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1 (1966) Le grain magique
on d’une chaine d’aèdes. Pour toi, qui m'es toujours apparue comme un arbre fruitier visité par une multitude d'oiseaux chant
spendue ! H a le derrière dans une flaque Et il rêve de pastèques I L’ arbre suit sa racine. Guéris ou emporte ! Chant satiriq
entrer dans une forêt et d’apercevoir une fumée monter au- dessus des arbres . Il se dit : ‹ Je ne m’arrêterai que je n’aie att
nouille posa sa charge de laine, le Crapaud suspendit la sacoche à un arbre . Et ils se mirent à l’ouvrage. Le Crapaud rassemb
m’est bien apparue à l’orée de la forêt. Elle était debout, contre un arbre . Etait- ce un ange, une fée?... Son visage défiai
la caverne et contempler la jeune fille. Elle se tenait appuyée à un arbre , et elle portait à sa bouche des grains de raisin
n des figues avait fui. Il n’y avait presque plus de grenades sur les arbres . Le froid allait être bientôt là, sur le seuil ;
qui touchait à la terre et au ciel. La gazelle s’étendit au pied de l’ arbre tandis que Aîcha s’élevait jusqu'aux plus hautes
lle refusa encore. Alors, comme ils allaient entreprendre d’abattre l’ arbre , Settoute la vieille sorcière, chuchota : — Pour
t à galette et de la farine dans un torchon. Elle creusa au pied de l’ arbre le foyer, elle le garnit de trois grosses pierres
à galette sur le feu et se mit à pétrir la pâte. Aïcha, du haut de l’ arbre lui parla : — Ce n’est pas ainsi, bonne mère, que
ttée. » Et l'eau le disait aux racines et les racines le disaient aux arbres qui reprenaient ce chant de toutes leurs feuilles
La reine entendit une voix lui murmurer à l’oreille : — Tant que cet arbre que tu vois sera luxuriant, la santé de ton fils
s et ses objets familiers près de cette fenêtre et de ce grenadier. L’ arbre grandit. Il garda miraculeusement ses feuilles hi
lorissant.) Et elle vécut heureuse et paisible dans le voisinage de l’ arbre . Au bout de la huitième année, deux grenades se f
t tout le ciel. Et la terre tremblait du galop des chevaux. Près de l’ arbre magique, elle peignait gravement ses longs cheveu
t pour lui dire : — Ton front est aussi dur et noueux qu’une racine d’ arbre , mon fils. Tu as pourtant ton père et ta mère, et
’un de nos lévriers (je te laisserai l’autre). Je mettrai en terre un arbre : tant que ses feuilles seront vertes, sois sûr q
e plus puissant, à l’heure chaude où les bergers se reposent sous les arbres , un aigle descendit du ciel. Comme il allait fond
le jour, nous enlève nos juments. Le jeune homme se cacha derrière un arbre et guetta le lion. Il l'entendit de loin s’avance
e cheval d’éclairs et de vent et le lévrier. Alors, les feuilles de l' arbre que Mehend avait planté avant son départ, se mire
s Mehend, je suis son frère. Lorsque Mehend partit, nous plantâmes un arbre . Ses feuilles s’étant mises à jaunir, j’ai compri
. Ahmed explora le domaine de Tseriel et découvrit sa maison sous les arbres . Toutes les richesses y étaient amassées : matela
village natal. Bientôt, ils virent sur la route, à l’ombre d’un grand arbre , une jument blanche et ses poulains. Mehend recon
e était aussi longue qu’un avant-bras. Ils attachèrent leur fine à un arbre et se mirent à écosser. Ils en écossaient, tout e
vous repartirez. Sa maison était là, tout près, cachée par de grands arbres . Tseriel les fit entrer et leur demanda : — Qu’al
ton dos? Je t’ai crié : ‹ Prends garde à la pierre, prends garde à l’ arbre ... › Allons, pose ton olivier I Le Subtil lui pri
ent une éternelle jeunesse. L’Ogresse mena le jeune homme vers un bel arbre constelle de fruits. Mehend cueillit autant de po
sse. Il la conduisit dans la montagne et l’égorgea. Caché derrière un arbre , il attendit les aigles. Il les vit bientôt desce
dit que le jeune homme eût rempli son outre et le ramena au pied de l’ arbre où il l’avait trouvé. Mehend s’en revint en toute
choisis une belle chèvre et conduis-la dans la forêt. Attache-la à un arbre : tu l’entendras bientôt bêler et tu verras le li
ait là, derrière une haie d’aloès. Mehend et son ami attachèrent à un arbre leurs chevaux et traversèrent sans bruit le jardi
attes, À midi sur deux, et le soir sur trois? La seconde : Quel est l' arbre qui a douze branches et dont chaque branche porte
he sur quatre pattes, à midi sur deux, le soir sur trois ; quel est l' arbre qui a douze branches et dont chaque branche porte
sur ses deux pieds. Devenu vieux, il s’appuie sur un bâton. Quant à l’ arbre , c’est l’année : l’année a douze mois et chaque m
sur ses deux pieds. Devenu vieux, il s’aide d’un bâton. Et quant à l’ arbre , c’est l’année ; l’année a douze mois, et chaque
nuit noire, les fauves se rassemblèrent et se massèrent au pied de l’ arbre : — Je sens l’odeur de l’homme ! annonça le lion.
