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1 (1966) Le grain magique
fontaines. L’une est celle des négresses et l’autre celle des femmes blanches . Prends garde de te baigner dans la fontaine des
en vue les fontaines, la négresse se précipita vers l’eau des femmes blanches et s'y baigna. La jeune fille s’approcha de la fo
cissait la peau de la négresse. Lorsque la négresse fut devenue toute blanche , elle se tourna vers sa compagne et lui dit avec
à ma mère. La négresse qui, elle, s’est baignée dans l’eau des femmes blanches est devenue blanche et je suis devenue noire. Mai
e qui, elle, s’est baignée dans l’eau des femmes blanches est devenue blanche et je suis devenue noire. Mais c’est moi qui suis
vraie négresse : ce sont ses cheveux. Sa peau aura beau être devenue blanche comme lait, ses cheveux seront restés crépus. La
. Puis ils rapportèrent à leur sœur de l’eau puisée à la fontaine des blanches . Elle se baigna. Son visage et son corps redevinr
pourpra. L’un dit : — Heureux celui qui épouserait une femme au teint blanc comme neige et vermeil comme sang ! L’autre répon
ondit : — Il n’y a que Loundja, la fille de Tseriel, qui soit ainsi : blanche comme neige et vermeille comme sang. ’ — Et où se
t : — Là-bas, très loin. Alorf, celui qui rêvait d’une femme au teint blanc comme neige et vermeil comme sang abandonna la pe
jeune fille se montra. Dieu seul avait pu la créer : son teint était blanc comme neige et vermeil comme sang. — J'ai perdu m
e rive. Tseriel.se réveilla tandis que fuyait la jeune fille au teint blanc comme neige et vermeil comme sang. L’ogresse appe
isse comme tu m’as trahie, Loundja I Le jeune homme et la jeune fille blanche comme neige et vermeille comme sang étaient déjà
na pour annoncer à tous : —Madame n’est pas une négresse ! Madame est blanche comme neige et vermeille comme sang I Tous accour
lle. Et elle dit au Crapaud : — Les flocons les plus soyeux, les plus blancs , je les emploierai pour ton burnous. Quant à la l
sur mon repas I — C’est ton seigneur le Gypaète, fils de gypaètes et blanc comme le lait. — Ah, vraiment? Si tu étais mon se
. — Ah, vraiment? Si tu étais mon seigneur le Gypaète des gypaètes et blanc comme le lait, t’aurais-je trouvé mangeant une ch
toi le Prophète. Dieu ne t'aurait point maudit. Après avoir été tout blanc , tu ne serais pas devenu tout noir et tu ne senti
n que mal, néanmoins. Les orphelins, de jour en jour, devenaient plus blancs et plus roses : leurs joues étaient comme des gre
a mère en rentrant : — Maman, je sais maintenant pourquoi ils sont si blancs et si roses : ils boivent le lait de la vache ! —
ment. Grâce aux roseaux, les orphelins qui avaient dépéri redevinrent blancs et roses. Leur marâtre se dit à nouveau : ‹ Les v
aussi les roseaux de la tombe pour avoir comme eux des joues roses et blanches . Ainsi fit Djohra le lendemain. Mais comme elle a
oux dans la chambre nuptiale, assise sur de moelleux tapis, ses mains blanches chargées de bagues. Ce fut Mehend qui apparut, su
aite dans le mur par l’os de gigot, une haute fenêtre toute de marbre blanc . Devant cette fenêtre, dans une énorme jarre, un
restait encore l’os de l’avant-bras. Un jeune berger remarqua cet os blanc comme craie et net dans le soleil, un jour qu’il
ient absolument : même chevelure blonde, mêmes yeux bleus, même teint blanc , même taille. L’un s’appelait Ahmed et l’autre Me
, vêtue très simplement. Elle sortit du palais, montée sur une jument blanche qui boitait un peu. Le lévrier partit le premier
ntôt, ils virent sur la route, à l’ombre d’un grand arbre, une jument blanche et ses poulains. Mehend reconnut son bien. Il s’e
ie, lorsqu’ils virent, le long d’un fossé plein de fleurs, une brebis blanche et douce, entourée d’une multitude d’agnelets. La
lissait sur eux. Tel une etoile, il resplendissait Dans ses vêtements blancs du Djérid. Comme sa mère pleurait en le voyant pa
e Celui qui rêve d'une toute jeune fille, A la chair tendre, au teint blanc comme lait, Prenne Aichoucha Lârbi Youssef. Mais
u le festin : il était vide maintenant. Seuls quelques os fragiles et blancs traînaient au fond : c’était là tout ce qui resta
éature si belle qu’on en bénissait Dieu qui l’avait créée. Elle était blanche et rose, lumineuse, et ses abondants cheveux la c
avant de répondre : — Crois-moi, je te le jure par cette barbe toute blanche et ce Dieu qui nous a créés, cette femme en veut
t le savetier. Comme qui frotterait un nègre Espérant qu'il deviendra blanc . J’ai mis en toi ma confiance, chacal, Et tu m’as
lui disait qu'il cheminait vers elle. Un soir d'été, un pauvre homme blanc de poussière et vêtu comme un mendiant se présent
s agréablement du monde et à lui conter son voyage au pays des Indes. Blanc de peur et de rage, le sultan l’écoutait à peine.
stueuse son trône splendide qu’entouraient les sept Notables comme de blancs ramiers. Une immense clameur s’éleva : c’étaient
z sa tante. Le lendemain, elle ramena Vetellis. Vetellis avait un œil blanc . La veille du grand jour, Tseriel se tourna vers
ces dans la sauce. Lorsque tout fut prêt, comme Vetellis avait un œil blanc , Velâjoudh, pour n’être pas reconnu, se mit un ba
u et s’enfuir. A cet instant, une ogrillonne en mangeant trouva l’œil blanc de Vetellis. Elle tira sa mère par le bras et lui
ans sa main, Il mirait d» près son visage, Arrachant un à un les fils blancs De ses cheveux et de sa barbe. Aussi je fais vœu
lerin, les rats revêtirent leurs vêtements les plus beaux : gandouras blanches , burnous du Djé- rid. Us se coiffèrent de hauts t
enterait. Et puis il fit sa toilette. H revêtit une djellabah de soie blanche , deux burnous blancs comme neige et s’entoura la
it sa toilette. H revêtit une djellabah de soie blanche, deux burnous blancs comme neige et s’entoura la tête du turban vert d
indre incident allumait d’interminables disputes. La mère disait-elle blanc , immédiatement la bru disait noir et, tiraillé en
servi sur des feuilles de bananiers et de figuiers. Devant le fromage blanc , les galettes, les beignets, le miel, les amandes
t si belle, de quel royaume ? Et comment es-tu là, toute droite et si blanche dans le petit jour? Qui t’a conduite ici, dans ce
s'est-il enfui sans que nos parents l’aient vu ? Est-il grand, est-il blanc comme neige ou noir comme corbeau ? Parle. Est-il
nie qui se détache et tombe. Mes cheveux sont semblables à une toison blanche , Mon sourire s'est flétri sur mes dents effondrée
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
ns qu’elle avoit dormi : sa peau estoit un peu dure, quoyque belle et blanche ; et le moyen de trouver dans la ménagerie une be
alla au bord d’un ruisseau où il emplit ses poches de petits cailloux blancs , et ensuite revint à la maison. On partit, et le
marchant il avoit laissé tomber le long du chemin les petits cailloux blancs qu’il avoit dans ses poches. Il leur dit donc, n
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