nteurs, ces légendes et ces chants, filtrés par les siècles, qui sont
arrivés
de bouche en bouche jusqu'à toi, et que tu m’as l
bé, 1« jeune fille entendait de moins en moins la voix de sa mère. Il
arriva
même un moment où elle ne l’entendit plus du tout
lle blanche comme neige et vermeille comme sang étaient déjà loin. Us
arrivaient
en vue d’une hauteur. — Mon village est là-bas, d
t tu ne sentirais pas la pourriture I Le Corbeau partit l’aile basse.
Arrive
la Perdrix : — Qu’as-tu, mon oncle le Crapaud? La
la caverne. Nous sommes ici dans le royaume des bêtes ; il pourrait t’
arriver
malheur si tu t’aventurais. Le serpent l’éleva. I
lle avait déjà disparu ! Cette histoire, de l’un à l’autre colportée,
arriva
aux oreilles du prince qui n’hésita pas à interro
mon père, afin qu’il me pardonne... Il fit selon son désir. Comme ils
arrivaient
près de la caverne, le prince et la princesse vir
sœur, vous accompagne. Veillez sur elle et que rien de fâcheux ne lui
arrive
! Les orphelins aimaient leur sœur. Ils partirent
s orphelins aimaient leur sœur. Ils partirent tous les trois. A peine
arrivés
, ils se reposèrent un peu. Et puis ils jouèrent à
au marché. Les orphelins pleurèrent et se lamentèrent. Lorsqu’il fut
arrivé
sur la place, le père se mit à crier : — Qui veut
s Seigneurs. Va, fumée, vers ma pauvre grand-mère aveugle ! Celui qui
arrive
à la fin d’un repas qu’il dise : ‹ J'ai mangé ».
qui arrive à la fin d’un repas qu’il dise : ‹ J'ai mangé ». Celui qui
arrive
à la fin d'un discours qu’il dise : « J’ai entend
je me porterai bien. Si tu les vois jaunir, alors dis-toi qu’il m’est
arrivé
malheur et vole à mon secours. Le lévrier que je
est en danger. › Il courut vers sa mère et lui dit : — Un malheur est
arrivé
à mon frère, je pars. Prépare-moi des provisions
je crains qu’il ne soit allé du côté de la forêt et qu’il ne lui soit
arrivé
malheur ! › Ahmed écouta et repartit à la recherc
oute le même sort. Elle se retira tristement dans un coin. Peu après,
arriva
le père, accompagné de ses invités. Le repas étai
en plus embarrassée : — Il est chez mes parents, il rentrera bientôt.
Arriva
le moment où la femme ne put plus répondre : ‹ H
lle, il m’ouvrira et je le mangerai l › Le lendemain, peu avant que n’
arrive
la fillette, l’Ogre se présenta devant la masure
masure, que du sang coulait sous la porte. Elle se dit : ‹ Qu’est-il
arrivé
à mon grand-père? » Elle verrouilla la porte de l
ner. Ils chevauchèrent en silence côte à côte, dans le crépuscule, et
arrivèrent
à la nuit noire. La maison était là, derrière une
traverser. Le surveillant qui ne comprenait rien ne répondit pas. Us
arrivèrent
en vue de la maison. La plus jeune fille du surve
dans un four à tuiles. (Il n’est pas d'autre Dieu qu’Allah.) La mort
arrive
à la cuisse Recueillez-vous, ô foules, Nous pénét
ses mérites le sauvent. (Il n’est pas d’autre Dieu qu’Allah.) La mort
arrive
à la gorge, La parole s’étrangle, Il ne s'exprime
uves attendirent vainement son retour. Alors le serpent dit : — n est
arrivé
malheur à la fourmi. C’est à mon tour de monter.
toutes ses jolies ailes. — Qu’as-tu, ô notre roi, un malheur t’est-il
arrivé
? demandèrent du haut du ciel les perdrix. Et le l
ors, leur froufrou imita le rugissement du lion. •Peu de temps après,
arriva
le chacal, impatient de tenir sa proie qui, cette
rt, appuyée contre un arbre : elle ne quittait pas des yeux son père.
