lanches. Prends garde de te baigner dans la fontaine des noires ou de
boire
de son eau I Tu serais changée en négresse I La j
entrer, entre. Il dit : — J’y consens. Et il entra. Elle lui donna à
boire
et à manger. Et puis, comme la nuit tombait, elle
t des fruits : ils n’en laissèrent pas un seul dans la corbeille. Ils
burent
à une source, dans le creux de leur main. Et puis
pas revenir en arrière. Tu es revenue et tu m’as surpris en train de
boire
du sang. Tu m’as humilié et je t’ai dit : ‹ Tu t’
im. La fillette et le petit garçon emmenaient la vache au pâturage et
buvaient
de son lait. Chacun d’eux s’emparait d’une mamell
lins mangèrent leur galette de son. Puis ils allèrent à la vache pour
boire
de son lait. Djohra observa mais n’approcha pas.
man, je sais maintenant pourquoi ils sont si blancs et si roses : ils
boivent
le lait de la vache ! — Tu feras comme eux, répon
aussi. Le lendemain, Dophra attendit que Aîcha et Ali eussent fini de
boire
pour s'approcher à son tour de la vache. Mais la
use de mon frère que je me suis enfuie devant tes sujets. Mon frère a
bu
l’eau d’une source et a été changé en gazelle. Le
le frère de ma jeune femme, répondit le sultan. Je ne sais ce qu'il a
bu
ou mangé qui l’a ainsi changé en gazelle. Alors,
r il était aussi magicien), prononça quelques paroles magiques et fit
boire
un peu de cette eau à la gazelle. Et puis il l’en
ette de 'blé, des figues, des dattes et une gourde de petit-lait. Ils
burent
et mangèrent, mangèrent et burent et s’étendirent
es et une gourde de petit-lait. Ils burent et mangèrent, mangèrent et
burent
et s’étendirent sur des nattes. Lorsqu’ils furent
ne sourit, et dépérit sans cesse. Pourtant elle mange ; pourtant elle
boit
. Mais tout ce qu’elle avale, au lieu de lui profi
e faucon bienveillant. (Il n’est pas d'autre Dieu qu'Allah.) Ceux qui
boivent
dans sa main Ne seront pas impatients. (Il n’est
erture glisse, Veillez à ce qu’elle ne traîne. L’enfant pour qui j’ai
bu
du fiel Dort, abandonné. Sa couverture glisse, Ve
, poussa la porte et entra. Il venait de courir dans les champs et de
boire
à la source. Il était rose et tout essoufflé. Ell
érait le lit. Puis elle servait au vieillard son repas, lui versait à
boire
. Après s’être longuement attardée près de lui, el
mme ferait un nouveau-né. Elle te dira avec rage : «Ah, si tu n’avais
bu
de mon lait, je t’eusse avalé et j’eusse avalé 'u
j’eusse avalé 'usqu’à la terre que tu as foulée ! Mais puisque tu as
bu
de mon lait, que puis-je pour toi?» Alors, tu lui
he sur l’un de ses seins. Elle s'écria : — Malheureux ! si tu n'avais
bu
de mon lait, je t’eusse avalé et j’eusse avalé ju
ne manque surtout pas de lui déclarer : ‹ Je veux que tu me donnes à
boire
l’eau des plus hauts glaciers. L’eau pour laquell
Si tu m’aimes, si tu tiens à me voir sourire et marcher, donne-moi à
boire
l’eau pour laquelle se battent les monts. Mehend
tager une galette de blé si blonde qu'elle répandait de la lumière et
boire
une terrine de lait. Et puis la jeune femme prépa
e que sa femme et que sa fille. Lui seul en approchait, lui donnait à
boire
et à manger, fl avait dit et répété à son entoura
champ de figuiers ; une source y coulait : ils s’en approchèrent pour
boire
dans le creux de leurs mains. Et Reskia dit : — O
nger force grillades que tu saleras exagérément et ne lui donne pas à
boire
, car toute cette viande est destinée aux serpents
de loin en loin sous des arbres ou au bord d’un ruisseau pour manger,
boire
et se reposer. Le village de l’oncle était tout p
préoccupées de ne pas froisser leurs beaux atours. Elles mangèrent et
burent
et se remirent en marche à peine reposées, tant e
ue de provisions I Aicha alluma le feu et les orphelines mangèrent et
burent
, burent et mangèrent avec une joie nouvelle. Et A
ovisions I Aicha alluma le feu et les orphelines mangèrent et burent,
burent
et mangèrent avec une joie nouvelle. Et Aicha pen
ce en fût informé, car il craignait de le voir en perdre à nouveau le
boire
et le manger. Il fit même discrètement savoir à s
sa. Il faisait un soleil à tuer les ânes : Tseriel, l’ogresse, allait
boire
au ruisseau qui arrosait le pied du figuier. Elle
dh mangeait et 'dormait, dormait et mangeait. L’ogresse lui donnait à
boire
par un petit guichet. Au bout d’une quinzaine de
d appétit. Velâjoudh versait la sauce, servait la viande, apportait à
boire
, veillait à tout. Les ogresses lui dirent : — Vie
ancs De ses cheveux et de sa barbe. Aussi je fais vœu de ne jamais te
boire
, Ô vin, Aujourd’hui que j’ai vu Jusqu’aux poulets
'amour d'une mère est d'autant plus fort que cette mère a souffert et
bu
du fiel pour son enfant, et par son enfant ?... M
L’ambre de son cou est si clair Qu'il devient transparent quand elle
boit
. L’on croit y voir l’eau courir. Ses mains sont t