/ 2
1 (1966) Le grain magique
, qui me relaiera un jour, je l'espère, comme je te relaie, et que tu appelais en berbère, quand elle était enfant : ‹ Petit mon
ivie de la négresse. De colline en colline, d’étape en étape, la mère appelait sa fille. La jeune fille qui l’entendait grâce au
e, elle dit encore : — Descends de cheval, te dis-je ! La jeune fille appela vainement sa mère. Comme le Grain ne répondait pl
s elle et découvrit une maisonnette, entourée d’une haie d’épines. Il appela ; une jeune fille se montra. Dieu seul avait pu l
e de henné tous mes plats de bois et toutes mes écuelles. Et elle les appela par leur nom. Ils vinrent tous, les uns après les
e plat sur lequel Loundja était assise ne se déplaça pas. L’ogresse l’ appela de nouveau. Alors la jeune fille dit : — Laisse-l
une fille au teint blanc comme neige et vermeil comme sang. L’ogresse appela : — Loundja, Loundja ! Mais elle appelait dans le
vermeil comme sang. L’ogresse appela : — Loundja, Loundja ! Mais elle appelait dans le vide. Elle se pencha au-dessus du souterr
mare. — Ce n’est que cela ? Je vais te la ramener. — Dame Grenouille? appela-t -il. — Qui marche au-dessus de mon toit? répondit-
s la prier de revenir, si Dieu veut la conseiller. — Dame Grenouille? appela-t -il. — Qui va là ? — C’est le Chacal qui vient ver
ois sans crainte, elle ne résistera pas à ma voix. — Dame Grenouille? appela-t -il. Suis-moi, je suis le Corbeau, le marabout qui
La femme m’a abandonné. — Je cours te la ramener. — Dame Grenouille ? appela-t -elle. — Qui marche au-dessus de mon toit? Des déb
la chevelure d’or, une fille plus belle que lune en plein ciel. On l’ appela Jedjigha : Fleur. Chaque jour augmentait sa beaut
e prit deux montants bien solides et une grosse pelote de laine. Elle appela sa voisine et toutes deux partirent, emmenant la
s parents pour que je te reconduise vers eux ? Elle répondit : — Je m’ appelle Jedjigha, mais je ne sais ni le nom de mes parent
avait une femme et deux enfants. L’aînée était une fillette : elle s’ appelait Aicha. Le petit garçon s’appelait Ali. Leur mère
L’aînée était une fillette : elle s’appelait Aicha. Le petit garçon s’ appelait Ali. Leur mère possédait une vache. Mais voici qu
tomba malade d’un grand mal. Lorsqu’elle se vit près de mourir, elle appela son mari et lui dit : — Promets-moi que tu ne ven
mal aux orphelins. Mais elle vint à mettre au monde une fille qu'elle appela Djohra et du jour où elle eut cette fille, elle d
nt les murs d’une puissante ville. Le Cheikh, du haut de son minaret, appelait les fidèles à la prière. Il était midi. Les voyag
ofite aux mauvais génies qui se sont emparés d’elle. En vain son père appela-t -il les sorciers et les sorcières. Cheiks, savants
s'étaiertt révoltées et égarées dans la montagne. Il avait fallu les appeler et les chercher longtemps par pluie et vent, en d
elure blonde, mêmes yeux bleus, même teint blanc, même taille. L’un s’ appelait Ahmed et l’autre Mehend. Leur mère, pour les dist
nédictions m’accompagnent I Il monta son cheval d’éclairs et de vent, appela son lévrier, prit son sabre, sa carabine et, à so
on tour, s’éloigna. A peine sortait-il du village que des chevriers l’ appelèrent : — Ta chèvre s’est multipliée, viens voir tes ch
et à l’en retirer. Ahmed remonta sur son cheval d’éclairs et de vent, appela son lévrier et se dirigea vers la forêt. A l’heur
ent le retour des jumeaux. Mais le lendemain, Ahmed dit : — Ma mère m’ appelle . Je la sens dans la peine et nos champs et nos bê
onté à des Seigneurs. Proverbes Au pays des aveugles Le chassieux est appelé l’homme aux yeux clairs. Toi pioche, et moi je ha
ivante, à l’endroit même où l'Ogre fut brûlé, un chêne s'élança. On l’ appela le ‹ Chêne de l’Ogre ». Depuis, on le montre aux