Arriva
le moment de se mettre à l'ouvrage. Les petites,
t que de champs d’oliviers ! Que de troupeaux elles rencontrèrent I —
Arriverons
-nous avant le coucher du soleil ? demandaient- el
lle est solide et supporterait le poids d’un bœuf. Lorsque vous serez
arrivées
, vous n’aurez qu’à ouvrir les bras pour recevoir
jette les détritus, ramasser quelques brindilles : il était pressé d’
arriver
le premier et de goûter le sel Il ouvre la porte,
ouvercle, se penche et les vapeurs l’entraînent I Peu de temps après,
arrive
la Puce. Elle regarde autour d’elle : point de Po
Puce : — Qu’as-tu, Dame Puce ? lui dit-il. — Hou 1 hou I Que n’est-il
arrivé
! Le tas de fumier s'est effondré. Le seigneur de
dit : — Qu’as-tu, Dame Puce? — Ce que j’ai ? Hou I hou I Que n’est-il
arrivé
! Le Chevrier sans houlette, le tas de fumier eff
our : — Qu’as-tu, Dame Puce? — Hou I hou ! Ce que j'ai ? Que n’est-il
arrivé
I Le Porteur aux deux bâts, le chevrier sans houl
e déplace et dit : — Qu’as-tu, Dame Puce ? — Hou ! hou ! Que n'est-il
arrivé
! Ce que j’ai ? La voisine aux galettes, le Porte
Il est tombé dans la marmite et il a disparu I La maison s'écroule :
Arrive
la source : — Qu'as-tu Dame Puce? — Ce que j’ai?
ource : — Qu'as-tu Dame Puce? — Ce que j’ai? Hou I hou I Que n'est-il
arrivé
I La maison écroulée, la voisine aux galettes, le
ssi : — Qu’as-tu, Dame Puce? — Ce que j’ai — Hou ! hou ! Que n'est-il
arrivé
! La source tarie, la maison écroulée, la voisine
nde : — Qu’as-tu, Dame Puce? — Hou ! hou I Ce que j’ai ? Que n’est-il
arrivé
! La brebis dépouillée, la source tarie, la maiso
dit : — Qu'as-tu, Dame Puce? — Ce que j’ai? Hou ! hou I Que n’est-il
arrivé
I Le fleuve démonté, la haie d’épines noyée, la b
de : — Qu’as-tu, Dame Puce ? — Hou ! hou ! Ce que j’ai ? Que n’est-il
arrivé
l Le fleuve démonté, la haie d’épines noyée, la b
dit : — Qu’as-tu, Dame Puce? — Ce que j’ai ? Hou ! hou I Que n’est-il
arrivé
! Le rocher éboulé, le fleuve démonté, la haie d’
Puce? demande enfin la mer. — Ce que j’ai ? Hou ! hou I Que n’est-il
arrivé
! Le ciel bouleversé, le soleil en'fui, le rocher
donna à deux serviteurs fidèles d’escorter le jeune chasseur. A peine
arrivé
à la croisée des chemins, le prince se tourna ver
etrouvons-nous sous cet arbre. A la tombée de la nuit, les serviteurs
arrivèrent
avec leur gibecière pleine. Cheikh Smain avait la
partit à la recherche de Roundja et de ses sept gardiens. — Le sultan
arrive
pour emmener sa bru ! annonça-t-elle d’un ton bre
us traite sa ’.s ég rds, nous allons partir sur le champ. Et quand il
arrivera
, il trouvera du vent ! Roundja se dépêcha d'écrir
ssé pour un autre, aura la tête coupée.» La nouvelle cependant devait
arriver
jusqu’aux oreilles du prince un beau soir que deu
s devant sa porte. Le perdant s’exclama tout à coup : — Le tour qui m’
arrive
ressemble fort à celui que Ton a joué à Cheikh Sm
e immense gardait l’entrée. Le nègre dit : — Où as-tu pris l’audace d’
arriver
jusqu’ici ? Ne sais-tu pas que c’est moi qui ai r
s’ins taller depuis peu ? — Il y a quelques jours, des étrangers sont
arrivés
, mon fils, amenant avec eux une jeune fille plus
eureuse auprès de moi? Mais elle lui montra au loin des cavaliers qui
arrivaient
et murmura craintivement : — Ils nous poursuivent
menât en pleine forêt pour que les fauves le dévorent. Dès qu’il fut
arrivé
au cœur de la forêt, Cheikh Smain dit au serviteu
rocement les aiglons. Tu peux bien mourir de froid si tu veux. Ce qui
arrive
à Cheikh Smaïn nous enseigne trop qu'il ne faut p
et se retourner dans l’outre, il ne put échapper à l'ogresse. A peine
arrivé
dans sa maison, Tseriel tâta Velâjoudh et le trou
t ton malheur. Tes parents feront ton malheur I Le dernier jour était
arrivé
. A l’heure du dîner, l’orage attendu éclata, semb