/ 2
1 (1966) Le grain magique
squ’à voir en elles les chants de l’Atlantide ou de l'Antique Egypte, attendaient — pour être fidèlement transcrites et mises à l’a
ù devait être délivrée leur mère, ils s’éloignèrent du village et ils attendirent , assis en rond. Settoute, la vieille sorcière, s’
: on leur indiqua leur maison. Us étaient allés à la chasse... Elles attendirent leur retour. Le soir, lorsqu'ils rentrèrent, la n
aigle l’a pris sous son aile et l’a enlevé en plein ciel ! * Le père attendit quelques jours dans l’espoir que l’aigle lâcherai
riches présents et une nouvelle servante fut engagée. Le jeune homme attendit la nuit pour dépouiller sa femme de la peau d’emp
r. (Il n’est pas d’autre Dieu qu'Allah.) Nous, c’est la mort qui nous attend . Les tombes seront notre refuge. (Il n'est pas d’
Lorsqu’elle eut mis la marmite sur le feu, il ne lui resta plus qu’à attendre . Au crépuscule, elle se porta à la rencontre de l
rbeille qu’il remplit de figues, de raisins et de mûres. Son épouse l’ attendait patiemment. Elle avait découvert une place à l’om
verras faire, fais-le pour engraisser toi aussi. Le lendemain, Dophra attendit que Aîcha et Ali eussent fini de boire pour s'app
ous un long voile de gaze étoilé d’or qui l’enveloppait tout entière, attendait patiemment son époux dans la chambre nuptiale, as
déjà un petit homme. Car elle voulait le préparer à la vie rude qui l’ attendait . Et puis, il faut le dire, elle n’était pas émerv
’un ravin. Abderahman descendit recouvrir le pauvre corps de terre et attendit la fin de l’orage pour rentrer à la maison. Comme
eu te procure des souliers. Le mendiant l’a mendié Un plus malheureux attend qu'il le lui offre. Comme une mouche sur une plai
d mon fils ! Il y a si longtemps que l’on me parle de toi et que je t’ attends ! Elle le saisit et l’avala. Elle avala aussi le
rent pour lui annoncer joyeusement : — Ta chamelle et tes chamelons t’ attendent I Mais il passa devant eux comme l’éclair. Il voy
tit pour chercher le cheval d’éclairs et de ver t et le lévrier qui l’ attendaient au jardin. La nuit trouva les deux frères, assis
mère m’appelle. Je la sens dans la peine et nos champs et nos bêtes m’ attendent . — Moi aussi j’ai le mal du pays, répondit Mehend
liviers bordaient le chemin qu’ils suivaient : une chèvre noire les y attendait ; autour d'elle broutaient des chevreaux plus bri
qui se coucha et fit mine de dormir. En réalité il épiait Tseriel. Il attendait que se missent à crier toutes les bêtes qu'elle a
teignit à l’aube la rivière mais n’osa la passer sans son frère. Il l’ attendit et le vit venir portant l’olivier. — Pourquoi, mo
ux temps anciens il était un pauvre vieux qui s’entêtait à vivre et à attendre la mort tout seul dans sa masure. Il habitait en
vora le pauvre vieux. Et puis il revêtit ses habits, prit sa place et attendit la petite fille pour la dévorer aussi. Elle vint.
Comment oses-tu lui sacrifier tes parents, tes vieux parents qui ont attendu si longtemps ta naissance et ne t’ont vu venir au
conduisit dans la montagne et l’égorgea. Caché derrière un arbre, il attendit les aigles. Il les vit bientôt descendre et les r
Septième Mont, de tous le plus majestueux et le plus près du ciel. Il attendit que le jeune homme eût rempli son outre et le ram
dit à sa belle compagne : — Ecoute, toi et moi nous n'avons que trop attendu . Nous allons cette fois confier Mehend à la gueul
its dans cette fosse humide et noire comme une tombe ! La jeune femme attendit que l’Ogre eût disparu pour se déshabiller et se
Les fauves l'entendirent et s’avancèrent en rugissant. Le jeune homme attendit de les voir s’attaquer à leur proie avant de s’él
oux dans ses bras et l’étendit sur son lit. Assise à son chevet, elle attendit patiemment son réveil. Le roi n’ouvrit les yeux q
à la jambe. Mais la fourmi en mourut car elle fut écrasée. Les fauves attendirent vainement son retour. Alors le serpent dit : — n
qu’à ce qu’il eût senti la vie frémir en elle. Et puis il se leva. Il attendit la nuit pour retrouver sa femme et lui dire : — T
et l’abandonna au pied d’un olivier. Caché derrière un gros arbre, il attendit . Un, deux, puis trois chacals approchèrent tout n
elle trembla de voir Moche pisser sur les braises. Chaque matin, elle attendait anxieusement qu’il eût quitté son repaire pour s’
it Dieu I s’écria le vieillard. Il a eu la mort qui depuis toujours l' attendait I Et une joie surprenante éclaira son regard. H m
à son mauvais génie de femme? Etait-ce la venue de son père que Aïcha attendait contre toute sc gesse, pour se marier à son tour?
