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1 (1966) Le grain magique
Elle marcha longtemps, elle marcha jusqu’à l’orée de la forêt. C'est alors qu’ elle découvrit, à demi-masquée par une épaisse vég
ait et se disait : ‹ Comment peuvent-ils profiter, grandir et forcir, alors que je les prive de tout ? » Elle donnait à sa fille
es. Le prince se réveilla, chercha le poisson et ne le vit pas. C'est alors qu’ il remarqua un jeune homme beau comme un clair de
devenu pâle, ne me quitte pas, toi que j’ai rencontré sur mon chemin alors que j’étais seul et loin de mon pays. Souviens-toi qu
illeuses les unes que les autres, sans qu’il en arrêtât aucune. C’est alors que se montra la centième, vêtue très simplement. Ell
de l'eau. Ce bruit le guida vers la rivière. Il la franchit et c’est alors que lui apparut un jardin I En vérité le plus prodigi
— D’où reviens-tu ? demanda-t-il. J’étais si inquiet pour toi ! C’est alors qu’ Ahmed parla. Il dit : — Vous vous trompez. Je ne s
le dîner et ils s’installèrent tous les trois pour la veillée. C’est alors que le Subtil prit sa plus douce voix pour demander à
pour la première fois du petit, dit l’homme d’une voix sombre. C'est alors que l'oiseau se posa sur le toit et se mit à chanter
n’habitait. La jeune fille déclara : — Je suis très lasse. 118 C’est alors qu’ apparut au loin une fumée. Mehend tendit le bras v
très grand se montra sur le seuil. Il fit entrer les voyageurs. C’est alors que Mehend et celle qu’il aimait découvrirent six aut
, les yeux brûlés par les chemins crayeux et les larmes vaines. C’est alors que se dressant parmi les dunes un Vieux Sage me dit
a point. — Appelez-le comme il vous plaira, répondit le sultan. C’est alors qu’ apparut l’ange, parmi la foule médusée. Il dit : —
guérira l’héritier du royaume, je donnerai ce qu’il demandera. ■C’est alors que se présenta un tout jeune homme : — Qu'on m'appor
voir me renseigner habilement ? › se demandait-il avec anxiété. C’est alors que se présenta Settoute, la vieille sorcière. Elle d
est pareille aux roses épanouies Sur lesquelles s’est posée la rosée, Alors qu' il faisait encore nuit. Sa bouche est une grenade,
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
« Je veux manger la reine à la mesme sausse que ses enfans. » Ce fut alors que le pauvre maistre d’hôtel desespera de la pouvoir
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