étaient déjà vieux lorsque Dieu les dota de cet unique enfant. Ils l’ appelèrent Mehend et vécurent les yeux fixés sur lui. Dieu r
rent avec peine vers la maison qu’une haie d’épines défendait. Mehend appela : un homme très grand se montra sur le seuil. Il
onne, bonne mère, chercha ses petits. Ne les découvrant pas, elle les appela et se mit à rugir plaintivement. Quand elle eut p
les appela et se mit à rugir plaintivement. Quand elle eut pleuré et appelé en vain, le jeune homme se montra, tenant à la ma
le coucha dans le coffre qu’elle prit soin de refermer. Et puis elle appela les domestiques et leur annonça qu’elle se rendai
rait être un berger ! Et elle le vit courir autour des arbres. Elle l’ appela . Ils s'étendirent à l'ombre et s’endormirent. Un
le jeune homme y conduisit sa sœur et l’y précipita sans un mot. Elle appela et pleura d'abord en vain. Mais un cavalier vint
sé son cœur. Reskia fut enceinte. Elle mit au monde un garçon qu’elle appela Vouïedhmim qui veut dire : Aubépin. Mais la nosta
ond d’un trou et l’abandonna sans un mot. Elle pleura. Elle pleura et appela d'abord en vain. Mais un cavalier vint à passer q
à coup, elles ne virent plus leur père. Elles le cherchèrent. Elles l’ appelèrent de plus en plus fort et se mirent à pleurer. Alor
lui aurait-elle joué un tour?... Il chercha derrière les rochers. Il appela , il appela désespérément, mais le vent seul lui r
-elle joué un tour?... Il chercha derrière les rochers. Il appela, il appela désespérément, mais le vent seul lui répondit, un
traînée de graisse et des ossements calcinés. Alors Aïcha-Cendrinette appela ses sœurs. En un rien de temps, les restes du cha
Neuf mois s’écoulèrent et la sultane mit au monde un enfant que l’on appela seulement : ‹ Prince. › Quand il fut assez grand
nons pour donner un nom à ton fils, notre prince, qui n’en a point. — Appelez -le comme il vous plaira, répondit le sultan. C’es
lors qu’apparut l’ange, parmi la foule médusée. Il dit : — L’enfant s’ appellera « Cheikh Smaïn ›. Et l’ange disparut. Le petit pr
t s’appellera « Cheikh Smaïn ›. Et l’ange disparut. Le petit prinee s' appela Cheikh Smain et grandit dans le bien. Devenu un a
e fille se montra, plus belle que lune et que rose. Elle dit : — Je m' appelle Roundja. Ce perdreau ne t’appartient pas plus qu'
osse fièvre et se coucha. Il ne mangea ni ne parta. Affolé, le sultan appela au chevet de son fils tous les docteurs et sorcie
des trois merveilleuses femmes qui y régnaient I Délirant de joie, il appela ses serviteurs et leur commanda d’arracher les ye
t se changea en une énorme motte de beurre. Eblouie, la vieille femme appela les voisines : elles accoururent par groupes pour
Dans un certain village, autrefois, il était un petit garçon que l'on appelait Velâjoudh et ce Velâjoudh était toujours à la rec
la chambre nuptiale / Proverbes Un chien quand il a de l’argent, On l' appelle : Monsieur de Chien ! Je me réjouis s’il le mange
ent : ‹ Dieu y pourvoira ›, car dans cette famille, le mendiant était appelé : ‹ L’hôte de Dieu ›. A peine entendait-on sa voi
ina qui était une enfant ne pouvait pas comprendre. Elle dit : — Je m’ appelle Yamina. Mais toi, comment dois-je t’appeler? — Je
rendre. Elle dit : — Je m’appelle Yamina. Mais toi, comment dois-je t’ appeler ? — Je suis, dit-il, l’Oiseau de l’Orage. — Alors
eurs. Chant d'amour Me voici dans le village des Aith Ouerthiran Je m' appelle Othman Et mon pays est dans la plaine. J’ai fendu
is ta forme humaine ! Chant d’amour Complainte de la femme adultère J’ appelle à moi le bel aiglon Au corps modelé dans la grâce
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
. D’où vient cela, ma fille ? » (Ce fut là la premiere fois qu’elle l’ appela sa fille.) La pauvre enfant luy raconta naïvement
/ 2