le femme courut comme le vent vers Cheikh Smaïn et le bon nègre qui l’ attendaient avec impatience. — Prépare-toi à partir, cria-t-e
les vaincrons. Le prince et celui qui ne le quittait ni jour ni nuit, attendaient avec leur sabre les cavaliers du sultan. Sans dou
ut parmi ses frères, vêtue de longs voiles de soie étoilés d'or. Elle attendait que son époux veuille bien la prendre par la main
écieux anneau, le prince échappa à une mort affreuse. Le sultan qui s’ attendait à ce qu’il tombât foudroyé à la fin du repas, fut
pour le mettre en garde, comme il s’acheminait vers la fontaine où l’ attendait son père : — Maître, lui avait crié l’épouse qui
ux. Ce qui arrive à Cheikh Smaïn nous enseigne trop qu'il ne faut pas attendre de bonté de la part des parents et qu’il faut les
res. Alors, délicatement qu’il remette chaque œil à sa place et qu’il attende . Au bout d’un instant, la lune ronde lui apparaît
rande patience, de peur de se tromper. Puis il ferma les paupières et attendit , tremblant d’espoir. Quand il les rouvrit, l’inst
gna, déchiré et triste jusqu’à la mort. Dans son merveilleux palais l’ attendait le nègre fidèle qui, à sa vue, reprit la forme d'
er. Et puis elle se disposa à faire sa prière d’après-midi. Velâjoudh attendit qu’elle allât faire ses ablutions dans le ruissea
a la tête du turban vert des pèlerins. Il prit place sur son trône et attendit ses convives. Les souris entrèrent les premières,
rer. Il se tenait debout, sur le pas de la porte, et il observait. Il attendait de voir sortir ceux qu'il avait vu entrer. Il cri
ns le souper Entre le crépuscule et la nuit. Car je suis la naïve qui attend du bien De l’homme que tu n'as pas enfanté. Prove
e hiver, leurs sourires et leurs grâces. Et les fruits les plus rares attendront d’être cueillis par ta main. Seulement, moi qui s
ture si délicate n’était entrée dans sa bouche. Près du lit des robes attendaient , étalées sur des sièges, ainsi que de précieuses
une grande fleur jaune couchée. Lorsqu’elle se réveilla, un goûter l’ attendait , servi sur des feuilles de bananiers et de figuie
i tu dédaignes mais que, demain, tu seras heureuse de redécouvrir. Il attendit que la nuit fût très obscure. Alors, il s’éleva d
e son père et sa mère ne manquaient jamais la prière de l’aube. Aussi attendit -elle patiemment leur réveil pour entrer dans la c
n malheur I Le dernier jour était arrivé. A l’heure du dîner, l’orage attendu éclata, semblable à celui qui avait emmené la pet
e son lit, à portée de sa main. Le sommeil la fuit ce soir-là. Yamina attendait anxieusement la brise légère qui lui annonçait ch
e sépara de ses frères et sœurs mais ne quitta jamais la maison. Elle attendit durant des jours, des semaines, des mois, des sai
durant des jours, des semaines, des mois, des saisons entières; elle attendit durant des années le retour de l’époux. Mais bien
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
« Est-ce vous, mon prince ? luy dit-elle ; vous vous estes bien fait attendre . » Le prince, charmé de ces paroles, et plus enco
s’en consola bientost avec sa belle femme et ses enfans. MORALITÉ Attendre quelque temps pour avoir un époux Riche, bien-fai
che, bien-fait, galant et doux, La chose est assez naturelle : Mais l’ attendre cent ans, et toûjours en dormant, On ne trouve pl
tre differez, n’en sont pas moins heureux, Et qu’on ne perd rien pour attendre . Mais le sexe avec tant d’ardeur Aspire à la foy
e que, s’il vous arrive de l’ouvrir, il n’y a rien que vous ne deviez attendre de ma colere. » Elle promit d’observer exactement
carosse, et part pour son voyage. Les voisines et les bonnes amies n’ attendirent pas qu’on les envoyast querir pour aller chez la
lasserons dans son sac, et, s’estendant comme s’il eut esté mort, il attendit que quelque jeune lapin, peu instruit encore des
/ 2