alheur à la fourmi. C’est à mon tour de monter. Il rampa le long de l’ arbre et mordit la pauvre femme qui tomba lourdement. L
sèrent et la lapine demeura seule. Alors, elle leva son regard vers l’ arbre et dit à la petite fille : — Descends, descends m
O joie, mon frère est un adolescent t › Et tu le verras tel un jeune arbre près de toi. « O joie, mon frère est un homme I ›
ère contre elle et s’éloigna en pleurant. Elle avançait à travers les arbres en pleurant. Une clairière lui apparut ; la fille
homme, il pourrait être un berger ! Et elle le vit courir autour des arbres . Elle l’appela. Ils s'étendirent à l'ombre et s’e
est un adolescent I Et elle le vit soudain devant elle comme un jeune arbre . Elle lui donna encore un peu de moelle et ils re
de montagne où poussaient toutes les fleurs et où chantaient, sur des arbres fruitiers, tous les oiseaux. Dans ce jardin, Resk
chèrent durant deux jours, ne s’arrêtant que de loin en loin sous des arbres ou au bord d’un ruisseau pour manger, boire et se
I Les chacals, alléchés, coururent plus vite que lui et montèrent à l’ arbre . Tandis qu’ils grimpaient de branche en branche,
mit à crier comme un brûlé : — Sauve qui peut ! le propriétaire de l' arbre est là ! Les chacals tentèrent de s’enfuir. Pris
es leurs forces et finirent par s’échapper en laissant leur queue à l’ arbre . C’est ainsi que le lion se vit soudain environné
la dépeça et l’abandonna au pied d’un olivier. Caché derrière un gros arbre , il attendit. Un, deux, puis trois chacals approc
es se reposèrent un peu. Aïcha se tenait à l’écart, appuyée contre un arbre : elle ne quittait pas des yeux son père. Arriva
tre les roseaux ? Elle y baigna son visage et leva le regard vers les arbres glorieux qui riaient de toutes leurs feuilles dan
ci tandis que je prendrai par là et ce soir, retrouvons-nous sous cet arbre . A la tombée de la nuit, les serviteurs arrivèren
ra et se retira tout penaud. Et le pauvre prince s'assit au pied d’un arbre et se mit à méditer. La nuit venait, une nuit fra
s’en servir? Il était aveugle... Soudain, il perçut très haut dans l’ arbre une sorte de plainte : c’était un aigle tout dépl
ut revoir la lumière de Dieu, qu’il prenne quelques feuilles à ce bel arbre auquel il est adossé, qu’il les mâche, puis qu’il
éblouit au réveil .11 se leva. Il cueillit un bouquet de feuilles à l’ arbre merveilleux, ramassa son bâton et se remit en mar
— C’est justement toi que je cherchais ! Elle allongea le bras vers l’ arbre , et attrapa Velâjoudh par la patte. Elle le tira
resse et sa suite. Il les vit s’avancer de loin, portant des troncs d’ arbres et des fagots. Ils étaient quatre-vingt-dix-neuf.
x d’abord vous servir I Non loin du foyer, dans la cour, les troncs d' arbres et les fagots qu’ogres et ogresses avaient apport
des couronnes et des guirlandes et finit par s’endormir sous un gros arbre dans l'herbe épaisse : Yamina était là comme une
. A la mémoire de mes frères : Paul (Mohand le lion), Louis (Seghir l’ arbre de douceur), Noël (Sâdi le petit oiseau), qui par
es fellahs n'auront plus faim. Les oiseaux chanteront encore Dans les arbres , entre les feuilles. Les abricots et les pêches,
et matin je pleure Les entants dont s'est retirée la vie : Seghir, l’ arbre de douceur A la taille flexible ; Sâdi, le petit
ace. » Raymond Jean, Le Monde. « Le grain est magique : il devient un arbre dans l'esprit du lecteur enchanté... Ces contes l
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
quart d’heure, tout au tour du parc, une si grande quantité de grands arbres et de petits, de ronces et d’épines entrelassées
qui en estoit. À peine s’avança-t-il vers le bois que tous ces grands arbres , ces ronces et ces épines s’écarterent d’elles-me
, il vit que personne de ses gens ne l’avoit pû suivre, parce que les arbres s’estoient rapprochez dés qu’il avoit esté passé.
çachant que faire de leurs mains. Le petit Poucet grimpa au haut d’un Arbre pour voir s’il ne découvrirait rien ; ayant tourn
elle, mais qui estoit bien loin par delà la Forest. Il descendit de l’ arbre , et, lorsqu’il fut à terre, il ne vit plus rien ;
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