on d’une chaine d’aèdes. Pour toi, qui m'es toujours apparue comme un
arbre
fruitier visité par une multitude d'oiseaux chant
spendue ! H a le derrière dans une flaque Et il rêve de pastèques I L’
arbre
suit sa racine. Guéris ou emporte ! Chant satiriq
entrer dans une forêt et d’apercevoir une fumée monter au- dessus des
arbres
. Il se dit : ‹ Je ne m’arrêterai que je n’aie att
nouille posa sa charge de laine, le Crapaud suspendit la sacoche à un
arbre
. Et ils se mirent à l’ouvrage. Le Crapaud rassemb
m’est bien apparue à l’orée de la forêt. Elle était debout, contre un
arbre
. Etait- ce un ange, une fée?... Son visage défiai
la caverne et contempler la jeune fille. Elle se tenait appuyée à un
arbre
, et elle portait à sa bouche des grains de raisin
n des figues avait fui. Il n’y avait presque plus de grenades sur les
arbres
. Le froid allait être bientôt là, sur le seuil ;
qui touchait à la terre et au ciel. La gazelle s’étendit au pied de l’
arbre
tandis que Aîcha s’élevait jusqu'aux plus hautes
lle refusa encore. Alors, comme ils allaient entreprendre d’abattre l’
arbre
, Settoute la vieille sorcière, chuchota : — Pour
t à galette et de la farine dans un torchon. Elle creusa au pied de l’
arbre
le foyer, elle le garnit de trois grosses pierres
à galette sur le feu et se mit à pétrir la pâte. Aïcha, du haut de l’
arbre
lui parla : — Ce n’est pas ainsi, bonne mère, que
ttée. » Et l'eau le disait aux racines et les racines le disaient aux
arbres
qui reprenaient ce chant de toutes leurs feuilles
La reine entendit une voix lui murmurer à l’oreille : — Tant que cet
arbre
que tu vois sera luxuriant, la santé de ton fils
s et ses objets familiers près de cette fenêtre et de ce grenadier. L’
arbre
grandit. Il garda miraculeusement ses feuilles hi
lorissant.) Et elle vécut heureuse et paisible dans le voisinage de l’
arbre
. Au bout de la huitième année, deux grenades se f
t tout le ciel. Et la terre tremblait du galop des chevaux. Près de l’
arbre
magique, elle peignait gravement ses longs cheveu
t pour lui dire : — Ton front est aussi dur et noueux qu’une racine d’
arbre
, mon fils. Tu as pourtant ton père et ta mère, et
’un de nos lévriers (je te laisserai l’autre). Je mettrai en terre un
arbre
: tant que ses feuilles seront vertes, sois sûr q
e plus puissant, à l’heure chaude où les bergers se reposent sous les
arbres
, un aigle descendit du ciel. Comme il allait fond
le jour, nous enlève nos juments. Le jeune homme se cacha derrière un
arbre
et guetta le lion. Il l'entendit de loin s’avance
e cheval d’éclairs et de vent et le lévrier. Alors, les feuilles de l'
arbre
que Mehend avait planté avant son départ, se mire
s Mehend, je suis son frère. Lorsque Mehend partit, nous plantâmes un
arbre
. Ses feuilles s’étant mises à jaunir, j’ai compri
. Ahmed explora le domaine de Tseriel et découvrit sa maison sous les
arbres
. Toutes les richesses y étaient amassées : matela
village natal. Bientôt, ils virent sur la route, à l’ombre d’un grand
arbre
, une jument blanche et ses poulains. Mehend recon
e était aussi longue qu’un avant-bras. Ils attachèrent leur fine à un
arbre
et se mirent à écosser. Ils en écossaient, tout e
vous repartirez. Sa maison était là, tout près, cachée par de grands
arbres
. Tseriel les fit entrer et leur demanda : — Qu’al
ton dos? Je t’ai crié : ‹ Prends garde à la pierre, prends garde à l’
arbre
... › Allons, pose ton olivier I Le Subtil lui pri
ent une éternelle jeunesse. L’Ogresse mena le jeune homme vers un bel
arbre
constelle de fruits. Mehend cueillit autant de po
sse. Il la conduisit dans la montagne et l’égorgea. Caché derrière un
arbre
, il attendit les aigles. Il les vit bientôt desce
dit que le jeune homme eût rempli son outre et le ramena au pied de l’
arbre
où il l’avait trouvé. Mehend s’en revint en toute
choisis une belle chèvre et conduis-la dans la forêt. Attache-la à un
arbre
: tu l’entendras bientôt bêler et tu verras le li
ait là, derrière une haie d’aloès. Mehend et son ami attachèrent à un
arbre
leurs chevaux et traversèrent sans bruit le jardi
attes, À midi sur deux, et le soir sur trois? La seconde : Quel est l'
arbre
qui a douze branches et dont chaque branche porte
he sur quatre pattes, à midi sur deux, le soir sur trois ; quel est l'
arbre
qui a douze branches et dont chaque branche porte
sur ses deux pieds. Devenu vieux, il s’appuie sur un bâton. Quant à l’
arbre
, c’est l’année : l’année a douze mois et chaque m
sur ses deux pieds. Devenu vieux, il s’aide d’un bâton. Et quant à l’
arbre
, c’est l’année ; l’année a douze mois, et chaque
nuit noire, les fauves se rassemblèrent et se massèrent au pied de l’
arbre
: — Je sens l’odeur de l’homme ! annonça le lion.
