petit-lait. Ils burent et mangèrent, mangèrent et burent et s’étendirent
es et une gourde de petit-lait. Ils burent et mangèrent, mangèrent et burent et s’étendirent sur des nattes. Lorsqu’ils furent
ne sourit, et dépérit sans cesse. Pourtant elle mange ; pourtant elle boit . Mais tout ce qu’elle avale, au lieu de lui profi
e faucon bienveillant. (Il n’est pas d'autre Dieu qu'Allah.) Ceux qui boivent dans sa main Ne seront pas impatients. (Il n’est
erture glisse, Veillez à ce qu’elle ne traîne. L’enfant pour qui j’ai bu du fiel Dort, abandonné. Sa couverture glisse, Ve
, poussa la porte et entra. Il venait de courir dans les champs et de boire à la source. Il était rose et tout essoufflé. Ell
érait le lit. Puis elle servait au vieillard son repas, lui versait à boire . Après s’être longuement attardée près de lui, el
mme ferait un nouveau-né. Elle te dira avec rage : «Ah, si tu n’avais bu de mon lait, je t’eusse avalé et j’eusse avalé 'u
j’eusse avalé 'usqu’à la terre que tu as foulée ! Mais puisque tu as bu de mon lait, que puis-je pour toi?» Alors, tu lui
he sur l’un de ses seins. Elle s'écria : — Malheureux ! si tu n'avais bu de mon lait, je t’eusse avalé et j’eusse avalé ju
ne manque surtout pas de lui déclarer : ‹ Je veux que tu me donnes à boire l’eau des plus hauts glaciers. L’eau pour laquell
Si tu m’aimes, si tu tiens à me voir sourire et marcher, donne-moi à boire l’eau pour laquelle se battent les monts. Mehend
tager une galette de blé si blonde qu'elle répandait de la lumière et boire une terrine de lait. Et puis la jeune femme prépa
e que sa femme et que sa fille. Lui seul en approchait, lui donnait à boire et à manger, fl avait dit et répété à son entoura
champ de figuiers ; une source y coulait : ils s’en approchèrent pour boire dans le creux de leurs mains. Et Reskia dit : — O
nger force grillades que tu saleras exagérément et ne lui donne pas à boire , car toute cette viande est destinée aux serpents
de loin en loin sous des arbres ou au bord d’un ruisseau pour manger, boire et se reposer. Le village de l’oncle était tout p
préoccupées de ne pas froisser leurs beaux atours. Elles mangèrent et burent et se remirent en marche à peine reposées, tant e
ue de provisions I Aicha alluma le feu et les orphelines mangèrent et burent , burent et mangèrent avec une joie nouvelle. Et A
ovisions I Aicha alluma le feu et les orphelines mangèrent et burent, burent et mangèrent avec une joie nouvelle. Et Aicha pen
ce en fût informé, car il craignait de le voir en perdre à nouveau le boire et le manger. Il fit même discrètement savoir à s
sa. Il faisait un soleil à tuer les ânes : Tseriel, l’ogresse, allait boire au ruisseau qui arrosait le pied du figuier. Elle
dh mangeait et 'dormait, dormait et mangeait. L’ogresse lui donnait à boire par un petit guichet. Au bout d’une quinzaine de
d appétit. Velâjoudh versait la sauce, servait la viande, apportait à boire , veillait à tout. Les ogresses lui dirent : — Vie
ancs De ses cheveux et de sa barbe. Aussi je fais vœu de ne jamais te boire , Ô vin, Aujourd’hui que j’ai vu Jusqu’aux poulets
'amour d'une mère est d'autant plus fort que cette mère a souffert et bu du fiel pour son enfant, et par son enfant ?... M
L’ambre de son cou est si clair Qu'il devient transparent quand elle boit . L’on croit y voir l’eau courir. Ses mains sont t
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
y receut encore avec plaisir les deux perdrix, et luy fit donner pour boire . Le Chat continua ainsi, pendant deux ou trois mo
fontaine, il vint à elle une pauvre femme qui la pria de luy donner à boire . « Ouy da, ma bonne mere », dit cette belle fille
ntaine et la lui presenta, soûtenant toûjours la cruche, afin qu’elle bût plus aisément. La bonne femme, ayant bû, luy dit
r de l’eau à la fontaine, et, quand une pauvre femme vous demandera à boire , luy en donner bien honnestement. — Il me feroit
ortir du bois une dame magnifiquement vestuë, qui vint luy demander à boire . C’estoit la même fée qui avoit apparu à sa sœur,
suis icy venuë, luy dit cette brutale orgueileuse, pour vous donner à boire ! Justement j’ai apporté un flacon d’argent tout
! Justement j’ai apporté un flacon d’argent tout exprés pour donner à boire à Madame ! J’en suis d’avis : beuvez à même si vo
quatre porcelaines sur le bord d’une cheminée sans en casser une, ny boire un verre d’eau sans en répandre la moitié sur ses
nt manger tant ils estoient saisis de peur. Pour l’Ogre il se remit à boire ravis d’avoir de quoy si bien regaler ses Amis. I
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