alheur à la fourmi. C’est à mon tour de monter. Il rampa le long de l’
arbre
et mordit la pauvre femme qui tomba lourdement. L
sèrent et la lapine demeura seule. Alors, elle leva son regard vers l’
arbre
et dit à la petite fille : — Descends, descends m
O joie, mon frère est un adolescent t › Et tu le verras tel un jeune
arbre
près de toi. « O joie, mon frère est un homme I ›
ère contre elle et s’éloigna en pleurant. Elle avançait à travers les
arbres
en pleurant. Une clairière lui apparut ; la fille
homme, il pourrait être un berger ! Et elle le vit courir autour des
arbres
. Elle l’appela. Ils s'étendirent à l'ombre et s’e
est un adolescent I Et elle le vit soudain devant elle comme un jeune
arbre
. Elle lui donna encore un peu de moelle et ils re
de montagne où poussaient toutes les fleurs et où chantaient, sur des
arbres
fruitiers, tous les oiseaux. Dans ce jardin, Resk
chèrent durant deux jours, ne s’arrêtant que de loin en loin sous des
arbres
ou au bord d’un ruisseau pour manger, boire et se
I Les chacals, alléchés, coururent plus vite que lui et montèrent à l’
arbre
. Tandis qu’ils grimpaient de branche en branche,
mit à crier comme un brûlé : — Sauve qui peut ! le propriétaire de l'
arbre
est là ! Les chacals tentèrent de s’enfuir. Pris
es leurs forces et finirent par s’échapper en laissant leur queue à l’
arbre
. C’est ainsi que le lion se vit soudain environné
la dépeça et l’abandonna au pied d’un olivier. Caché derrière un gros
arbre
, il attendit. Un, deux, puis trois chacals approc
es se reposèrent un peu. Aïcha se tenait à l’écart, appuyée contre un
arbre
: elle ne quittait pas des yeux son père. Arriva
tre les roseaux ? Elle y baigna son visage et leva le regard vers les
arbres
glorieux qui riaient de toutes leurs feuilles dan
ci tandis que je prendrai par là et ce soir, retrouvons-nous sous cet
arbre
. A la tombée de la nuit, les serviteurs arrivèren
ra et se retira tout penaud. Et le pauvre prince s'assit au pied d’un
arbre
et se mit à méditer. La nuit venait, une nuit fra
s’en servir? Il était aveugle... Soudain, il perçut très haut dans l’
arbre
une sorte de plainte : c’était un aigle tout dépl
ut revoir la lumière de Dieu, qu’il prenne quelques feuilles à ce bel
arbre
auquel il est adossé, qu’il les mâche, puis qu’il
éblouit au réveil .11 se leva. Il cueillit un bouquet de feuilles à l’
arbre
merveilleux, ramassa son bâton et se remit en mar
— C’est justement toi que je cherchais ! Elle allongea le bras vers l’
arbre
, et attrapa Velâjoudh par la patte. Elle le tira
resse et sa suite. Il les vit s’avancer de loin, portant des troncs d’
arbres
et des fagots. Ils étaient quatre-vingt-dix-neuf.
x d’abord vous servir I Non loin du foyer, dans la cour, les troncs d'
arbres
et les fagots qu’ogres et ogresses avaient apport
des couronnes et des guirlandes et finit par s’endormir sous un gros
arbre
dans l'herbe épaisse : Yamina était là comme une
. A la mémoire de mes frères : Paul (Mohand le lion), Louis (Seghir l’
arbre
de douceur), Noël (Sâdi le petit oiseau), qui par
es fellahs n'auront plus faim. Les oiseaux chanteront encore Dans les
arbres
, entre les feuilles. Les abricots et les pêches,
et matin je pleure Les entants dont s'est retirée la vie : Seghir, l’
arbre
de douceur A la taille flexible ; Sâdi, le petit
ace. » Raymond Jean, Le Monde. « Le grain est magique : il devient un
arbre
dans l'esprit du lecteur enchanté... Ces contes l